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IL y a, dans le beau jardin de la maison de Mnasidika, un endroit charmant et tranquille, que nous préférons. Nous l’appelons le temple des lauriers-roses. A l’heure la plus chaude, il est ombragé : des parfums y passent ; le silence n’y est troublé que par le doux chant d’un jeu d’eau et quelques bourdonnements d’insectes… Un gazon, épais comme de la mousse, s’y oppose au bleu profond du ciel, qu’on aperçoit entre les feuillages et les fleurs… Solitude et paix… Bonheur !…
Mnasidika a fait sceller là, dans l’herbe, auprès d’un petit tertre, qui invite au repos, une dalle de marbre rose, où, en lettre de pourpre, sont gravés ces mots :
IC IBI ENSOU VENT JEM ESU ISACC OU PLEEA VEC MAC HEREBI LITIS L’AY ANT MIS ET OUTENU EJEL’ ETEND AISL ESJ AMBES OU VE RTE SE TAPR ESL UIA VO IRTRI PO TELES FESSES ETL EC UL JEMET TAI SMATE TEEN TRE SES CU ISSES ET JE LA SUC AISLE NTE ME NT AVE CAR DE URAL OR SEL LED ONNA IT DE GRAN DES SEC OUSS ES DE TOU TELA CRO UPE ET DANS UN SPA SME ELL ES EM ETTA ITA JOUIR A JOUIR A JOUIR A JOUIR…