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DOMINIQUE SAINT-MARC (encore un must)

 

Ouvrages de Dominique Saint-Marc :

 

L’enchâssée (2 volumes).
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Orane (Défi).
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Orane n’est qu’une oie blanche qui semble bien timorée dans les bras de son mari Armand. Heureusement une amie, Marianne et son mari Gérard, lui font découvrir sa véritable nature : celle d’une fieffée salope.
Armand, le premier surpris par cette découverte, sympathise avec Gérard et les deux amis décident alors d’entreprendre l’éducation d’Orane, un sévère apprentissage qui va commencer par une foutue branlée…
Dans un style éblouissant, l’auteur nous invite à suivre le dressage d’une sacrée femelle, qui ne va pas tarder à apprendre les jouissances de son nouveau métier : celui de putain et de bête à plaisir.
Les premiers pas d’Orane sur les chemins de la volupté et de la découverte progressive de sa propre sensualité permettent à l’élève de dépasser les maîtres et elle multiplie les expériences : de plaisir en plaisir, de jouissance en jouissance, Orane recule les limites de l’extase. Mais c’est sous la torture et l’humiliation qu’apparaîtra sa véritable vocation : elle est née pour être esclave.
A travers la souffrance consentie et le désir délicieux de la soumission, Orane va enfin connaître cet avilissement tant recherché. Pénétrez avec elle dans ce sanctuaire de la douleur physique et mentale où les jouissances les plus perverses et les humiliations les plus profondes de l’esclave face au Maître font partie du quotidien… Dans un style ciselé et flamboyant, l’auteur nous convie à suivre Orane dans sa descente aux enfers.
On trouve dans cet ouvrage, le style bien particulier du "Proust de l’érotisme", l’auteur s’empare du lecteur et l’emporte d’un jet, à travers le roman pour le laisser pantelant et étourdi à la dernière page d’un livre exceptionnel. A vous couper le souffle !

 

L’odalisque (3 volumes).
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Plaisirs infernaux (Héliot presse).
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Pour précipiter l’homme hors du Paradis Terrestre où Dieu l’avait placé, éternel, simple et heureux, pour le livrer au péché qui serait à la fois son plaisir et sa malédiction, le Mâlin tenta EVE, sachant que celle-ci ne connaîtrait rien d’autre que la saveur vénéneuse du fruit défendu.
            Et j’ignorais de quel Mâlin ma tentatrice pourrait être l’Eve… et j’ignorais sous quel attrayant aspect me séduirait délectablement le fruit défendu… et j’ignorais, d’avantage encore, que le Mâlin eût posé sur moi son doigt crochu, n’attendant plus que son heure pour me soumettre à sa volonté et me perdre… mais j’ignorais tant de choses, tant de choses pour lesquelles, soudain, me venait le désir des sens, en une étrange et irrépressible convoitise…

 

L’amante de scorpionne (Delta plus).
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            Est-ce parce qu’elle a subi des violences sexuelles, un jour de l’été de ses 16 ans, que Loriane, qui se destine à une carrière d’historienne, traite longuement des cruautés infligées aux femme sans son premier livre consacré à l’inquisition ? Parmi l’abondante correspondance que lui vaut le succès de son ouvrage, elle reçoit la lettre d’une certaine comtesse de… Torquemada, laquelle l’invite à un séjour dans son château de Castille.
            Loriane de Rhynval se rend au « Château de la reine ». Elle va y connaître Alecto de Torquemada, beauté surhumaine, oppressante et ambiguë. Alecto-scorpionne, perverse, cruelle, dont les servantes sont des esclaves. Alecto-scorpionne, une femme ?
            Révoltée, apeurée, mais irrépressiblement attirée par cet univers qu’enferment les hautes murailles de la sombre forteresse, Loriane va céder à son hôtesse qui, au delà s’une simple expérience, lui promet une existence hors des normes, opposée à toute morale, dans ces marges que la société qualifie de dépravées.
            Scorpionne, la maîtresse ; Loriane, l’amante.
            Loriane, l’esclave ; Sorpionne la dominatrice.
            Des relations âpres, le plaisir d’humilier et de faire souffrir, la volupté de la douleur, l’amour… peut-être.

