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La matheuse matée (8)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 8

            Contrariée, Fabienne n'insista pas et suivit docilement la jeune fille jusqu'à l'infirmerie. Elle s'assit dans la salle d'attente pendant que Sandrine allait remplacer sa jupe et son chemisier d'uniforme par une blouse blanche impeccable. Quand elle revint, les cheveux attachés, elle l'invita à entrer dans la salle de consultation et à s'asseoir dans le fauteuil qui faisait face au bureau derrière lequel elle s'installa. Sur le plateau, une enveloppe à son nom qu'elle ouvrit sans plus attendre : elle contenait une feuille de papier sur laquelle Sylvie avait écrit simplement : "Pré-op fistule vagino-rectale.", qu'elle poussa vers Fabienne. Celle-ci y jeta un regard rapide et relevant des yeux interrogateurs, le visage exprimant une totale incompréhension, elle demanda un peu craintivement :

- Qu'est-ce que ça veut dire ?

            Sandrine posa ses coudes sur le bureau, joignit les mains, y posa son menton, et regardant la jeune femme bien en face :

- Ça veut dire que Sylvie nous a gâtées !

            Subitement très angoissée, Fabienne demanda d'une voix tremblante :

- Et si tu m'expliquais, Sandrine ?

            L'adolescente garda un petit moment le silence, rassemblant ses idées. Elle était très partagée : intimidée car elle allait devoir s'occupper des zones les plus intimes de sa prof, mais bien décidée à ne pas décevoir son amour. Sylvie qui l'incitait constament à se débarrasser de sa timidité, lui répétant :" Tu dois oser, Sandrine, oser ! L'an prochain, tu seras sans doute la plus jeune à la fac, et tu devras te montrer très forte, si tu ne veux pas te laisser bouffer toute crue !" Et elle se dit bravement : "Quand il faut y aller..." et rompant le silence, elle expliqua calmement :

- Parfois, il existe une fistule, autrement dit une communication anormale au travers de la paroi qui sépare le vagin du rectum, ce qui est très grave, provoquant des infections continuelles. Le seul traitement est une intervention chirurgicale visant à refermer cette ouverture pathologique.
            Fabienne, catastrophée, rougit, blêmit, se tassa dans son fauteuil et murmura :

- Oh non...

            Sandrine fut réconfortée de voir sa prof bien plus gênée qu'elle et cela lui donna le courage de poursuivre, apparament impassible :

- Pas de panique, Fabienne : vous ne souffrez pas de cette malformation, du moins je l'espère ! Vous êtes seulement sensée en être affligée, et moi, je suis censée vous préparer pour l'opération...

            La jeune prof était effondrée : sans savoir exactement à quoi s'attendre, mais persuadée que son entrejambe allait être au centre des fameux exercices ! Elle se sentait moite entre les cuisses, sa culotte trempée collant à sa vulve, et avait l'impression de sentir la transpiration un peu, et la femelle en chaleur beaucoup ! Si seulement elle pouvait prendre une douche et changer de slip ! Elle était morte de honte et murmura de nouveau plaintivement :

- Non, ce n'est pas possible...

            Mais, en partie résignée, elle savait que ce n'était pas une question mais une simple constatation. D'ailleurs, la jeune fille n'y prêta aucune attention et continua son exposé :

- La préparation consiste donc en un nettoyage et une bonne désinfection de tout le petit bassin. Je ne vais pas vous détailler tout cela, ce serait un peu fastidieux et vous expliquerai les opérations au fur et à mesure. Pas de problème, Fabienne ?
            L'autre, les larmes prêtes à jaillir de ses yeux bégaya lamentablement :

- Je... si... euh non...

            Alors la jeune fille eut un grand sourire et dit :

- Je suis contente que nous soyons d'accord !

            La prof balbutia un vague :

- Mais... euh...

            Que l'autre balaya d'un geste joyeux de la main. Sandrine se leva et tout en enfilant une paire de gants en latex, elle dit :

- Bon, on y va ?

            Écarlate, Fabienne demanda :

- Dois-je me déshabiller ?

- Vous portez un collant ?

- Euh non, des bas...

- Alors, ça ira. Allongez-vous sur le dos sur cette table d'examen.

