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Galatée
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Galatée

 

 

 

 

 

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CETTE petite Galatée, si fine, et qui a toujours son même air virginal, nous ne lui suffisons plus à présent. Un homme même ne lui suffit plus, tellement elle est devenue vicieuse dans les jeux de l’amour : il lui faut deux hommes… il lui faut deux queues.
            Le plus souvent, elle… s’amuse avec Arcas et Nicias, qui sont bien en effet deux beaux jeunes corps élégants et frais. Et moi, je regarde, car elle adore que j’assiste à leurs ébats.
            Elle a fini par trouver une grande quantité de postures différentes ¾ ce qu’elle appelle ses "fantaisies".
            La plus simple, par exemple : branler ensemble… les deux amants.
            Elle les fait agenouiller devant elle, au bord du divan, et tout nus ; elle saisit une queue dans chaque main, elle agite, et alors, son plaisir, c’est de voir lequel jouira le premier ; ou bien lequel répandra le plus de liqueur ; ou bien encore si le sperme d’Arcas est plus chaud que celui de Nicias.
            Il y a bien entendu, une récompense pour le vainqueur : elle lui offre son sexe, large ouvert, et frémissant d’attente…
            Autre figure : elle branle l’un des hommes et, l’autre, elle lui suce la queue. Il y a, pour cela, diverses positions, suivant qu’elle veut ou non, qu’en même temps les deux amis la pelotent et la branlent elle-même.
            Autre image : elle branle Nicias avec ardeur, jusqu’à l’éjaculation, et, pendant ce temps, Arcas lui fait minette. Nicias est étendu, nu, la queue bien dressée ; Galatée s’agenouille et lèche le membre adoré, en offrant ses fesses écartées ; par-derrière, Arcas, étendu, lui travaille le sexe avec sa langue… Quelles secousses !…
            Une autre encore : dans la même position, elle suce la queue de Nicias, tandis qu’Arcas la branle, amoureusement, avec ses doigts.
            Maintenant, une "figure capitale" : c’est ainsi qu’elle la nomme. Elle s’étend sur le dos, les jambes écartées et la bouche ouverte ; alors Arcas se place sur elle pour l’enfiler normalement, ventre contre ventre ; Nicias, lui, prend exactement la même position, mais à une coudée (*) en avant de l’autre mâle, de sorte que sa pine, au lieu de se trouver en face du vagin de Galatée, se trouve en face de sa bouche. Et en avant le va-et-vient. Vous voyez le tableau !
            Nicias, qui se fait sucer, à la tête jetée sur les coussins du divan ; Arcas, qui enfile Galatée, a donc devant lui, juste à la hauteur de son visage, les fesses de son camarade, de sorte que, tout en faisant les mouvements nécessaires, il peut, pour s’amuser, surtout pour exciter Galatée, qui le regarde, pétrir ces fesses, taquiner l’anus. La petite, elle, reste d’abord immobile, suçant, suçant… Ses mains, fébrilement, tripotent les couilles de l’un ou de l’autre. Mais tout cela l’enivre tellement qu’elle se met soudain à donner de grands coups de reins ; ses fesses frémissent…
            Et alors, son grand bonheur, c’est quand elle a l’habileté d’arriver à ce que tous les trois jouissent ensemble ; elle enfilée, Arcas éjaculant dans son vagin, Nicias lui projetant son foutre dans la bouche.
            Et moi, amies, je regarde ça !…
            Autre figure : la même posture, mais Arcas, au lieu de l’enfiler, l’encule en la branlant. Ah ! quelle infernale jouissance on voit qu’elle ressent.
            Que sais-je encore ? Ceci : pendant que Nicias l’enfile dans la position normale, Arcas, vautré, lui tripote et lui suce les seins. Elle adore ça : cela lui fait un effet !… Mais moi, cette fois, de la voir jouir ainsi, je suis obligée de me mettre à me branler… Ah ! ça y est !… En même temps qu’eux !…
            Autre jeu : Galatée s’étend, cuisses ouvertes et bouche ouverte, Arcas, étendu, la tête dans son cul, lui fait mimi savamment ; et Nicias, debout au-dessus d’elle, à l’endroit voulu, se branle au-dessus de son visage, de manière que le sperme chaud lui tombe exactement dans la bouche. Elle est là, trépidante, haletante… Au moment où elle sent qu’elle va jouir sous les coups de langue d’Arcas, elle crie : « Ah ! j’ai soif !… » C’est le signal : Nicias accélère pour émettre son jet ; elle aspire, elle mâchonne, elle avale, elle sursaute… et elle retombe, anéantie.
            Autre trouvaille : agenouillée et penchée, elle se fait… enculer par Nicias. Pendant ce temps, Arcas la branle jusqu’au spasme. Ou bien il lui enfonce dans le vagin un godemiché à jet de lait chaud : tout fonctionne en même temps.
            Ceci encore ; tous trois s’agenouillent l’un derrière l’autre ; Arcas encule Nicias et celui-ci, qui a devant lui le cul de Galatée, ou bien la branle, ou bien, lui haussant la croupe, la suce ; ou bien l’enfile ; ou bien, enfin, il l’encule, en la branlant par-dessous. Ah ! c’est merveilleux !…
            Cette fois, moi, je n’y tiens plus. Violant nos conventions, je m’approche, je m’installe de manière à offrir mon sexe en face du visage de Galatée… et elle me suce… Ah ! la chère langue chérie !…

Une coudée équivaut à 45 centimètres environ.

 

 

 

 

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