La matheuse matée (7) |
Par Docteur Dominique GALLIEN
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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
Chapitre 7
Fabienne commença son travail au pensionnat à la date prévue et croisa l'infirmière dans le parc le surlendemain de son arrivée. Cette rencontre la troubla beaucoup, ce qui ne semblait n'être nullement le cas pour Sylvie. Celle-ci lui tendit une main amicale, lui dédia son plus beau sourire en lui disant très naturellement :
- Hello, Fabienne ! Comment vas-tu ?
-Très bien, je vous remercie, et vous ?
- Oh, je t'en prie ! On travaille maintenant ensemble, dis-moi tu !
- Comme tu voudras Sylvie...
L'infirmière était parfaitement à l'aise, comme d'habitude bien dans sa peau, rayonnante. Elle reprit avec une gracieuse révérence :
- Fab, si tu as le moindre bobo, tu sais où me trouver !
La prof rosit légèrement et murmura :
- Oui, bien sur, merci. Cette fille si sûre d'elle la fascinait, l'attirait aussi... Elle se crispa un peu plus quand l'autre lui déclara tranquilement :
- Au fait, il faudra que je voie si ton anus a bien cicatrisé, si ça ne t'ennuies pas bien sûr ?
Fabienne bafouilla, n'osant ni refuser ni accepter d'emblée :
- Ben... euh... je n'ai plus mal...
- Allons, tant mieux, mais je suis responsable de la bonne santé des indigènes de cette barraque. Tu as une minute, là ?
- Euh... oui...
- Alors suis-moi à l'infirmerie...
Le ventre noué, la prof lui emboîta le pas, apréhendant et espérant ce que l'autre allait lui faire subir. En fait, elle fut rassurée et déçue : il ne se passa strictement rien de ce à quoi elle s'attendait confusément. Sylvie l'invita gentiment à s'asseoir face à son bureau et lui dit :
- Fabienne, je vais te donner un identifiant et un mot de passe pour accéder à l'ordinateur central. Tu auras ainsi une boîte à lettre personnelle. Merci d'y indiquer chaque fois la date du premier jour de tes règles : c'est nécessaire pour programmer le nettoyage interne qui doit les
suivre. Tu seras convoquée également par ce moyen.
Puis elle se leva, passa dans une autre pièce et revint en tenant un sac de plastique qui semblait assez lourd et qu'elle lui tendit. Fabienne demanda :
-Qu'est-ce que c'est ?
Sylvie eut un large sourire :
- Une simple purge pour avoir un intestin bien propre. Tu boiras ces quatre litres demain soir et le lendemain tu viendras me voir avant les cours que je vérifie que ton petit trou est de nouveau en parfait état de marche...
Les yeux écarquillés, Fabienne ne put que murmurer :
- Ah bon...
Et Sylvie la raccompagna gentiment jusqu'à la porte.
Fabienne passa les deux jours suivants à se poser des questions se torturant l'esprit, dormant très peu, se masturbant beaucoup tout en ayant honte... Le soir dit, elle but avec peine les quatre litres de liquide blanchâtres et passa la plus grande partie de la nuit assise sur la cuvette des toilettes à se vider douleureusement.
Quand très tôt le lendemain, après une nuit quasi-blanche, elle se présenta à l'infirmerie, Sylvie lui cria d'entrer et la salua distraitement tout en continuant à taper à toute vitesse sur le clavier de son ordinateur. Puis voyant que la prof ne bougeait pas et semblait attendre, elle lui jeta un regard étonné et lui demanda :
- Quel bon vent t'amène Fab ?
L'autre en fut profondément mortifiée. L'infirmière qui possédait une mémoire hors norme faisait semblant d'ignorer la raison de sa présence, une autre façon de la dominer. Fabienne très troublée bafouilla :
- Eh bien... je... tu m'as dit de venir ce matin...
Sylvie arrêta de pianoter sur son clavier, se tourna vers elle, se frappa le front et s'exclama joyeusement :
- Ah oui, tu as raison ! Tu viens pour que je vérifie l'état de ton trou de balle, n'est-ce pas ?
En fait, ce n'était pas une question et la pauvre Fabienne, humiliée, toute rouge, ne put qu'opiner du bonnet. Sylvie ajouta négligeament :
- Tu portes des bas ou un collant ?
- Des... bas...
- Alors retire ta culotte et mets-toi à genoux sur les supports de cette table, trousse-toi jusqu'à la taille et pose ton buste sur le plateau.