            La jeune femme obéit aussitôt, un peu soulagée de ne pas avoir à se mettre nue, même si elle savait très bien qu'il faudrait en arriver là tôt ou tard. Elle portait un tailleur bleu marine à la jupe un peu évasée s'arrétant juste au-dessus du genou. Sandrine lui palpa alors les jambes au travers de ses bas noirs très fins, d'abord les chevilles, puis les mollets, les genoux. En remontant sur les cuisses, elle repoussa la jupe vers le haut, faisant aparaître le revers des bas puis la peau nue du haut des cuisses. Quand ses mains atteignirent cette zonne, Fabienne eut un frisson. Sandrine finit de lui retrousser sa jupe jusqu'à la taille, ainsi que le bas de la courte combisaison qu'elle portait en dessous, découvrant le petit slip taille basse de dentelle noire. Elle ne fut pas étonnée d'en trouver l'entrejambe humide quand elle le palpa. Les bas montaient très haut, accrochés aux longues jarretelles qui se détachaient d'une mince bande de dentelle à la taille, laissant une grande part du ventre découvert. Des touffes de poils sombres longs et bouclés dépassaient de la minuscule culotte au niveau des aines, de l'entrejambe, le haut de l'intérieur des cuisses, mais aussi au-dessus de l'élastique de la ceinture : Fabienne, qui n'avait pas prévu de devoir se montrer aussi intimement, et qui était assez poilue par nature, ne s'était sans doute pas épilée depuis un certain temps. Sandrine se pencha sur l'entrejambe de sa prof respirant la puissante odeur de femelle en rut qui s'en exhalait et la grisait. Elle lui palpa soigneusement les aines, le pubis, le ventre, puis lui demanda de se retourner.
            Le slip était profondément enfoncé à l'intérieur de la raie médiane, découvrant presque entièrement les fesses, presque comme l'aurait fait un string. Sandrine saisit l'élastique pour le baisser sur le haut des cuisses pleines et musclées. Elle demanda à sa patiente d'écarter un peu les jambes, prit un thermomètre dans un bocal rempli d'alcool, le secoua énergiquement puis le trempa dans un pot de vaseline. De sa main gauche elle écarta largement les fesses de la prof et de la droite avança le thermomètre avec la pointe duquel elle s'amusa à titiller l'orifice anal sans défense, avant d'y faire pénétrer le fin tube de verre. Alors pendant un oment, elle s'amusa à l'enfoncer, à le retirer, à le faire tourner, arrachant des soupirs à sa victime. Puis elle lui ordonna :

- Maintenez le thermomètre en place et remettez-vous doucement sur le dos !

            Et Fabienne obéit maladroitement, se sentant un peu ricicule avec sa jupe bouchonnant à sa taille, ses jambes demi-fléchies, sa toison intime exubérante, sa main sous sa fesse droite pour maintenir en place le petit tube de verre, dont un ou deux centimètres restant à l'extérieur de son rectum, et son slip à mi-cuisse. Sandrine s'intéressa de près à ce dernier : elle le baissa jusqu'à la cheville, approchant son visage du renfort d'entrejambe froissé et humide,  l'examina attentivement et le huma longuement, avant de demander tranquilement :

- Vous ne portez cette culotte que depuis ce matin, Fabienne ?

- Mais oui, voyons ! Murmura la jeune femme.

- Laissez-moi deviner... Vous vous êtes masturbée avec ?

            Le "oui" que souffla sa victime était presque inaudible, mais elle tourna le couteau dans la plaie :

- Combien de fois ?

            Écarlate, Fabienne murmura :

- Deux fois... Oh j'ai honte !

            Sandrine lui envoya son grand sourire et dit doucement :

- Vous ne devez pas avoir honte, Fabienne ! D'ailleurs, j'aime beaucoup votre parfum intime !
            Ce disant, elle continuait à renifler la culotte, regardant sa prof droit dans les yeux. Puis elle ordonna :

- Écartez bien les genoux, Fabienne !

            Alors elle se pencha d'assez près sur l'entrecuisse exposé, et de ses doigts fins, elle entreprit de démêler les poils poisseux et collés en mèches, se frayant un passage dans cette jungle aussi touffue qu'intime. Elle saisit les grandes lèvres de sa prof entre le pouce et l'index de chacune de ses mains qu'elle écarta, faisant bailler la vulve détrempée : un mince filet de liquide brillant glissa du vagin sur le périnée puis l'anus de la jeune femme. Dire que celle-ci était affreusement gênée est un doux euphénisme ! Cependant, dans son esprit troublé, elle ne savait plus très bien si c'était d'être totalement exposée, écartelée à la merci de sa jeune élève, ou bien du plaisir certain qu'elle y prenait en même temps, sachant pertinament que Sandrine se rendait parfaitement compte de son état...
            En effet, l'apprentie toubib ne pouvait ignorer, le visage à quelques centimètres de l'entrejambe de Fabienne, l'excitation de celle-ci, voyant l'entrée mouillée de son vagin, son clitoris pointant au sommet des petites lèvres, sentant sa puissante odeur de femelle en rut. Elle aussi éprouvait des sentiments mitigés : son propre slip était déjà bien humide, ça, elle ne pouvait le nier, mais en même temps elle ressentait un reste de timidité à disposer aussi intimement de cette femme qui était sa prof et avait presque le double de son âge, que paradoxalement, elle vouvoyait et qui la tutoyait. Alors, elle pensa très fort à Sylvie ne voulant surtout pas la décevoir.
                        Fabienne ne put retenir un soupir de bien-être quand elle sentit deux doigts fins pénétrer son vagin, mais déjà un troisième doigt se joignait à eux, lui arrachant un gémissement étouffé de plaisir. Hypocrytement, Sandrine s'enquit :

- Je vous fais mal, Fabienne ?

