Accessoires |
Accessoires
|
LE temps s’est un peu rafraîchi. Le ciel est gris ; les roses frissonnent ; les oiseaux se taisent ; les diligentes abeilles ont abandonné le jardin. Mais nous sommes enfermées, Glôttis et moi, avec un bon feu : il règne dans la petite chambre une douce chaleur. Nous sommes toutes nues, étendues sur le divan. Je caresse ma chérie, je promène mes doigts sur sa chair, je pétris ses jolies fesses, je monte tripoter ses seins, je les enveloppe, j’en frotte les pointes, je les suce légèrement, puis de redescends farfouiller dans les poils soyeux de son chat.
Pendant ce temps, elle a placé ses mains dans… la fente de mon derrière, et m’excite par mille frottements. Par instants, nos bouches s’entrouvrent et nos langues combattent entre nos lèvres. Nous prolongeons ces jeux, nerveusement ; nous sommes toutes deux à bout…
Puis Glôttis dit :
« Veux-tu le godemiché ? »
Je fais signe que oui. Elle s’en va, elle saute, je la regarde marcher, nue et lascive, sa croupe, ses fesses, son ventre… Elle revient avec l’instrument qu’elle brandit :
« Tourne-toi, chérie ! »
J’obéis, je m’agenouille, j’écarte les jambes, je baisse la tête, j’offre tout mon cul… Alors, après quelques attouchements, ayant enduit d’huile parfumée la fausse verge, elle me l’introduisit dans le vagin, très doucement, en poussant… Je pense à la queue de Lykas, que je retrouverai quand de voudrai : cela change un peu.
« Fais-tu toi-même le va-et-vient ? dit Glôttis. Oui ? Alors tu me diras quand je dois lâcher le liquide ?… »
Mais, tandis que je commence à m’agiter, la tête enfoncée dans les coussins que je mords, elle revient placer adroitement la pointe de sa langue mouillée sur mon anus et elle commence aussi à lécher nerveusement… Avec ses doigts elle écarte les bords du trou du cul, de manière à piqueter sur la muqueuse intérieure. Quelles sensations !… Je crie :
« Ah ! chérie, à présent lance le jet !… »
Elle desserre le tuyau et, juste comme le spasme me saisit, je sens gicler le jus. Ah ! je jouis ! je jouis ! je jouis ! Je sens les titillations de la fausse verge. Ah ! cela dure ! Je me tortille, je donne des coups de cul, sans que la folle chérie interrompe sa manœuvre dans les deux trous.
« Je jouis ! je jouis ! je jouis !… » Ah ! enfin, je m’écroule et me vautre, exténuée, heureuse, et ruminant mon extase…