 

La corrompue (Delta plus).
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            Un monde sans homme. Des femmes qui vivent en clôture, qui sont en proie à tous les fantasmes, qui prient Dieu et implorent Satan, qui mêlent saphisme, sadisme et masochisme, qui ont la charge de jeunes filles…
L’institution religieuse : la garantie de la meilleure éducation ? Les classes aisées des sociétés occidentales le tiennent pour vrai. Cela a été, est vrai… quelques fois.
            Dans les années 1920-1950, en Espagne, pays de couvents, une Argentine, orpheline, va brusquement se trouver confrontée aux réalités les plus clandestines, les moins avouables d’un univers claustral implacable au sein duquel se confondent souffrance et jouissance. Rigueurs impitoyables d’un couvent aux règles inhumaines, châtiments corporels hérités des temps les plus reculés, négation de l’amour, de la tendresse, de la tolérance, de la justice, de l’enfance… C’est là ce qui va constituer l’ordinaire de la jeune Orlanda de Cuendaes, que son orgueil, sa pugnacité de caractère, mais aussi une étrange propension à s’émouvoir sexuellement de l’humiliation et de la douleur, vont peu à peu conduire à confondre le bien et le mal, la souffrance et le plaisir, le vertu et le vice.
            De celles qui devraient l’éduquer, elle va apprendre la corruption de l’esprit et des sens. De la discipline dispensatrice des pénitences, elle va faire l’accessoire de ses voluptés.
            Et de Christ, fils de dieu crucifié ; de Christ époux divin des nonnes refoulées ; de Christ, que va-t-elle être ?

 

La quête éperdue (Delta plus).
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            A l’été d’une jeunesse radieuse, d’une beauté étourdissante, un époux riche et séduisant, admirée des hommes, enviée des femmes, Edwige a tout pour être heureuse.
            Mais le destin en décide autrement. Un drame la frappe, éveille en sa chair une fièvre perfide que rein ne peut apaiser. L’esprit livré au chaos de fantasmes obsédants, les sens horripilés de désirs inavouables et qu’elle ne peut assouvir, elle passe la porte qui s’ouvre sur le monde des passions maléfiques.
            De pratiques solitaires en avilissements conjugaux, de la tenancière d’une maison de débauche clandestine à la grande bourgeoise perverse, de La Louve d’un club sado-masochiste à Meisterin Wanda, Edwige s’acharne dans la quête voluptueuse de ces âpres délices, qui ne se savourent qu’au travers des humiliations, de la douleur et de l’absolue soumission.

 

Les chiens de Lord Folkrown (Delta plus).
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            Les cris et les plaintes lui parvinrent alors avec davantage de netteté, mais également les bruits singuliers, dont certains pouvaient s’apparenter à des claquements mats de lanières de cuir heurtant la chair, d’autres à de brefs ricanements, d’autres enfin à des grognements de chien… Lentement, elle avança vers le fond de la galerie, attirée malgré elle par ces sons imprécis, mystérieux, qui faisaient renaître et défiler dans son cerveau une succession d’images issues de souvenirs récents, qu’elle ne parvenait à oublier, qui l’obsédaient, aiguisant sa curiosité, accentuaient sa crainte aussi, mais la poussaient toujours plus avant, avec une force telle qu’elle ne pouvait y résister.
            Autant par goût de l’insolite que parce qu’elle a besoin de beaucoup d’argent pour la restauration de son manoir familial, Vulfrance de Sancray, choisie en raison de sa radieuse beauté et de son ardente sensualité qui il dispose aux expériences érotiques un peu pimentées, accepte la mission délicate et périlleuse d’espionner un Lord pervers soupçonné de se livrer à la dépravation et au trafic d’enfants.
            C’est ainsi que, sous le couvert d’une prétendue candidate à l’esclavage sexuel, avec pour seuls atouts sa blondeur nordique, ses appas affolants et son visage d’adolescente candide, elle va pénétrer dans un univers aux mœurs à la fois étranges et révoltantes, fascinantes et scandaleuses, secrètes et infiniment redoutables, où les chiens ne sont pas ce qu’ils devraient être…
            Avec LES CHIENS DE LORD FOLKROWN, ouvrant le cycle des aventures érotico-sado-masochistes de l’audacieuse VULFRANE, Dominique SAINT-MARC a délibérément choisi de surprendre, d’inquiéter, voire de choquer, en plongeant plus profond encore dans les méandres de l’angoissant abîme des fantasmes qui nous hantent.

