Complications |
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AH ! Lykas, ce que j’adore sucer ta pine !…
Eh ! oui, c’est un de mes faibles et je ne vois pas pourquoi je ne l’avouerais pas ; j’adore tripoter et sucer une belle pine !… et celle de Lykas me plaît infiniment.
Sélénis, elle, préfère la queue de Lampryas. Nous avons discuté tantôt de leur mérites :
« Celle de Lampryas est plus grosse, me dit Sélénis.
- Oui, ai-je répondu, mais celle de Lykas est plus longue.
- Celle de Lampryas est plus dure.
- Trop ! Il ne faut pas non plus que ce soit un morceau de bois. Il faut une certaine élasticité. Celle de Lykas reste élastique. Et puis, elle a une couleur charmante, rose, fraîche, d’un dessin fin.
- Chacun ses goûts. Je trouve celle de Lampryas plus vivante, paraissant plus gonflée de jus.
- Quelle erreur !…
Etc., etc…
Nous nous serions disputées, quand justement Lykas et Lampryas sont arrivés, accompagnés de la blonde Gyrinna et de la délicieuse Lydé. Nous leur avons expliqué notre querelle, et, nous étant tous mis tout nus, nous avons commencé un examen approfondi… Ah ! oui, décidément, c’est la pine de Lykas que je préfère !
« Alors, va ! suce ! » me dit gentiment Sélénis.
J’étais incendiée. Je balbutiai « Oh ! oui » avec une telle ferveur que Sélénis en tressaillit.
« Et… en faisant quoi toi-même ? demanda-t-elle, en étant enfilée ou en étant sucée ? »
J’aime les deux, mais la langue de Sélénis m’avait laissé des souvenirs… Je répondis tout bas :
« En étant sucée… par toi !…
- Ah ! chérie !… »
Alors, on se mit, sans autre préambule, en… position. Lykas s’était avancé, ravi ¾ car il adore ça ! Je rejetai sa tunique et regardai de nouveau sa jolie bite en érection : je la saisis, là, à deux mains.
« Non ! non ! cria Sélénis ; pas si vite ! »
C’est que les mains de Lykas s’étaient déjà emparées des deux globes de mes fesses et les frôlaient et les pétrissaient. Mais je me retournai et, l’ayant poussé sur le divan, je lui demandai s’il voulait être sucé debout ou couché.
« Couché ! » dit-il.
Sélénis regardait nos préparatifs avec un air d’extase.
Lykas donc s’était étendu, les jambes écartées : sa belle queue était devant moi, dressée triomphalement. Je m’agenouillai et, l’ayant saisie d’une de mes mains, je commençai à la pomper à pleine bouche, en appuyant avec ma langue sur le dessous du gland. Avec mon autre main, je… lui travaillait gentiment les couilles et lui faisais, entre les fesses, particulièrement sur la muqueuse de l’anus, ses chatouillis légers qui m’ont rendue célèbre à Lesbos.
Or, il faut comprendre que, placée ainsi, ma croupe était offerte, par-derrière, les fesses écartées. Je sentis soudain une petite main qui s’y glissait.
Ah ! que c’est bon, cette première caresse de la main entre les fesses… Puis, les doigts s’avancèrent vers mon chat, entrouvrirent les lèvres humides, cherchèrent l’endroit, se mirent à le caresser… On me branlait ! Et je bandais ! je bandais !…
Ah ! pensez donc, le glissement de cette pine dans ma bouche, ce sexe d’homme devant moi, le spectacle des camarades qui, elles aussi, se tripotaient et se masturbaient !
Soudain, Sélénis, qui guettait l’instant propice, vint s’étendre sur le dos, entre mes jambes, et placer sa tête sur mon sexe : je sentis sa bouche se hausser vers l’ouverture de ma vulve et je sentis la pointe de sa langue qui commençait à lécher les alentours de mon clitoris.
Les autres vinrent alors à la rescousse : une, la blonde, Gyrinna, me pelotait les seins, l’autre, la délicieuse Lydé, me tripatouillait les fesses et le cul ; Lampryas enfin, s’étant emparé d’un petit phallus en ivoire, me l’enfonçait délicatement dans l’anus !
Ah ! quelles sensations multiples ! quel flot de luxure ! quelle volupté ! quels délices !… Je ne pus y tenir : entrouvrant un instant ma bouche, si bien occupée, je criai :
« Ah ! toutes ensemble ! Allez-y !… »
Nous précipitâmes le mouvement. Je sentais le… dard turgescent de Lykas qui vibrait, qui vivait dans ma bouche (je raffole de cela !), la langue agile et experte de Sélénis qui exaspérait mon bouton ; les doigts de la jolie Gyrinna qui pétrissaient mon cul ; la tige d’ivoire de Lampryas qui fouillait délicieusement dans le trou de mon derrière. Quel ensemble !… Ce fut infernal ! Une fois encore j’arrêtai, l’espace d’un éclair, ma sucerie, pour crier :
« Ah ! tenez, moi ça y est !… »
Il y eut aussitôt un sursaut formidable de toute ma croupe. Je jouissais !… Dans le même instant Lykas, lui aussi, éjacula : un jet vif de jus chaud gicla de la pointe de sa verge dans ma… bouche ! Je mâchonnais, avec délicieux dégoût, et j’avalai ! J’avalai ! tandis que le corps de Lykas était secoué d’un spasme et que ses testicules chéris frémissaient entre mes mains.
Il jouissait ! il jouissait !… Nous jouissions tous les deux ensemble. Je criai, je râlai, je poussai un han ! prolongé, qui les remua tous jusqu’aux moelles, et je retombai, épuisée, haletante, tandis que Sélénis murmurait à mon oreille :
« Ah ! toi, tu nous rendras toutes folles !… »