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Mnasidika roucoule
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Mnasidika roucoule

 

 

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CE que j’aime aussi, et qui m’excite terriblement, c’est tout simplement de voir jouir la petite Mnasidika. La voilà étendue sur le dos, tout nue, les jambes écartées, et Midas, agenouillé, la suce.
Mnasidika, les yeux au ciel, commence à soupirer, d’un souffle court. Puis, à mesure que les coups de langue se multiplient, elle halète, elle pousse de petits râles, et elle murmure, d’une voix chavirée :
            « Ah ! ce que c’est bon !… »
            Je suis là, auprès d’elle. Je regarde de près, en me penchant. Avec deux doigts, Midas écarte les lèvres du vagin, pour dégager le point sensible, et, avec ferveur, sa langue pointue et agile lèche…
            Moi, alors, avec mes mains, je vais par-dessous caresser les fesses de la patiente : je lui fais des frôlements. Elle souffle, elle souffle… Sa respiration se précipite encore ; on dirait qu’elle va étouffer !…
            « Ah ! ah ! tenez, dit-elle, ça va y être !… »
            Je lui ferme la bouche avec ma langue, elle ne peut plus rien dire. Mais alors c’est le moment — et cela c’est fou ! ¾ où elle se met à pousser une espèce de roucoulement ; on dirait un pigeon : Rroux… rour-roux… rroux… »
            Je suis dans un état : je regarde frémir ses seins, que le tremblement de tout son corps fait vibrer de volupté. Un instant je vais en sucer les petites pointes, roses et tendues.
            La bouche de Mnasidika, libérée, murmure :
            « Ah ! chéris, ce que vous êtes vicieux ! Ah ! c’est bon ! bon !… ah ! chéris !… »
            Je lui referme les lèvres avec mes lèvres. Elle tressaille ; ses fesses se soulèvent, en soubresauts précurseurs. Alors, hardiment, mouillant un de mes doigts, et tandis que la langue de Midas précipite ses coups, j’enfonce ce doigt mouillé dans le trou du derrière de Mnasidika.
            Ah ! cela déclenche tout ! Le roucoulement devient spasmodique : « Rroux… rroux… rrroux… », comme une tourterelle. Cette fois, ça y est, elle jouit ! Elle donne des coups de cul, elle gémit : « Rroux… rrroux… » C’est trop.
            Moi alors, exaspérée, je dégage une de mes mains et, accroupie, je me mets à me branler. Je me branle ! je me branle !… Et j’étais tellement à bout que, presque aussi-tôt, je mouille à mon tour de telle sorte que je m’écrase, alanguie, sur Mnasidika pâmée ¾ dont la terrible plainte s’éteint peu à peu et meurt doucement ¾ dans le silence parfumé…

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