 

Le dressage de l’hétaïre (Delta plus).
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            Elle était nue, et captive, et enchaînée…
            On l’humiliait, et on la violentait, et on la fouettait…
            On la torturait même…
            Pour la dresser !
            Elle avait accepté qu’il en fût ainsi.
            …
            Dans les fers, elle avait deviné l’effet de sa propre force, et dans la violence de ceux qui se disaient les maîtres, celui d’une relative faiblesse.
La cage dans laquelle on la tenait enfermée, avec son consentement initial, bien sûr, n’était rien ; elle aurait pu, à volonté, faire un palais du plus abject cachot…
            Un jour, même, elle serait capable de défier, par des fautes sciemment commises, le plus cruel des bourreaux. Quel plus grand triomphe, alors, que celui de pouvoir convaincre un tortionnaire de l’inanité de sa férocité en jouissant sans mesure de ses odieux talents.
            …
            Ainsi pensait Yo, qui avait été Yolande Clarensq, en ses longues heures de solitude durant lesquelles on la tenait enchaînée, ignorant si elle se trompait ou non… Mais de toute façon sans prétendre, face à elle-même, avoir trouvé la vérité.

 

Oriana sous le fouet (Delta plus).
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            "Elle gémit, tressaillit et hoqueta sourdement à chaque claquement qui l’échauffa, étouffa une plainte plus vive et sursauta quand, contournant ses flancs, l’extrémité des cordelettes mordit l’opulence de ses seins, vibra quand les coups descendirent vers ses reins, lutta pour ne pas jeter les mains à sa poitrine sous un nouvel et cuisant attouchement, pleura au suivant qui lui meurtrit un mamelon…
            Là, agenouillée et assise sur ses talons, soutenant son buste de ses bras tendus, la chevelure mise en désordre, presque nue, le dos strié de rouge jusqu’aux reins, et les seins quelque peu aussi, les yeux inondés de larmes et les joues empourprées, la bouche à demi ouverte et les lèvres tremblantes, les narines palpitantes, le souffle court et haletant, il la vit alors sublime en sa beauté.
            Il n’était plus en lui qu’une impatience : celle de se retirer en sa chambre afin d’y pouvoir satisfaire, en dehors de tout regard, la nécessité qui le cambrait jusqu’à la douleur".

 

Cuisants plaisirs (Delta plus).

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La chair et le fouet (Delta plus).
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            "… Après avoir tant désiré fuir cette arène, je ne l’eusse à présent quittée pour rien au monde. Possédée, pénétrée sans cesse ni répit, jouissant et souffrant, souffrant et jouissant interminablement, sombrant par instants dans l’inconscience et revenant à la vie dans un cri de volupté, je découvrais une forme de suprême délectation. J’éprouvais un paroxysme dont je ne savais plus s’il était davantage charnel que cérébral, et je donnais de toute ma volonté en adressant à Victor et Stela des pensées de gratitude pour m’avoir persuadée de me prêter à une telle expérience.
            Vint le moment où je ne ressentit plus rien, ne fis plus rien, ne vis plus rien, n’entendis plus rien, ne sus plus rien…"
            Une déception amoureuse, pire, une trahison !
            La recherche d’une consolation, sinon d’un oubli, dans un voyage outre-atlantique, vers ces latitudes sud de l’intense, voire de l’extrême, où les passions se vivent exacerbées.
            Et c’est le pas fatal, celui qui fait basculer une vie, celui qui la perd ou lui donne un sens.

            Qu’importe les jugements !
            Plaisir-douleur ; souffrance-jouissance…
            Orgueil-honte ; avilissement-exaltation…
            Qu’importe le sens commun !

            Ce qui m’enchante fait horreur aux autres.
            Et si ce qu’aiment les autres m’indiffère, moi ?

 

Les soumissions de Sabine (Delta plus).