            Et l'autre bafouilla :

- Je... euh... non...

            Alors la jeune fille mit un quatrième doigt dans la chatte de sa prof, et se mit à lui fouiller profondément le vagin, faisant aller et venir sa main, écartant ses doigts pour le dilater, pendant que son pouce se posait sur son clitoris. Ainsi baisée, la femme se mit à onduler du bassain, allant au-devant de la main qui la fouillait. Sandrine sentit monter l'orgasme de sa prof, mais elle n'avait pas l'intention de la faire jouir, du moins pas encore. Elle attrappa un autre thermomètre dans le bocal d'alcool, mais celui-ci était bien plus gros que le premier, étant prévu pour le vagin. Le froid de l'instrument fit retomber l'excitation de la jeune femme, malgré quelques allers et retours en elle. Alors Sandrine alla s'asseoir au bureau pour prendre des notes sur l'ordinateur, la laissant ainsi, troussée, écartelée, chevilles entravées par son slip, avec ses deux orifices garnis. Fabienne dut poireauter au moins 10 minutes avant que l'adolescente revienne s'occupper d'elle. Elle lui retira les deux thermomètres en commençant par le plus gros qui ressortit tout mouillé du vagin de la prof et l'autre très souillé de son anus. Elle montra ce dernier à sa patiente avant de l'essuyer et de le replonger dans l'alcool. Elle lui dit :

- Pour des raisons élémentaires d'hygiène, à partir de maintenant, vous ne devez plus vous toucher entre les cuisses ni entre les fesses pour queulque raison que ce soit. Dorénavant, moi seule peux accéder à vos parties intimes. C'est bien compris ?

            L'autre se contenta d'un hochement de tête, sachant que de toute façon, elle n'avait pas vraiment son mot à dire. Sandrine avança sa main entre les cuisses largement écartées de la prof, se fraya un chemin au milieu des poils emmêlés, trouva l'entrée du vagin et y introduisit deux doigts qui furent avalés comme par un feu liquide, tant l'endroit était chaud et mouillé. Rapidement, elle joignit un troisième puis un quatrième doigt et posa naturellement son pouce sur le clitoris gonflé. La femme gémit de plaisir et poussa son bassin au-devant de la main fouisseuse, mais fut vite déçue : Sandrine n'avait pas l'intention de s'attarder ni de la faire jouir.
Elle retira donc sa main de son vagin et lui introduisit un doigt de toute sa longueur dans l'anus,sans aucune difficulté tant il était bien lubrifié par ses abondantes sécrétions intimes, lui fit effectuer deux ou trois aller-retours dans son rectum, et butant sur une masse compacte d'excréments, elle n'insista pas, ressortit son doigt souillé, le lui montra de près ce qui lui arracha une grimace,   en disant d'un air assez méprisant :

- Vous me paraissez bien encombrée : il va y avoir du boulot pour vous nettoyer l'intérieur !

            Elle retira ses gants de latex et les jeta dans la poubelle puis saisit le slip de Fabienne, le lui remonta jusqu'à mi-cuisse et lui dit :

- Remettez-vous sur le ventre !

            Elle enfila une nouvelle paire de gant, fouilla dans le tiroir où Sylvie lui avait laissé quelques bricoles et en ressortit un plug de taille raisonnable qu'elle lubrifia soigneusement. Alors, écartant les fesses de la femme de sa main gauche, elle présenta la pointe de l'objet contre le petit trou plissé et se mit à pousser. Fabienne gémit, cette fois de douleur et implora :

- Non Sandrine, arrête s'il te plaît, j'ai trop mal !

            En pure perte, bien entendu : manié d'une main ferme, le cône força son sphincter sans douceur et se cala dans son anus. Elle poussa un cri. Avec une bonne claque sur les fesses, Sandrine l'autorisa à descendre de la table, puis lui ordonna :

- Maintenez votre jupe relevée, que je puisse vous re-culotter !

