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Ruses
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Ruses

 

 

 

 

 

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LYKAS est à bout ! En ces huit jours, nous l’avons absolument vidé, Glôttis et moi.
            Ah ! c’est que nous avons été comme deux furies. Les premiers jours, ça allait tout seul ; il bandait, bandait pour un rien, se jetait sur nous, nous enfilait l’une après l’autre, éjaculait trois ou quatre fois sans aucun artifice. Mais son premier feu se calma et c’est alors que nous nous sommes mises à agir.
            Tantôt Glôttis, tantôt moi, nous l’agacions, nous l’excitions avec cent et une ruses. S’il allait, rêvassant, dans le jardin, je m’approchais et, retroussant sa tunique pour faufiler ma main entre ses cuisses, je saisissais ses couilles, sur lesquelles je me mettais à faire des frôlements légers. Je le suivais ainsi…
            Il fallait bien qu’il finît par avoir la queue raide, et alors, je le branlais jusqu’à l’émission de sperme !…
            S’il se croyait ensuite tranquille, Glôttis arrivait devant lui et, se mettant nue, écartait les cuisses, lui montrait son sexe, se branlait, en prenant des mines excitées : de nouveau, il était en érection ; elle le couchait sous elle, elle saisissait sa verge, elle se l’enfonçait, elle faisait le va-et-vient, jusqu’à ce qu’il fut saisi par le spasme. Moi alors, peu de temps après, je revenais et, le tripotant, je lui disais : « Oh ! chéri, viens vite… par-derrière, encule-moi !… »
            S’il hésitait, Glôttis venait à la rescousse, et, devant lui, toutes deux, nous nous faisions minette, en râlant terriblement… Mais, au moment voulu, je criais : « Ah ! Lykas, je t’en supplie, mets-moi ta bite dans le trou du derrière ! »
            Cela finissait bien par l’exciter et alors il lui fallait y passer. Car, c’est bien simple, dès qu’il bandait, la partie était gagnée et nous poussions jusqu’à l’écoulement de la liqueur sacrée. Quitte même, si ça traînait trop, à lui sucer la queue.
            C’est ainsi que, pendant cette semaine, nous l’avons fait jouir six à sept fois par jour.
            Et nous ?… Oh ! nous, ça n’avait pas d’importance. Nous ne jouissions pas à tout coup, parbleu ! Mais nous faisions semblant, de manière à le mettre hors de lui ! Notre but était de l’épuiser ¾ et nous avions réussi !
            Oui, si bien réussi que, tout à l’heure, il nous a fallu nous avouer vaincues : il n’y a eu absolument pas la possibilité de lui faire durcir la pine. Nous avons tout essayé : nous avons tripoté et sucé ; nous lui avons enfoncé une tige dans le derrière ; nous nous sommes masturbées et gougnottées devant lui ; nous lui avons mis nos chats sur le visage ; nous lui avons offert nos jolies fesses écartelées… Rien ! Il est resté mou !…
            Alors, nous attendons la… résurrection… qui arrivera bientôt, soyons sans crainte !…

 

 

 

 

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