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Féroces voluptés (Delta plus)

1er volume de la série "Ivresses masochistes".

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            Don Jaime de Herrela n’était plus.
            Libre ! J’étais libre et, de surcroît fortunée !
            J’allais enfin pouvoir assouvir à ma guise les passions dévorantes qui bouillonnaient en vain dans mon être depuis si longtemps, m’enivrer des plus douces comme des plus âpres voluptés. Pour irrationnel et malsain que me semblât le phénomène, j’étais résolue à cultiver ce désir nouveau que je ne savais ni ne voulais m’interdire d’éprouver, qui  me faisait malgré moi convoiter la jouissance sexuelle dans la soumission, sinon déjà l’humiliation et la souffrance…
            S’emparant de la queue de cheval, qui se trouvait encore près de moi sur le lit, elle se mit à me cingler vertement la croupe, m’arrachant cette fois de vrais cris, m’octroyant des sensations autrement plus intenses que celles que je m’étais procurées en me cinglant moi-même…
            Vicente cessa de me frapper.
            Je ne souffrais pas intolérablement, loin de là ! C’était d’un âpre plaisir que je défaillais à demi, sinon déjà d’un véritable orgasme…
            Elle commença par me retourner les bras dans le dos, puis m’attacha les poignets croisés sur les reins ; ensuite elle me ceintura durement de la corde, passa celle-ci entre mes fesses et mes cuisses, la glissa entre mes grandes lèvres sexuelles, puis sous la partie qui me sciait la taille, et tira de toutes ses forces, me faisant d’abord grimacer, puis gémir et enfin râler…
            Rugueuse, la corde m’irritait douloureusement l’anus, la vulve et le clitoris.
            Sans se soucier le moins du monde de mes plaintes, elle fit un nœud au dessus de mon nombril et, me tirant derrière elle par l’autre extrémité de la corde, elle m’entraîna de la sorte en direction de la résidence…
            Et ce fut le troisième essai, autant de nouveaux coups de fouet. Cette fois, le pal de chair dure ne recula plus, progressa impitoyablement en moi. J’eus l’horrible sensation que mon fondement se corrodait autour d’une barre de fer rougi qui s’enfonçait lentement dans mon derrière. Il y eut un lent retrait, puis une saillie qui m’arracha un beuglement d’agonie. Les violentes douleurs se succédèrent ensuite sans répit, à chaque coup de rein de José, pimentées des cinglées du fouet…

 

Hurlements (Delta plus)

2ème volume de la série "Ivresses masochistes".

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            Madame Sofia me fit pencher en avant et m’appuyer des deux mains sur la demi-queue du piano, les bras tendus et le postérieur offert. Puis, étirant et faisant s’incruster dans le sillon profond de ma croupe, mais aussi entre les lèvres de mon sexe, la maille élastique de mon justaucorps, elle me découvrit entièrement les fesses avant de saisir d’une main ferme le sion de bambou qui, en compagnie du fouet de cocher, se trouvait posé constamment sur l’instrument de musique.
            Cela faisait presque deux semaines que je n’avais subi de punition.
            Ce fut à peine si j’entendis le léger sifflement de la badine fendant l’air…
            Lentement, millimètre après millimètre, la verge de Luis me pénétra en glissant contre celle de Vicente, se logea toute entière dans mon vagin, je fus surpris de n’en éprouver aucune souffrance et de me trouver aussi large.
            Ils me firent râler en se mettant en mouvement, poussant et se rétractant tour à tour ou bien s’enfonçant ensemble. Je perdis la notion du temps. Il me semble que les deux verges venaient tout juste de se tutoyer dans mon sexe lorsqu’un orgasme fou me ravagea.
            Tandis que les deux pénis continuaient d’aller et venir en glissant l’un sur l’autre, avec des clapotements dans mon fourreau intime dilaté par leurs volumes, que je ne cessais plus de jouir. José parvint à se positionner acrobatiquement entre ma croupe et Luis pour me clouer l’anus de son phallus.
            Mortifiée, les larmes me piquant à nouveau les yeux, je parvins de la sorte en vue d’un vaste manège à ciel ouvert, aménagé à proximité de l’une des courbes du terrain de courses, au centre duquel se dressait un puissant tourniquet à six branches.
            L’incisive morsure de la mèche sur ma croupe enflammée me fit bondir en avant et jeter un cri que le mors étrangla.
            Dans le même temps, j’aperçus les attelages qui prenaient la piste. Excepté le harnais plus complet et les cuissardes, les dix ou douze Donas Yeguas étaient cette fois aussi nues que moi…
            La fatigue alourdissait mes jambes, me raidissait les reins. Mes épaules et mes bras durement retournés me faisaient de plus en plus souffrir. Je trébuchai une première fois, puis une seconde, une troisième… A la quatrième, je ne pus contrôler mon équilibre et m’affalai durement sur les genoux, gémissant, pleurant de lassitude et des écorchures que m’infligea la terre battue.