            Ce qu'elle fit en prenant son temps, remettant bien le slip en place, allant même jusqu'à s'amuser, du bout du doigt, à y faire entrer les mèches folles et poisseuses, sans grand résultat, d'ailleurs, vu la luxuriance de sa touffe. Sandrine annonça :

- Bon, on fait une pause : allons dîner !

            En route, Fabienne demanda la permission d'aller faire pipi qui lui fut accordé sur ces mots de Sandrine :

- Bonne idée, j'ai aussi une belle envie ! Allons-y ensemble !

            Dans la cabine, jouissant de sa gêne, Sandrine demanda à Fabienne de se trousser, mais c'est elle qui lui baissa sa culotte au genoux. Elle la fit s'asseoir sur la cuvette, glissa une main entre ses cuisses écartées, lui écarta les grandes lèvres avec ses doigts et lui dit gentiment :

- Allez, Fabienne, faites votre petit pipi !

            Celle-ci avait du mal à se concentrer et relâcher sa vessie dans de telle circonstances, et la gamine l'encourageait par des "psss, psss". Enfin, elle réussit à lâcher un premier jet d'urine, puis ce fut la débacle : elle se mit à pisser abondament. Quand elle eut fini, Sandrine lui essuya la vulve de quelques feuilles de papier toilette, la fit lever, de nouveau la reculotta et s'exclama joyeusement :

- Bon, à mon tour maintenant ! Si vous voulez, vous pourrez vous mettre à genou et me regarder pisser de très près...

            Mais elle se défit elle-même, retirant complètement sa culotte, se troussant jusqu'à la taille et s'assit sur la cuvette jambes très écartées. La jeune prof qui rêvait de revoir cette adorable vulve juvénile depuis des semaines, ne se fit nullement prier : elle s'agenouilla et avança son visage entre les cuisses de Sandrine. Cette dernière aussi éprouva de la gêne à être ainsi observée, mais comme elle avait décidé de perdre sa pudeur, elle finit par se laisser aller. La prof, le visage à quelques centimètres de la chatte adorée n'en perdit pas une miette, par la vue, par l'odeur, qui d'ailleurs ne la dégoutta pas. Et quand la miction s'acheva, elle se surprit un peu honteuse à lever le visage vers son élève et lui demander humblement :

- Sandrine... me permets-tu... de t'essuyer avec ma langue ?

                        Ravie, l'adolescente essaya de rester impassible et dit en haussant les épaules :

- Si cela vous amuse...

            Cependant, elle avança le plus possible ses fesses sur la lunette et émit un gémissement de plaisir quand la bouche de sa prof se plaqua sur sa chatte trempée, et pas que d'urine ! Fabienne ne se contenta pas de lapper les deux ou trois gouttes de pipi, mais se mit à lêcher goulûment tout l'entrejambe, du clitoris à l'anus. Sandrine qui n'avait ni la force ni l'envie de protester mit ses jambes sur les épaules de la jeune femme et lui enserra le visage entre ses cuisses, au point de presque l'étouffer, ce qui ne fit qu'accentuer son zèle à lui bouffer la chatte et à la faire jouir, ce qui ne tarda pas, dans un grand cri de plaisir.
            En se lavant les mains et le visage côte à côte, elle échangèrent un grand sourire dans le miroir : les mots étaient inutiles.

                        A la cantine, elles s'assirent à une table à l'écart. Fabienne mangeait du bout des dents, assez mal à l'aise, alors que sa compagne bâfrait et la tourmentait gentiment entre deux bouchées, poussant son trouble au maximum :

- J'ai trouvé votre ampoule rectale bien pleine : vous êtes constipée ?

- Euh... oui, un peu...

            Sandrine eut un geste insouciant :

- Pas de problème, on a tout le week-end pour s'occupper de ce petit problème...

- Comment ça tout le week-end ? Je croyais que c'était seulement pour ce soir !

                        La jeune fille écarquilla ses beaux yeux bleus :

- Mais enfin Fabienne, vous étiez bien d'accord pour me servir de sujet pour les exercices que m'a laissés Sylvie ?

            L'autre grogna un vague "Oui... mais..." puis se tut, ne sachant que dire. L'adolescente enfonça le clou :

- Ce soir, on n'a encore rien fait, on ne va pas y passer la nuit, et demain il fera jour. Je vous propose de passer les deux prochaines nuits à l'infirmerie, ainsi j'aurai deux jours entiers à vous consacrer. Vous voulez bien ?

- Ai-je le choix ?

- C'est vous qui voyez...

