- Mais le soleil va te fatiguer...
- Ne crains rien, ma chérie, Je resterai sous le parasol.
C'est toi qui te mettras au soleil...
Darling fit une dernière tentative.
- Mais c'est que je n'ai pas amené mon maillot...
- Aucune importance. Mes parents ne sont pas là... Tu n'auras
qu'à te mettre en culotte
et soutien gorge !
- Voyons Carolyn, tu n'y songes pas ! Ma culotte est indécente
! Je ne peux pas me
montrer avec ça... C'est une de celles que tu m'as données...
Elle est transparente devant et
comme elle est trop petite, elle me rentre entre les fesses, on
me voit tout...
- On te voit tout ? gloussa Carolyn, qui semblait au bord du fou
rire. Eh bien, mais c'est
parfait, mon ange ! Comme ça tu pourras faire bronzer tes
grosses fesses ! (elle éclata d'un rire
acide.) Et j'aurais le plaisir de voir la lune... en plein soleil
! D'ailleurs, ajouta perfidement
Carolyn, personne ne t'empêche de te mettre toute nue, si
tu as honte de ta culotte... nous sommes
seules à la maison.
Cela faisait une dizaine de minutes que les
deux jeunes filles étaient au bord de la piscine.
Carolyn, à l'abri du parasol, aussi fraîche qu'une
rose, et Darling, suant en plein soleil, sur un
transat que Carolyn lui avait indiqué et qui se trouvait,
par le plus grand des hasards, juste en face
de la fenêtre de la bibliothèque... Darling commençait
à s'alanguir sérieusement. Des gouttelettes
de sueur brillaient sur sa peau encore pâle... et cette
même sueur ruisselant sur ses seins et sur son
ventre, que protégeaient des regards un léger soutien
gorge et une culotte de soie beaucoup trop
exiguë, imbibait l'étoffe fine de ces sous vêtements
et les rendait, peu à peu, transparents. Déjà,
à
travers le soutien gorge humide qui collait à la peau des
seins on pouvait voir les taches sombres
des aréoles et les pointes cramoisies des mamelons. De
même qu'entre les cuisses légèrement
écartées de la jeune fille, on pouvait discerner
la tache sombre des poils et le pli vertical de la
fente du con...
Plus le temps passait et plus l'étoffe qui cachait encore
les parties honteuses de Darling
allait devenir indiscrète. Celle ci en était très
consciente et jetait des regards alarmés vers les
persiennes de la bibliothèque. Pourquoi le nier ? L'idée
qu'on pouvait la voir de là-bas ne la
laissait pas insensible... En vain s'efforçait-elle de
la chasser de son esprit. L'idée revenait. Et,
dans sa tête, la " voix " chuchotait... "
s'il y a quelqu'un là derrière, il doit se rincer
drôlement
l'oeil... C'est comme si tu avais les seins nus... et on voit
la fente de ton con à travers le slip
mouillé... Cette garce de Carolyn l'a fait exprès...
" Honteuse... et excitée, la jeune fille ne cessait
de changer de position... Tantôt elle resserrait pudiquement
les cuisses, mais alors la sueur
ruisselait entre elles, et elle les écartait pour se rafraîchir...
exposant ainsi son con face à la fenêtre
de la bibliothèque... Chaque fois, elle sentait sa chair
s'entrouvrir un peu plus, sous la soie
humide du slip...
- Qu'as tu donc à te tortiller ainsi ? lui demanda Carolyn.
Je te trouve bien nerveuse !
- Il fait si chaud.
- Tu as chaud ? Eh bien retire ton soutien-gorge, ma chérie...
Tu pourras faire rafraîchir
tes gros nénés...
Darling haussa les épaules, boudeuse. Comme elle s'apprêtait
à répondre, un grincement
s'éleva dans la bibliothèque. Quelqu'un, elle en
était certaine, venait d'ouvrir la fenêtre derrière
les persiennes. Elle se redressa, alarmée, refermant les
cuisses et croisa les bras sur sa poitrine
pour dissimuler en partie ses seins généreux.