- Oui, Mencia j'aime ça avouai-je.
J'ai peur de ce que tu vas me faire, mais je ne peux pas
m'empêcher de m'exciter d'être toute nue, attachée,
en ton pouvoir.
- Imagine un peu, ma chérie, que j'aie donné rendez-vous
à quelques types avec des bites
énormes et que je t'abandonne là, toute seule, pour
qu'ils t'enfilent des deux côtés les uns après
les autres...
- Oh ! Mencia, tu n'as pas fait cela, n'est ce pas ?
Sans me répondre, elle passa une main entre mes cuisses,
inséra ses doigts gantés dans les
replis de mon sexe, les retira humides de mes abondantes sécrétions
intimes.
- Tu es trempée comme une chienne en chaleur, reprit-elle
en présentant ses doigts devant
ma bouche. Allez, suce ton jus, salope !
Quand j'eus léché ses deux doigts gainés
de chevreau, elle me contourna et se plaça derrière
moi.
A un imperceptible bruissement de feuilles, je compris que le
bras de Mencia se levait
pour me fouetter aux orties. D'instinct, je crispais mes fesses
d'appréhension et serrai les poings.
La première atteinte des plantes urticantes me balayant
le derrière me fit hurler de douleur.
J'avais oublié, déjà que cela pouvait faire
aussi mal.
- Mencia !... Non, Mencia, non ! criai-je en piétinant
le sol.