La matheuse matée (10) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Chapitre 10
Le samedi matin, Sandrine se réveilla toute fraîche, alors que les deux autres se ressentaient de leur nuit agitée. Elle commanda un copieux petit-déjeuner pour trois, et prêta une blouse blanche à Joëlle pour que celle-ci aille chercher le chariot à l'entrée de l'infirmerie. Ensuite, toilette matinale et Fabienne et Joëlle furent autorisées à remettre seulement leur combinaison : toute simple pour la plus jeune, très sexy, très courte avec beaucoup de dentelle pour la prof. Sandrine, elle, se rhabilla complètement, cependant sur la prière de ses deux complices, elle accepta de ne pas mettre de culotte. Quand elle annonça à Fabienne qu'elle allait lui raser intégralement ses parties intimes, l'autre protesta avec indignation, mais devant le regard volontaire de la gamine, elle finit par s'y résoudre, et, la mort dans l'âme, elle s'installa sur le fauteuil de gynécologie qui se trouvait dans la salle de soins attenante au dortoir et glissa ses pieds dans les étriers très hauts et écartés. Il ne fallut pas remonter beaucoup la dentelle du bas de sa combinaison pour faire aparaîtrre son entrejambe dans toute sa nudité : le buisson broussailleux de sa toison intime, sa vulve légèrement entr'ouverte, et au-dessous, l'extrémité du plug qui était planté dans son cul. Sandrine approcha une table roulante sur laquelle elle avait disposé tout le matériel nécessaire et s'assit sur un tabouret entre les cuisses béantes de sa prof, à qui elle demanda :
« Levez vos bras dans le prolongement du corps, Fabienne, et toi, Jojo, tu vas lui raser les aisselles, et de très près, s'il te plaît ! Pendant ce temps, je vais m'occupper de sa chatte ! »
Et les deux filles se mirent au travail avec soin, prenant tout leur temps. Sandrine tira une sorte de cuvette sur glissière de dessous le siège, prit une paire de ciseaux et se mit à tailler hardiment dans les mêches de poils emmêlés, les laissant tomber dans la cuvette. Joëlle en fit autant pour les dessous de bras. Quand ces zones furent suffisament débroussaillées, elle étalèrent sur elles de la mousse à raser, massant toute la région pour faire mousser et assouplir les poils, puis, armées chacune d'un rasoir jetable elles s'appliquèrent à éliminer toute la toison intime. Bien sur, Joëlle finit la première, rinça, essuya les parties maintenant bien lisses et les massa avec une lotion adoucissante. Elle ne put résister au plaisir d'embrasser et de lêcher les aisselles ainsi dénudées, tout en palpant les gros nichons que ne masquait nullement la dentelle. Puis elle regarda son amie terminer sa part du boulot.
Sandrine agissait par petites touches précises, n'oubliant pas le moindre poil sur le bas du ventre, le mont de Vénus, les aines, les sillons séparant l'intérieur du haut des cuisses et les grandes lèvres, ainsi que ces dernières bien entendu... Cependant, la raie culière, le périnée et le pourtour de l'anus étaient rendus innaccessibles par la présence du plug, mais la jeune fille qui ne voulait pas le lui retirer pour l'instant préféra remettre ça à plus tard.
Fabienne subit cette épilation imposée dans un drôle d'état qu'elle commençait à bien connaître, éprouvant des sensations contradictoires : une grande honte et une aussi grande humiliation à se trouver ainsi complètement et intimement exposée à deux de ses élèves, se sentant grotesque avec ce gros machin planté entre ses fesses et qui était loin de se faire oublier : son anus étiré en permanence était un peu douloureux, et surtout, elle éprouvait la plénitude désagréable de son rectum, et une envie continuelle d'aller à la selle. Mais en même temps elle ressentait sur les parties les plus sensibles de son corps la douceur des quatre mains des filles qui n'avaient pas enfilé de gants pour effectuer cette opération, mais aussi, paradoxalement, la caresse de leurs regards sur sa quasi nudité. Et puis, Sandrine n'hésitait pas, par moment à glisser ses doigts dans sa chatte pour saisir une grande lèvre et l'étirer pour en faciliter le rasage. Puis elle ne pensa plus à rien quand, l'entrecuisse parfaitement lisse comme celui d'une petite fille, fut rincé, éssuyé, massé, embrassé, Sandrine lui plaqua goûlument sa bouche sur la vulve, lui enfonça deux doigts dans le vagin et fit bouger doucement le plug dans son fondement. Joëlle qui ne voulait pas être en reste abaissa les fines bretelles de sa combinaison pour lui empoigner les seins qu'elle se mit à lêcher, sucer, malaxer de toutes les façons possible...
La jeune femme enchaîna une série impressionnante de très forts orgasmes, gémit, pleura, cria, se débattit et failit tomber du fauteuil, puis s'écroula complètement vidée...
Quand elle refit surface, Sandrine plaça un miroir entre ses cuisses pour lui montrer le résultat, et Fabienne en fut très surprise : sa vulve glabre semblait beaucoup plus renflée, charnue, et saillante, la fente remontant haut sur son pubis.
Alors Sandrine dit gentiment à son amie :
« Maintenant Jojo, ça va être à ton tour de retrouver ton minou de petite fille ! »
L'autre protesta vigoureusement :
« Il n'en est pas question, je refuse ! »
Mais elle ne faisait pas le poids, et la fixant sans ciller, Sandrine lui asséna :
« Je ne t'ai pas obligée à venir, non ? Tu es là, et tu m'obéis. Compris ? »
Vaincue, l'autre bougonna :
« Tu fais chier, Sandy, je te déteste, tu es la pire emmerdeuse que je connaisse... »
« Hmmm, continue à me dire des choses gentilles comme ça, ma chérie... »
« Ouais, sale conne... Si "j'aurais su"... »
« Tu "aurais" venu quand même, non ? »
Et Joëlle avec un sourire un peu contraint murmura :
« Oui sale chipie, bien sur... Et c'est bien ça qui me désole ! »
Sandrine se tourna vers la prof et lui demanda poliment :
« Fabienne, voulez-vous vous charger de l'épilation complète de Joëlle, j'ai à faire en salle d'hydro ? »
« Euh... je... oui, bien sûr, Sandrine ! »
« Merci, Fabienne ! Elle doit être bien lisse. »
Joëlle jeta un coup d'oeil assassin à son amie qui lui répondit par un large sourire, et en grommelant, elle s'installa cuisses bien écartées sur la table de gynéco.