 

Divine Maîtresse (Promo import)

3ème volume de la série "Ivresses masochistes"
avec douze illustrations de l’auteur.

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            Les trois hommes descendirent des cabines et s’avancèrent vers nous en roulant des épaules. Le premier, une espèce de primate courtaud encore plus velu que Vicente, et le second, plus jeune et svelte, étaient pareillement vêtus d’un maillot de corps et d’un pantalon verdâtres provenant des surplus de l’armée, maculés de cambouis. Le troisième, sorte de géant repoussant de laideur, projetait devant lui, entre les pans de sa chemise écossaise ouverte et au-dessus de son pantalon serré bas sur ses hanches par un large ceinturon qui lui tenait lieu de sous-ventrière, une formidable panse. Son visage bestial, ruisselait de sueur, déformé par un rictus de concupiscence, me dégoûta et me terrifia en même temps.
            D’instinct, je couvris ma nudité de mes bras et de mes mains, et recherchais la protection de Vicente. Mais celui-ci me tint à distance, me ramena les bras le long du corps et se recula.
            - Dis donc l’ami, l’apostropha le géant, j’ai l’impression que ta copine est une sacrée salope pour se foutre comme ça à poil en plein jour dans une décapotable ! Elle cherche juste à s’exciter en se faisant reluquer ou bien est-ce que ta bite ne lui suffit pas ?
            - Ce n’est pas ma copine, mais une pute… Ma gagneuse si tu préfères!
            - Tu es rudement gonflé de la faire racoler à poil dans ta bagnole et au beau milieu de l’après-midi ! apprécia le plus mince avec une pointe d’admiration dans la voix.
            - Ouais approuva le costaud poilu qui était descendu de la même cabine que lui. Toi, au moins, t’as pas l’air d’avoir peur des flics !
            - Je ne sais pas où tu as déniché cette morue ni comment tu l’as persuadée de faire la pute pour toi, reprit le géant, mais je n’ai pas souvent eu le plaisir d’admirer un châssis pareil !
            - Tu la trouves presque plus belle que ton camion, hein, Pedro ? ricana le jeune.
            - Vise un peu ses nibars, gamin ! Moi, j’aime qu’une femme ait de grosses mamelles, pas trop lourdes et assez fermes.
            Avançant une main large comme un battoir, il m’empauma le sein gauche et me fit tressaillir de répulsion.
            - Et son cul, alors ! observa le primate. Tu l’as vu, son cul ?... Elle a une croupe à rendre jalouse une pouliche ! Bon dieu ! Elle est sacrément bien roulée !
            La honte me submergeait à devoir demeurer ainsi toute nue devant eux, offerte à leurs yeux remplis de désir malsain. Ils me faisaient peur ; leurs faciès de brutes me rebutaient ; les regards libidineux qu’ils accrochaient à mes seins et à mon bas-ventre me révoltaient ; l’âcre odeur de leur transpiration et la malpropreté qui se devinait sous leurs vêtements tachés m’écoeuraient. Mais, dans l’attente que Vicente se décidât à me livrer à eux, je ne m’en excitai pas moins d’instant en instant davantage.

 

Sad’club (Delta plus) 30 illustrations de l’auteur.

