La matheuse matée (9) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Chapitre 9
Arrivées en hydrothérapie, Sandrine alluma la machine et commença par s'occuper de Joëlle : elle la fit se prosterner sur l'une des tables, puis lui massa longuement le petit trou avant d'y enfoncer une longue et fine canule mais dont la base comportait deux ballonnets qu'elle gonfla pour les maintenir bien en place et pour qu'il n'y ait pas de fuite par la suite.
Elle demanda à Fabienne de s'asseoir au bout d'une table, puis de basculer sur le dos et de replier ses cuisses sur sa poitrine, comme une grenouille, et l'aida à se disposer, les fesses débordant légèrement du bord de la table. Puis elle demanda à Joëlle de se mettre à genoux au-dessus de la prof, tête-bêche et de l'aider à maintenir ses cuisses bien écartées. Toutes les deux se retrouvèrent en position de 69, le visage à quelques centimètres de l'entrejambe l'une de l'autre, mais ne se rapprochèrent pas davantage, observant de côté intriguées, le curieux manège de Sandrine. Celle-ci avait sorti d'un placard une paire de larges bottes en caoutchouc, ainsi qu'une sorte robe de la même matière. Elle enfila d'abord les bottes avant d'enfiler le drôle de vêtement par la tête et les bras puis de le laisser couler le long de son corps. Cette espèce de burka ample à manches longues la couvrait de la tête aux chevilles, était translucide laissant deviner son corps, sa tête était enveloppée elle aussi et face à son visage, se trouvait une large plaque de plexiglas transparent. Elle finit de s'arnacher en enfilant une paire de gants en latex qui recouvrire les poignets élastiques.
Alors elle revint auprès de ses patientes dubitatives et qui n'osait pas poser de questions sur un tel accoutrement. Elle déroula un fin tuyau depuis la machine, passa derrière Joëlle et le relia à la canule qu'elle avait déjà à l'intérieur du rectum, revint à la machine et lança un programme de lavement tiède de deux litres, avec un débit très lent. Puis elle saisit de que Sylvie appelait ""le karcher" : il s'agissait d'une sorte de poignée reliée à la machine par un long tuyau. Elle adapta une canule demi-souple assez fine d'une vingtaine de centimètres de long. Sur la poignée, il y avait deux molette, l'une servant à rêgler la température de l'eau, l'autre, la concentration du jet qui pouvait être extrèmement violent si on le désirait et enfin un bouton qui permettait de déclencher le jet ou de l'arrêter. Debout face à lentrecuisse bien exposé de la prof, elle fit un essai vers le sol et en profita pour rêgler la puissance du jet. Joëlle était penchée en avant, les jambes de Fabienne passées derrières ses épaules. Quand Sandrine le lui demanda, elle saisit entre pouce et incex chacune des grandes lèvres et les tira sur le côté, dévoilant l'ouverture du vagin dans lequel Sandrine plongea quelques centimètres de la canule avant d'appuyer sur le bouton : Fabienne poussa un cri de surprise et eut un violent sursaut et l'eau ressortit violemment de son vagin. Joëlle en eut le visage tout éclaboussé et elle commença à sentir dans le même temps l'eau envahir doucement son ventre, une sensation qu'elle trouva très agréable, elle qui habituellement n'apréciait pas trop les lavements.
Ses efforts, ses grognements à demi étouffés sous le fessier de l'adolescente. Sandrine tira encore sur le plug, le fit tourner sur son axe, tira encore, le fit bouger, et enfin réussi à l'arracher avec un "plop" comme un bouchon de Champagne qui saute ! Mais le bouchon très souillé, ne ressortit pas tout seul : le sphincter qui avait été dilaté pendant plusieurs heures ne put se refermer derrière lui, et ce fut la débâcle. Une grosse masse s'écrasa au sol avec un bruit mou, des éclaboussures atterrirent sur le devant de la robe de Sandrine, se mêlant au jet d'urine que la Prof, malgré elle, ne put retenir. Alors, elle se mit à pisser et à déféquer en même temps, salopant la protection de la jeune fille. La pauvre femme se mit à pleurer d'humiliation, ses sanglots se perdant entre les fesses de sa cavalière qui la maintenait fermement et de tout son poids tant elle se débattait. Il est vrai, qu'avec l'odeur en plus, c'était assez ignoble et la ventilation, pourtant puissante, n'y pouvait pas grand-chose.
Sandrine, très calme, nettoyait régulièrement sa robe avec le jet, ainsi que le sol au pied de la table, poussant les excréments vers la grille d'évacuation. Moins fort, elle arrosait aussi l'entrejambe dégoûtant, et dès qu'une légère accalmie survenait, elle plongeait la fine canule dans l'anus qui restait béant et déclenchait le jjet. Elle était assez fière de garder son sang-froid, de ne pas vomir tripes et boyaux devant un spectacle aussi répugnant : elle commençait, depuis le temps à s'endurcir. Elle pensa à Sylvie qui lui avait maintes fois suriné :
« Sandrine, si tu veux faire de la médecine, il va falloir t'habituer à patauger joyeusement dans quatre éléments : le sang, le pus, la pisse et la merde ! »
Fabienne mit un certain temps à se vider complètement, se calmant peu à peu et la jeune fille continua à la nettoyer au fur et à mesure. Quand ce fut terminé, Joëlle descendit de la table et avec Sandrine aidère une Fabienne amorphe et dolent à s'y allonger de façon plus confortable. Sandrine libéra l'anus de Joële qui se précipita vers l'une des cuvette pour s'y accroupir et se soulager et pendant ce temps elle finit de nettoyer les dégâts, se débarrassa de sa robe spéciale et de ses bottes, qu'elle fourra, ainsi que les canules et le plug dans la machine à nettoyer ce genre d'article.
Toutes les trois se retrouvèrent dans l'espace douche, se savonnant mutuellement, Fabienne tirant une gueule assez sinistre, alors que les deux autres riaient en chahutant telles deux gamines, qu'au fond, elles étaient encore plus ou moins...
Séchage à l'air chaud, puis retour, toujours à poil, vers le dortoir. Au passage, elle sortirent la lessive de leurs dessous qu'elles mirent à sécher. Pour dormir, Sandrine leur expliqua qu'elle ne devaient pas toucher à leur propre entrejambe, mais que si elle voulaient se lécher mutuellement, elle n'y voyait aucun inconvénient. Pour arriver à ce résultat, qui visiblement ne leur plaisait pas plus que ça, elle passa à chacune un collier qui était relié à deux bracelets par des chaînettes assez courtes, le tout rembourré et pas trop désagréable à porter, à part le fait que cela les entravait, les mains à hauteur de la poitrine. Sandrine termina sa préparation en introduisant un autre plug bien lubrifié mais plus gros que le précédent dans le rectum de la prof.
Et c'est cette dernière qui passa la plus mauvaise nuit, le rectum encombré, le trou du cul dilaté en permanence, sans pouvoir non plus serrer les fesses. Aussi quand Joëlle lui proposa gentiment :
« Voulez-vous que je vous caresse pour vous détendre ? »
Elle bougonna un peu avant d'accepter, inerte et coincée au début, mais sous la bouche habile qui lui têtait les seins ou lui lêchait la chatte, elle fondit peu à peu puis participa activement, rendant ses caresses à la jeune fille.
Sandrine, elle, dormit comme un petit ange, sur le côté en chien de fusil, un pouce coincé dans l'anus...