Ce disant, elle désignait la table multi-position, qui en fait était déjà réglée pour ce genre d'examen. Fabienne glissa ses mains sous son ample jupe pour se débarrasser le plus discrètement possible de son petit slip de dentelle qu'elle glissa dans l'une de ses poches avant de se diriger vers la table. Puis elle se mit assez maladroitement à genoux sur les gouttières un peu écartées, prit le bas de sa jupe en même temps que celui du jupon qu'elle portait en dessous avant de relever l'arrière de l'ensemble jusqu'à sa taille et d'appuyer son buste sur le plateau supérieur de la table. Elle était profondément mortifiée d'être ainsi exposée, se sentant plus que nue ainsi avec ses fesses à l'air. Mais elle n'était pas au bout de ses peines : Sylvie saisit la télécommande de la table et agit sur quelques boutons pour en modifier la position. Fabienne sentit ses genoux s'écarter largement, presque jusqu'à la douleur due à la tension des muscles de l'intérieur de ses cuisses ; en même temps son buste s'inclinait un peu plus et une partie du bas du plateau se soulevait et poussait son pubis vers le haut. La jeune prof sentit l'air frais sur son anus entre ses fesses que sa position obligeait à s'écarter largement.
De son bureau, l'infirmière contempla un moment sa patiente dans cette pose humiliante, la chair ferme et blanche des cuisses au-dessus du revers sombre des bas, le postérieur majestueux bien ouvert, exhibant bien involontairement le poinçon strié de l'anus surmontant le double renflement de la vulve aux grandes lèvres un peu disjointes, se délectant de l'apréhension de sa victime. Puis, sans se presser, elle posa ce dont elle avait besoin sur une table roulante qu'elle poussa à côté de la table d'examen, enfila une paire de gants en latex qu'elle fit claquer ostensiblement, avant de s'assoir sur un tabouret entre les mollets de la jeune prof. Alors, elle lui posa une main sur chaque fesse pour les écarter encore davantage, lui demandant gentiment :
- Dis-moi, Fab, quel effet ça te fait de te faire reluquer le trou du cul comme ça ?
Comme l'autre ne répondait que par un grognement indistinct, elle insista :
- Ça te fait mouiller ?
N'obtenant aucune réponse intelligible, elle fit glisser délicatement son index de haut en bas le long de la fente sexuelle, du périnée jusqu'au clitoris, le glissant au passage entre les gandes lèvres. En remontant, elle l'enfonça franchement dans le vagin, en effet assez mouillé et dit triomphante :
- Mais oui, ça t'excite, petite cochonne ! Tu n'as pas honte ?
Oh si, Fabienne était morte de honte d'en être réduite à un cul largement écarquillé, exposé aussi inpudiquement, mais paradoxalement, elle ne pouvait pas s'empêcher de mouiller : elle en était malade. Mais quand Sylvie lui demanda doucement :
- Tu aimerais que je te fasse jouir, Fab ?
Toute honte bue, elle ne put que murmurer :
- Oui, Sylvie, si tu veux...
Mais ce n'était pas suffisant pour sa tortionnaire qui lui dit :
- D'accord, mais demande-le moi mieux !
À mi-voix, la jeune femme demanda humblement :
- Veux-tu me caresser Sylvie, et me faire jouir, s'il te plaît ?
Mais ce n'était pas encore assez pour l'infirmière qui insista :
- Tu peux faire mieux ! Allons, lâche-toi, petite chienne en chaleur !
Après une courte hésitation, l'autre supplia sur le point de pleurer :
- Sylvie, je t'en prie, branle-moi comme une grosse cochonne que je suis ! Astique-moi le bouton, fourre-moi la chatte, je t'en supplie...
- Bon, si tu insistes... Mais tu vas devoir participer : mouille-toi le petit trou avec ta salive puis enfonce-toi un doigt dans le cul !
Et la pauvre Fabienne obéit : elle se mit un doigt dans la bouche, le mouilla abondament puis le mit entre ses fesses que Sylvie maintenait toujours très ouvertes, et se massa l'anus. Puis elle renouvela plusieurs fois l'opération, avant de s'introduire timidement le bout du majeur à l'intérieur de sa collerette anale.
