Réalisations |
Réalisations
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CETTE fois, nous nous arrêtons quelques instants, pendant lesquels nous réparons le désordre des coussins, et nous voilà de nouveau prêts, tous les trois, toujours nus.
Lykas n’a pas cessé de bander. Sa belle verge se dresse : la vue de nos jolies fesses l’a tenu en haleine, et il se remet à nous tripoter. Et comme je suis de nouveau en chaleur, sur un signe de Sélénis, je me mets en position.
Je m’agenouille sur le divan et je me penche très en avant, la tête dans les coussins, les jambes bien écartées, offrant mon cul. Je veux être prise par-derrière ¾ en levrette ¾ je sais qu’il adore ça.
En effet, après avoir contemplé, il s’approche. Il commence par tâter le terrain. Ses doigts se faufilent et tripotent la fente, cherchent la place, branlent doucement.
Ah ! ce que c’est bon !…
Puis, je sens la pointe de sa queue qui se pose à l’orifice de mon vagin : et voilà que, doucement, elle pénètre. Il m’enfile !… il m’enfile !… Sa belle et grosse bite, tout entière, s’introduit dans moi, écarte les muqueuses tout humides, qu’elle frotte.
Ah ! c’est que, dans cette position, la queue va loin, tout au fond !… Je sens !… je sens !…
Pendant ce temps, Sélénis s’est mise auprès de lui, pour qu’il puisse lui tripoter les fesses et le cul ; et comme elle a sa bouche en face de la mienne, nous nous faisons des langues.
Puis elle me caresse aussi, de-ci, de-là, sur ma chair nue…
Je sens dans moi, le va-et-vient de la queue qui me fouille, qui donne des coups. Je sens, pour la deuxième fois, la chaleur et le désir dans mon sexe embrasé. Va ! va ! chéri !… Ca va y être !…
Et alors, je parle :
« Oh ! ce que tu baises bien ! Oh ! ce que c’est bon ! Oh ! ce que tu me tripotes bien les fesses et le cul ! Oh ! mes fesses ! Chéri, tiens, les voilà je te les donne ! Je me donne, j’écarte ! Oh ! ta queue, ce qu’elle va loin ! Oh ! moi, je bande, je bande ! Oh ! tiens, voici mon cul !…
C’est égal, ce que vous êtes cochons ! (soupirant) Oh ! ce que c’est bon, bon ! Oh ! tu me possèdes avec ta queue ! Oh ! chéri, ta queue ! ta verge ! ton membre ! ta lance ! ta gaule ! ta quille ! ton nœud ! ton vit ! ton dard ! ta bite ! ta pine enfin ! ta pine ! ta pine !…
Oh ! je te sens dans moi, je sens ta pine qui me fouille. Oh ! Lykas chéri, oh ! oui, va tout au fond de mon vagin ! (profonds soupirs) Oh ! moi, je te branlerai, je te sucerai, je te ferai pâmer et jouir ! Oh ! va, va , ne t’arrête plus, surtout !
Et toi, Sélénis, oui, mets-moi ainsi ton doigt dans le derrière. Oh ! et cette pine dans mes fesses ! Oh ! ce que tu bandes dur, chéri ! Je sens tout ! (râlant) Dis, oh ! ce qu’on en fera des cochonneries ! je te sucerai jusqu’à épuisement, cinq fois, dix fois, jusqu’à ce que tu demandes grâce !…
Et toi, Sélénis, je fatiguerai ton cul, je et fouillerai (haletante). Ah ! quand ça pénètre, quand ça glisse ! Et quand le sperme coule tout au fond, sur la muqueuse assoiffée !… Ah ! tiens, prends-moi, enfile-moi, emmanche-moi, encule-moi !… Tout ce que tu veux ! Ah ! quelle belle pine ! (gémissements) Ah ! je comprends maintenant pourquoi tu voulais voir nos fesses ! Ah ! dis, je me ferai sucer par Glôttis devant toi tout nu… (nouveaux soupirs) Ah ! ce que tu me travailles bien tout le cul !…
Moi, je te sucerai la verge, je fouillerai avec mon nez dans tes poils ; puis tu me frotteras le bout des seins avec la pointe de ta queue ! Va ! va ! ne t’arrête plus (roucoulement). Ah ! chéri, je te peloterai ! Tiens, possède-moi, jouis dans moi, je t’appartiens (suffoquant). Ce que ta queue est longue ! et fine ! et dure ! Qu’elle fouille bien ! Ah ! tiens, voilà mon cul !…
Ah ! quand ça coule ! quand ça gicle ! ton jus, ta liqueur, ton sperme, ton foutre ! Ah ! c’est chaud, ça brûle, c’est bon ! Ah ! ah ! ah ! (plaintes rauques et profondes). Et tes bourses, tes parties, tes testicules, tes couilles chéries, je les sens, quand tu donnes des coups de queue qui viennent me cogner (avec rage). Ah ! dis, je voudrais me sucer moi-même ! Ah ! du moins tu me mettras ta pine dans la bouche ! Ah ! c’est fou ! (les dents serrées). Ne crains pas de me faire mal…
Ah ! ce que j’aime ta queue ! (avec une angoisse langoureuse). Et toi, qu’est-ce que tu dis de mon cul ? Te plaît-il ? Ah ! va, tiens, ça va y être ! Ah ! c’est trop, c’est trop ! (halètement d’agonie). Ah ! Lykas ! lâche tout à présent ! fais couler le liquide, inonde-moi ! Ah ! encore ! encore ! Oui ! oh ! tiens, moi, ça y est ! Ah ! chéri, je sens que ça y est ! Tout au fond ! Ca brûle ! Sens-tu ? (han ! han ! han !). Ah! Tiens, moi ça y est ! moi je jouis ! je jouis ! je jouis ! je jouis !…
Pendant ce temps, en effet, la pine avait continué le travail. J’étais à bout, lui aussi ; mes fesses se tortillèrent ; le spasme me prit, enfin, terrible. Je raidis toute la croupe, je râlais, je gémis, et voilà que lui, avec un cri, il éjacula.
Ah ! le jet brutal et chaud de sa liqueur part dans moi. Je jouis ! je sens tout ! ah ! chéri, je jouis… je jouis !… je jouis !… je jouis !… je jouis !…