            Deux coquines, qui s’adonnent aux plaisirs de Lesbos, ne se doutent guère, en se faisant surprendre au cœur de leurs ébats par le mari de l’une d’elles, que les représailles par le mari de cette dernière vont les précipiter dans un univers où leur existence ne sera plus faite que d’humiliations, de vices et de sévices sexuels incessants.
            Livrées à une dresseuse perverse et cruelle, qui se fait assister par un transsexuel sadique et un noir hercule membré comme un taureau, impitoyablement violées, fouettées, asservies, avilies, les deux "coupables", après avoir subi d’odieux tourments, seront infibulées, marquées, et vendues pour être à jamais partenaires esclaves de toutes les perversions d’un maître richissime et dépravé.
            Pour la première fois, et après plusieurs romans à succès tels que L’ODALISQUE, LES PLAISIRS INFERNAUX, L’AMANTE DE SCORPIONNE ou LA CORROMPUE, pour ne citer que les plus récents, Dominique SAINT-MARC complète ici par le graphisme, sa vision d’un monde – dont on sait bien qu’il n’est pas seulement le fruit de l’imagination – dans lequel s’exaltent et s’assouvissent, parfois jusqu’à la démesure, les passions sado-masochistes les plus délirantes.

 

La sultane (Delta plus) 30 illustrations de l’auteur.

            Curieuse, une ardente beauté blonde accepte de se prêter, sur les incitations d’une amie, à une expérience sado-masochiste. Mais l’expérience va se prolonger. Passion sincère opposée à un mariage-supercherie, à la duplicité d’un couple fraternel pervers, à la cruauté et au calcul d’une ambitieuse sans scrupules, l’héroïne naïve va basculer dans l’asservissement sexuel total.
            Mais telle est prise qui croyait prendre ! Offerte au prince Hindou par celle qui l’a déchue et qui convoite de se faire épouser, l’esclave au mamelles hypertrophiées va séduire son maître , devenir Sultane et se venger… cruellement de sa trop orgueilleuse rivale.
            Dominique SAINT-MARC récidive. Après LE CLUB DE MADAME S…, voici son second recueil de dessins sado-masochistes. Mais cette fois, il a préféré la plume et l’encre à la mine de graphite. Résolument attaché à un type de silhouette féminine – à la fois élancée et bien en chair – qui n’est pas sans rappeler celui des beautés ravageuses des années 60, il nous offre des femmes plus belles encore, des décors plus travaillés, des situations plus excitantes. Les amateurs y trouveront sans aucun doute leur compte.

 

La star déchue (Delta plus) 30 illustrations de l’auteur.

            Reine de beauté ! Béatrice en avait rêvé, des jours et des nuits, depuis cette soirée à l’occasion de laquelle un jury de vieux jetons l’avait choisie, parmi plus de trente candidates s’exhibant en petit maillot de bain sexy à leurs regards luisants de lubricité, et élue miss de la sinistre bourgade de province. Elle avait alors à peins seize ans.
            …
            Le réveil avait été brutal. Du soir au matin, elle était retombée dans l’oubli, pire, l’anonymat… et la dèche. La seule véritable proposition qui lui avait été faite consistait à poser pour un photographe spécialisé dans le porno.
            …
            Nue sous sa robe blanche, Béatrice dut se trousser et offrir à la vue de tous son sexe et ses fesses, que les deux hommes cinglèrent au moyen d’une longue et fine cravache de dressage ainsi que d’un martinet pourvu de courtes mais bonnes lanières de cuir.
            …
            Les seins, les flancs, le ventre et le sexe garnis de pinces mordantes et brûlantes, les yeux noyés de larmes, les joues ruisselantes, ahanante et geignante, Béatrice se mit à crier pour de bon et à supplier…
            …
            Et toujours, sans relâche, soufflant, grognant, haletant, les hommes en rut se succédaient derrière Béatrice pour l’assaillir et l’emplir de foutre épais et brûlant.
            …
            L’homme les fit languir une longue minute afin de ménager ses effets, puis un sourire gouailleur aux lèvres, il laissa tomber trois mots :
            - La star déchue !

 

Sad’club 2 : Les esclaves de Duena (Promo import) 30 illustrations de l’auteur.

 

La punition du travesti (Delta plus) 30 illustrations de l’auteur.

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