suviant
Lykas seul
précédant

 

Lykas seul

 

 

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NOUS nous détachons l’une de l’autre. Nous essuyons nos bouches avec une serviette, que nous passerons aussi entre nos jambes, et nous rions, heureuses… Heureuses… oh ! mais pas rassasiées, certes !… Et puis Lykas est là, qui attend.
Sans nous reposer, nous nous mettons toutes deux à le déshabiller. C’est vite fait ; ses vêtements, sa chemise, sa culotte s’en vont voltiger : le voilà tout nu.
Oh ! la belle queue ! bien raide, bien dure, longue, grosse, gonflée de sève. Je la saisis, je la presse, je la pétris. Mais, attention ! pas trop vite !…
            Nous poussons Lykas sur le divan, où il tombe étendu, et je me remets à lui tripoter tout : la verge, les boules par en dessous, que je caresse, que j’écrase.
            Sélénis, pendant ce temps, penchée sur lui, à mis sa bouche sur la sienne, dans laquelle elle fouille, et lui promène agilement les mains sur tout le corps. Puis, comme il a les fesses bien écartées, elle va lui caresser l’anus, en soupirant fiévreusement.
            Lui, avec ses mains, pelote dans nos deux corps nus, dans nos culs, dans nos mottes.
            « Arrêtez ! dit-il, vous allez trop loin. »
            Mais bast ! on peut bien déjà le branler, pour commencer. Je continue donc.
            Effectivement, sa belle pine sursaute dans mes doigts ; on la sent pleine à craquer ; ses veines se raidissent comme des cordes, une espèce de tressaillement intérieur la fait palpiter.
            Ah ! je vois que ça va venir, que ça va couler !… Ah ! ça vient !… Il râle, il soupire, il suffoque, il se débat, il fouette nos fesses. Enfin il crie :
            « Bilitis ! ah ! arrête !… ah ! tiens !… tiens !… tiens !… »
            Je frotte toujours et, soudain ¾ dans un spasme ¾ le jet de sperme jaillit, chaud et gluant. Lykas jouit, jouit… Ma main est inondée, tandis que nous rions tous les trois aux éclats, très excités.

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