            La jeune femme se savait coincée : elle était entièrement sous la coupe de cette adorable gamine ! Si elle ne se soumettait pas à elle de bon gré, tôt ou tard elle aurait à faire à la directrice. Depuis son arrivée au pensionnat, elle avait eu l'occasion d'assister à la sévère punition de l'une de ses jeunes collègues : la pauvre fille avait passé des heures attachée sur le cheval d'arçon, nue à l'exception d'un porte-jarretelles et d'une paire de bas, la croupe surélevée et maintenue ouverte par la largeur de la poutre horizontale. Elle avait été longuement fouettée sur le dos, les cuisses, et surtout les fesses. La prof de maths frémit en se rappelant tout ce qu'on avait pu fourrer, entre deux flagellations, aussi bien dans sa chatte que dans son cul, ses cris déchirants... Elle préférait passer au travers d'un tel traitement ! Aussi, toute rouge, visage baissé, elle dit dans un souffle :

- Je suis à ton entière disposition, Sandrine...

            Elle reçut comme une récompense un sourire lumineux et son élève lui dit gentiment :

- Je vous remercie Fabienne, c'est très sympa de votre part !

            Puis changeant de sujet, elle ajouta mutine :

- Vous avez déjà donné la fessée à toutes les filles de la classe, ou à peu près, mais pas à moi. Pourquoi ?

            Fabienne hésita et dit :

- Parce que tu ne l'as jamais mérité, Sandrine !

- Vous le regrettez ?

            La jeune femme eut un petit sourire timide :

- Franchement, oui, un peu...

- Est-ce que ça vous excite de trousser la jupe d'une fille, de lui baisser sa culotte et de claquer son cul nu ?

            La prof rougit et acquiéça de la tête. La gamine insista :

- Et ça vous fait beaucoup mouiller ?

            Nouveau signe affirmatif d'une Fabienne rouge comme une tomate. La jeune fille lui dit doucement :

- Si vous êtes bien coopérante, peut-être qu'un jour je vous laisserai me donner une bonne fessée, qui sait ?

            Fabienne changea de sujet :

- Pourquoi m'as-tu mis ce gros machin dans le derrière ? Ça me fait un peu mal et ça me gêne beaucoup...

- Je vous explique : ce genre d'intervention se passe simultanément par le vagin et l'anus, donc je dois vous dilater ces deux orifices le plus possible...

- Ah...

            C'est tout ce que réussi à murmurer Fabienne.

            Une règle non écrite voulait que quand des professeurs, qui avaient leur propre salle à manger, viennent dans celle des élèves, on s'abstint de les dérranger et de ne les rejoindre à leur table sauf sur une invitation explicite. Aussi, c'est de loin que Joelle fit un grand signe amical à Sandrine qui lui renvoya le même avant de se tourner vers Fabienne :

- Et si on invitait ma meilleure amie à se joindre à nous, le week-end passerait plus vite, non ?

            La prof faillit suffoquer et demanda angoissée :

- Tu n'y penses pas, Sandrine ? Tu n'es pas sérieuse !

- Mais si, pour plusieurs raisons. D'abord, elle est aussi discrète que moi, ensuite, à poil elle est vachement belle, elle fait tout ce que je veux, et ce serait dommage pour vous de rater cette occasion, surtout si je vous dis que c'est la meilleure lêcheuse de minou que je connaisse !

            Fabienne capitula :

- Je n'y tiens pas trop, mais bon, si tu le veux vraiment...

- Merci, Fabienne, vous verrez, vous ne le regretterez pas !

            Voyant son amie lui faire un grand signe d'invitation assorti de son plus beau sourire, Joelle prit son plateau et vint s'asseoir à leur table après avoir salué Fabienne très poliment. Elle demanda à Sandrine :

- Que fais-tu un vendredi soir en blouse blanche ?

            Sandrine dit, l'air faussement renfrogné :

- Ce tyran de Sylvie m'a colé la responsabilité de l'infirmerie pour tout le week-end ! Et en plus j'ai des exercices à faire...

- Ouah, la garce ! dit Joelle qui n'en pensait pas un mot. - Si tu veux bien de moi, je veux bien venir te tenir compagnie, ce serait avec un grand plaisir !

            Se tournant vers Fabienne elle demanda gentiment :

- Et vous, dans tout ça ?

            Et l'autre répondit timidement :

- Eh bien, je fais partie des exercices que Sylvie a laissé à Sandrine...

            Joelle les regarda l'une et l'autre bouche bée, ce posant mille questions mais n'osant pas les formuler. Sandrine vint à son secour :

- Tu peux te joindre à nous si tu n'as pas peur : je serai seul maître à bord, et ça risque d'être gratiné !

            Joelle minauda :

- Te connaissant, je m'attends au pire ! J'espère seulement que ma pudeur maladive ne sera pas trop offensée ?