Alors Sylvie, tenant sa promesse, lui relâcha les fesses pour lui ouvrir largement la vulve et lui posa son médius sur le clitoris où elle le fit bouger très vite, tout en l'encourageant à enfoncer son doigt plus profond, de le faire bouger, puis d'en ajouter un second... Subjuguée, l'autre obéissait, se sodomisait de plus en plus vite et de plus en plus fort avec ses doigts, gémissant, se cambrant encore davantage, cependant que le doigt de l'infirmière s'agitait follement sur son bourgeon d'amour. À ce rythme, Fabienne ne tarda guère à éprouver un puissant orgasme qui la fit crier et retomber complètement épuisée.
De son côté, naturellement, Sylvie était particulièrement excitée, mais ne voulait pas le laisser paraître à Fabienne, tenant à rester jusqu'au bout la meneuse du jeu. Aussi, c'est d'un ton un peu sec qu'elle lui ordonna :
- Si tu otais les doigts de ton cul, que je puisse t'examiner ?
L'anus de Fabienne palpitait encore quand l'infirmière y introduisit deux doigts gantés et lubrifiés et la patiente gémit sous l'intrusion.
Sylvie la fouilla longuement, profondément, la dilatant par la même occasion, avant de remplacer ses doigts par un spéculum qu'elle ouvrit largement. Quand elle introduisit la fine canule d'une grosse poire dans l'ouverture de l'écarteur, Fabienne s'exclama :
- Mais, Sylvie, qu'est-ce qu’es-tu en train de me faire ?
- Pas de soucis, ma chérie : je gonfle simplement ton rectum pour pouvoir l'examiner.
Elle remplit et vida plusieurs fois la poire, provoquant des crampes à sa victime qui ne put retenir quelques pets très mortifiants. Elle remplaça ensuite la canule par la caméra endoscopique qu'elle fit pénétrer d'une vingtaine de centimètres, avant de la retirer lentement, le regard fixé sur l'écran de contrôle. Enfin, elle referma et retira le spéculum et lui essuya l'anus avec un kleenex. Avec une grande claque sur les fesses, elle annonça joyeusement :
- C'est terminé, Fab, tu peux te relever !
Ce que la prof fit assez maladroitement faisant retomber ses jupes et reprenant un air décent, mais le visage écarlate ! Assise à son bureau, Sylvie lui dit :
- Et bien, te voilà guérie de ta séance mouvementée de masturbation. Tu vas pouvoir te fourrer tout ce que tu voudras entre les fesses ! Veux-tu me faire plaisir, Fabienne ?
Un peu hésitante, l'autre répondit :
- Oui, bien sûr Sylvie, avec plaisir !
- Alors, ne remets pas ta culotte de toute la journée et à l'avenir, chaque fois que tu te masturberas, tu mettras un message dans ton dossier indiquant l'heure, le lieu et la méthode. On est d'accord ?
La jeune prof opina de la tête, incappable de proférer un son et s'en alla, plus que troublée... La journée lui parut longue, très gênée de ne pas porter de culotte, de plus, l'air que Sylvie lui avait injecté dans le rectum ne demandait qu'à en ressortir et elle dût faire de gros efforts pour rendre ses vents aussi discrets que possible. Ce jour-là, elle eut l'occasion de donner trois fessées à des élèves, ce qui n'arrangea pas son état d'esprit vu l'excitation que cela lui avait procuré : chaque fois, à la pause suivante, elle dût s'isoler aux toilettes pour se fourrer une main impatiente entre les cuisses... Et comme elle l'avait implicitement accepté, chaque fois, elle mis un message pour le signaler et reçut en retour les encouragements de l'infirmière. Le soir, quand elle se coucha, elle avait les poils de la chatte collés, le haut des cuisses humide et elle se félicita d'avoir mis un jupon en coton, lui aussi trempé de ses sécrétions vaginales, mais qui lui avait évité de mouiller sa jupe.
Et la routine s'installa pour Fabienne : c'était une excellente prof et elle avait affaire à des élèves assez disciplinées, ce qui ne l'empêchait nullement de leur donner la fessée chaque fois qu'elle le jugeait utile. Elle était très surprise d'éprouver de plus en plus de plaisir à ce genre d'exercice, et comme le lui avaient conseillé ses collègues, elle variait sa façon de punir : soit elle faisait venir la fille sur l'estrade, glissait ses mains sous sa jupe pour lui baisser sa culotte avant de relever sa jupe ; d'autres fois, c'était le contraire. Où alors elle demandait à la punie de se déculotter entièrement elle-même, et parfois de se mettre toute nue Elle variait aussi les poses : en travers de ses genoux, prosternée sur le bord de l'estrade, penchée sur le dossier d'une chaise, etc.