- J'ai bien peur que si, lui-répondit Sandrine.

            Et les deux filles éclatèrent d'un grand rire joyeux et si communicatif que Fabienne se joignit à elles. Sandrine reprit un peu de sérieux pour dire à sa copine :

- Alors, va prévenir ta surveillante que je te prends en observation à l'infirmerie. Invente-toi un mal au ventre, au cul, enfin où tu voudras, sois convaincante !

            Joelle ne se le fit pas répéter et revint peu de temps après, le pouce levé en signe de victoire et toutes les trois quittèrent le réfectoire pour se rendre à l'infirmerie.

            Sandrine ferma la porte derrière elles et les conduisit dans la salle d'attente où elle demanda à Joelle de se mettre à genoux sur une banquette basse, buste sur le plateau, cuisses verticales et écartées, hyper-cambrée, le cul en l'air, puis elle s'assit à califourchon derrière elle, lui rabattit jupe et conbinaison sur le dos, faisant aparaître les cuisses baînées de bas fins couleur chair ainsi que le superbe postérieur étroitement moulé dans une culotte blanche en coton épais dont elle saisit l'élastique de la taille pour la lui baisser juste au-dessous des fesses. L'anus aparut au-dessus de la fente sexuelle entr'ouverte, bordée par les grandes lèvres couvertes de boucles blondes, et surtout, une puissante odeur de fille mal lavée monta de l'entrecuisse dévoilé, et qui ne surpris pas vraiment Sandrine : si elle était inpeccable la dernière fois qu'elle était venue à l'infirmerie, habituellement, Joelle n'était pas une fanatique des ablutions intimes, de même qu'elle ne voyait pas l'intérêt de changer de slip tous les jours ! D'ailleurs, cette malpropreté chronique lui avait valu quelques punitions, en particulier, de passer plusieurs fois une journée nue sous sa jupe, sa culotte sale, avec l'entrejambe bien visible épinglée à sa ceinture ou pendue à son cou. Mais elle semblait s'en moquer et Sylvie avait laissé tomber. Par contre l'adolescente avait toute une petite cour de gamines plus jeunes qui ne semblaient pas rebutées par  son fumet sui generi, bien au contraire ! Sandrine se rappelait l'avoir surprise dans une salle de classe, accoudée sur l'un des pupître, penchée en avant, jambes écartées. Derrière elle une fille accroupie avait glissé la tête sous sa jupe. En l'entendant, la gamine avait pris la fuite et Sandrine avait traité Joëlle de tous les noms, et l'autre, sans se démonter lui avait dit :

- Mais Sandy, elles adorent me renifler le cul : pourquoi les priver de ce petit plaisir ? Tu vois, je n'ai même pas retiré ma culotte !

            Devant une logique aussi implacable, Sandrine avait éclaté de rire et n'avait parlé de l'incident à personne.
            Pour l'instant, le fond du sous-vêtement de la fille était vraiment très souillé, avec des taches blanchâtres, jaunâtre et mêmme marron, sans compter quelques poils collés... Sandrine gronda, au fond sans grande conviction :

- Tu est vraiment dégueulasse et tu pues, Jojo ! Depuis quand ne t'es-tu pas lavé le cul ?

            L'autre ne répondit pas. Fabienne qui s'était penchée sur la croupe ouverte, avait eu un léger mouvement de recul et à cet instant précis, la prof et Sandrine furent traversées par une pensée identique : "Pourquoi suis-je excitée par cette trop forte mauvaise odeur, alors qu'elle devrait me révulser, me dégoûter ?" elles échangèrent un regard et se comprirent. Sandrine voulut reprendre la direction des évènements, et en approchant sa main de la vulve de son amie, elle annonça :

- Tu mérites une bonne fessée ! Allez Fabienne, claquez-moi ce gros cul crade !

            La prof ne demandait pas mieux : elle leva sans tarder sa main droite et l'abattit sur le fessier offert. Sandrine commença à caresser la chatte de sa copine pendant que la fessée, assez douce au début crépitait sur le pauvre postérieur. Elle glissa sa main gauche sous la jupe de Fabienne, qui consentante, se rapprocha un peu pour lui faciliter le travail. Alors la main curieuse remonta le long des jambes puis des cuisses et ne tarda pas trop à atteindre son but : le slip de la prof, dans lequel elle s'engouffra sans hésiter. Alors elle entreprit de branler les deux jeunes femmes en même temps, ce qui faisait croître l'excitation entre ses propres cuisses. Chacune des trois vivait ce moment de plaisir de façon différente : Fabienne était aux anges : elle n'aurait jamais osé se masturber pendant qu'elle fustigeait les rondités postérieures d'une de ses élèves, même si l'envie ne lui en manquait pas, et là, c'était la jolie Sandrine tant désirée qui la branlait alors qu'elle fessait un des plus beau culs qu'elle avait eu l'occasion de tenir à sa merci. Sandrine qui sentait vibrer les deux sexes au bout de ses doigts, devinant la moindre contraction de plaisir, le suintement de la cyprine, ressentait l'écoulement de son jus d'amour dans le fond de son slip. Joëlle était plus mitigée, partagée entre le plaisir des caresses sur son coquillage d'amour et les claques qui pleuvaient sur ses fesses. Au début, la fessée fut assez légère ne lui causant pas de vraie douleur, mais peu à peu, son intensité augmenta, parallèlement à l'excitation de la prof. Ses couinements devinrent des cris de plus en plus forts, et elle tortilla de plus en plus son joli derrière, tentant d'éviter les claques, mais ne voulant pas perdre le contact avec les doigts qui la branlaient si bien... Prise entre un plaisir et une douleur qui s'intensifiaient en même temps, elle crut bien perdre la tête. Les doigts agiles de Sandrine continuaient à stimuler les deux cons à sa disposition, s'enfonçant dans les vagins, titillant les clitoris avec un art consommé. Quand elle sentit Joëlle sur le point de jouir, elle lui planta fermement son pouce heureusement bien lubrifié dans le trou du cul, agitant follement son médius sur son bouton et fit un signe affirmatif à Fabienne qui redoubla la force et la cadence de la fessée. Joëlle poussa un véritable rugissement, se redressa, se cambra, avant de s'affaler à plat ventre sur la banquette, telle mune poupée de chiffon. Fabienne la suivit de près dans l'orgasme, sentant ses jambes flêchir. Sandrine qui n'avait pas encore joui, glissa une main preste sous sa blouse puis dans sa culotte, et se finit de quelques vibrations rapides de son index sur le clitoris... Les filles cuvèrent un petit moment sans parler et Sandrine les ramena sur terre :

- Bien, maintenant, suivez-moi, je vais vous montrer où nous allons dormir cette nuit.

            Elle les conduisit dans le petit dortoir de six lits avec sa salle de soins particulière et qui comportait également un lavabo, une douche, un bidet ainsi qu'une cuvette de WC à la turque, le tout aligné le long d'un des murs, mais non séparés de la pièce principale, ne fut-ce que par un simple rideau. Elle leur désigna deux lits côte à côte en disant :

- Voici vos lits. Moi je prendrai l'un des autres. Fabienne, voulez-vous déshabiller Joëlle en suivant mes indications ?

- Oui, bien sûr, Sandrine.

- Vous rangerez ses affaires dans ce placard, sauf ses sous-vêtements. Commencez par son blazer, puis son chemisier...

            Joëlle, debout au milieu de la pièce se laissait dénuder progressivement par la prof, qui sur les instructions de Sandrine lui retira sa veste, son chemisier et les rangea dans le vestiaire. Puis elle lui dégraffa son soutien-gorge et le lui retira en passant les bretelles sous celles, très fines de la combinaison blanche assez simple qui se plaqua sur les seins volumineux de la fille. Sandrine lui montra une chaise où poser le soutif. Fabienne s'accroupis et glissa ses mains sous la jupe de Joële qui ne protesta pas quand elle lui caressa doucement les cuisses avant de déttacher son bas des jarretelles qui le tendaient, avant d'en faire autant pour l'autre bas. Puis elle fit faire un demi-tour à l'adolescente pour que celle-ci lui tourne le dos, et sous le couvert de la jupe et du bas de la combinaison, après quelques caresses sur les fesses à travers le fond de la culotte, elle alla chercher l'agraffe du porte-jarretelles au niveau de la taille, l'ouvrit pui, sans baisser le slip en dégagea les jarretelles. Toujours dans la même position, elle lui roula délicatement ses bas et les lui retira après lui avoir ôté ses chaussures. Enfin, elle lui retira très lentement sa culotte qui alla rejoindre le reste de ses dessous sur la chaise. Sandrine l'arrêta :

- C'est bon pour l'instant. Joëlle, tu vas rendre le même service à Fabienne, lentement, dans l'ordre que je te dirais.