Des collègues et même des élèves lui faisaient des propositions à peine déguisées qu'elle faisait mine d'ignorer, mais excitée presque en permanence, elle se masturbait très souvent. Quand elle croisait l'infirmière, elles échangeaient quelques mots, mais sans jamais faire allusion à ce qui s'était passé entre elles. Quant à Sandrine, elle aussi d'une parfaite discrétion, elle se comportait en élève modèle, ne lui donnant jamais le moindre prétexte à la punir, l'empêchant de revoir son joli petit cul auquel elle rêvait...
De temps à autre, elle recevait sur sa messagerie un court message de Sylvie lui disant : "Pour demain, ni slip ni collant." Et Fabienne, mortifièe, obéissait sans pour autant s'habituer à avoir la chatte et le cul à l'air sous sa jupe, aussi gênée que la première fois.
Elle était arrivée au pensionnat depuis environ quinze jours quand elle eut ses règles à la fin desquelles elle se présenta à la salle d'hydrothérapie, dut se mettre nue en présence de plusieurs autres membres du personnel, traverser le pédiluve, puis comme les autres, tremper une canule dans le gros pot de vaseline, écarter et plier les genoux et tâtonner un peu entre ses fesses pour se l'introduire profondément dans l'anus. Puis allongée sur une des tables, Sylvie l'avait branchée sur la machine à distribuer les lavements. Ensuite, ça avait été comme la première fois : crampes, besoin impérieux de vider son rectum, s'accroupir, se soulager parmi les autres. Toutes faisaient semblant de ne pas être gênée par cette situation humiliante au possible, avec plus ou moins de succès. Seule variante, elle resta un long moment accroupie au-dessus d'un des jets verticaux, assez puissant pour pénétrer son vagin alors que pour faciliter ce nettoyage interne, les mains passées sous ses fesses, elle tirait sur ses grandes lèvres pour s'ouvrir au maximum comme il lui avait été ordonné.
En se rhabillant, très troublée, elle se dit qu'elle ne s'y ferait jamais.
Un vendredi soir, à la fin du cours de math qui clôturait la semaine, Sandrine que Sylvie avait dûment chapitrée et qui voulait se montrer à la hauteur pour plaire à son amoureuse, s'attarda un peu pour être la dernière à sortir de la classe. Elle sourit gentiment à son professeur et lui demanda poliment :
- Pourriez-vous me rendre un grand service, Fabienne s'il vous plaît ?
Celle-ci, le visage encore rouge de la magistrale fessée cul nu qu'elle venait d'administrer à l'une de ses élèves, n'hésita même pas :
- Bien sûr, Sandrine, si je le peux. De quoi s'agit-il ?
L'adolescente feignit l'embarras, baissa les yeux et lui dit :
- Sylvie est absente pour le week-end et elle m'a laissé la responsabilité de l'infirmerie, avec un numéro où la joindre en cas de besoin...
- Félicitations, ma chérie ! Mais que puis-je faire pour toi ?
Sandrine hésita puis avoua :
- Sylvie m'a aussi laissé des travaux pratiques à faire pendant mes temps libres et je... j'ai pensé que vous accepteriez de me servir de sujet pour mes exercices...
Fabienne sursauta et demanda :
- Quel genre d'exercice ?
L'air toujours aussi candide, sachant pertinament qu'elle allait devoir dominer et humilier cette jeune femme qui avait presque l'âge de sa mère, Sandrine mentit effrontément :
- En fait, je ne sais pas trop : Sylvie m'a laissé des instructions à l'infirmerie. Vous voulez bien m'y accompagner ?
La jeune femme hésita un moment se demandant en quoi consistaient ces fameux travaux pratiques. Elle savait aussi que Sandrine ne se serait jamais permis de lui demander de lui servir de cobaye sans l'accord de l'infirmière et comme celle-ci était comme cul et chemise avec la directrice, c'était du quasi officiel. Pouvait-elle refuser ? Elle ne le croyait pas, aussi, elle dit en rougissant un peu :
- Je veux bien, Sandrine, si ça peut t'aider...
- Oh merci Fabienne, merci !
La prof était un peu contrariée, passablement excité par la correction qui avait précédé et elle aurait bien aimé s'isoler un moment. Aussi, elle biaisa :
- Je t'en prie... Je vais passer chez moi pour me changer et je te retrouverai ensuite à l'infirmerie ?
- Mais non, ce n'est pas la peine, nous pouvons y aller directement.