            L'autre qui mourrait d'envie de voir la prof à poil ne se fit pas prier ! Suivant les instructions de Sandrine, elle s'accroupit à son tour et glissa ses mains sous la jupe de la prof, prenant tout son temps pour explorer ses cuisses, d'abord par-dessus les bas, puis directement sur la peau nue et douce.Quand elle atteignit le slip, elle sentit l'excroissance du plug entre les fesses de Fabienne : alors elle leva un regard étonné vers elle, et la prof rougit. Joëlle n'insista pas et la déculotta avec une lenteur exaspérante, faisant doucement glisser le petit chiffon intime le long des cuisses puis des jambes. Puis elle dégraffa la jupe, baissa la fermeture éclair et la lui retira, lui faisant lever un pied puis l'autre. La veste du tailleur disparut aussitôt après, suivie de peu par la courte combinaison largement garnie de dentelle et du soutien-gorge assorti qui allèrent grossir le tas de fanfreluches sur la chaise. Alors Sandrine demanda à Fabienne de retirer sa jupe à Joëlle et à celle-ci d'enlever les chaussures de la prof. Les deux jeunes obéirent, debout, attendant la suite, Joëlle dans sa combinaison qui lui arrivait à mi-cuisse, et Fabienne plus que nue avec ses longs bas et son portejarretelles réduit à la plus simple expréssion, exhibant la pilosité envahissante de son pubis. Sandrine leur demanda de rapprocher leurs deux lits, ce qu'elle firent sans discuter, puis leur conseilla, ou plutôt leur ordonna :

- Et maintenant, vous ne vous feriez pas un petit 69 ?

            Les deux autres se regardèrent, médusées, l'esprit rempli d'idées contradictoires : bien sur qu'elles en avaient envie, mais ordonné, comme ça, quasiment à froid ! Joëlle était prête quant-à elle à se soumettre au moindre désir de son amie, Fabienne, elle, s'y sentait obligée... Après un petit moment d'hésitation pendant lequel Sandrine garda le silence, elles se décidèrent, montèrent sur le lit et se disposèrent tête-bêche, Joëlle au-dessus, le tout un peu maladroitement. Et chacune plongea son visage entre les cuisses de l'autre, au début sans grand enthousiasme, celui-ci leur venant assez rapidement, il faut bien le reconnaître.
            Pendant un moment, Sandrine les regarda se bouffer le cul avec de plus en plus d'ardeur, pui, très excitée elle aussi, décida de se joindre à elles. Elle se déshabilla entièrement et complètement, joignant ses dessous aux autres déposés sur la chaise, puis sauta sur le double lit en disant :

- Faites-moi une place !

            Elle les bouscula un peu, rompant l'enchevêtrement de leurs corps, les séparant, puis plaqua avidement sa bouche sur la vulve de Fabienne, en même temps qu'elle sentait la langue de Joëlle lui titiller la fente et le clitoris.
            Alors le triangle de chair ainsi formé commença à onduler, s'agiter, se tortiller, les langues titillaient, léchaient, s'enfonçaient dans tous les orifices à leur portée, les mains empoignaient et écartaient cuisses et fesses, les doigts caressaient, se faufilaient, le tout dans des gémissements et des grognements bestiaux. Puis le trio se disloqua pour se reformer : maintenant, c'est la chatte de Joëlle que Sandrine sentait fondre dans sa bouche et Fabienne qui la lêchait avec gourmandise, pendant que Joëlle lui rendait le même service... A un moment, cette dernière demanda :

- Sandrine, est-ce que je peux lui retirer son plug ?

            Sandrine un peu affolée lui répondit :

- Non, surtout pas, malheureuse !

            Et les bouches reprirent leurs places naturelles. Les trois jeunes femmes crièrent chacune leur tour, puis restèrent un moment prostrées.
            Sandrine réagit la première, elle descendit du champ de bataille pour aller consulter sa montre : 20h45. Elles avaient encore du temps devant elles. Elle cria, faisant sursauter des deux autres à moitié assoupies :

- Allez, debout, feignasses ! On n'est pas là pour rigoler, et on a un programme à respecter ! Secouez-vous !

            Languides, les deux autres obéirent, et sur la demande de Sandrinne, Joëlle déttacha et roula soigneusement les bas de Fabienne avant de dégraffer son porte-jarretelles, cependant que la prof la débarassait délicatement de sa combinaison.
            Les trois filles nues formaient un très charmant contraste, Fabienne, musclée, un peu massive avec un gros cul et de gros nichons, des cuisses fermes et épaisses, sa toison intime broussailleuse, Joëlle avec un corps plus fin, mais très féminin, longues jambes, seins volumineux pour son âge, croupe rebondie, joli triangle blond mousseux au bas de son ventre, et Sandrine, très jolie, fine, mince avec ses seins naissants, ses hanches étroites, un peu androgyne, la fente du sexe un peu apparente au travers d'une toison claire et pas très fournie.
            C'est dans cette tenue sommaire qu'elles se rendirent à la salle d'hydrothérapie, déposant au passage le tas de lingerie dans une machine à laver qu'elles lancèrent.

 

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