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La ballade de Lara et Gemma 30
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LA BALLADE DE LARA ET GEMMA : L’HISTOIRE CONTINUE

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 30 : Gemma.

Gemma força sa langue le plus profondément possible à l’intérieur du derrière immaculé de Lara. Elle l’embrassa, joua de la langue et déploya toute sa meilleure volonté, savourant le goût métallique et salé, mettant tout en œuvre pour montrer à cette femme à quel point elle désirait sa liberté.
Depuis quelques heures, quand elle avait fait son offre à Lara, tout s’était enchaîné pour en arriver à cet instant.
Elle avait reçu le même traitement et avait, elle aussi, été autorisée à vider ses intestins comme Michelle. Puis, Lara lui avait permis de prendre une douche chaude, de boire un verre d’eau minérale et de se maquiller ; un mascara criant et un rouge à lèvre brillant qui lui faisait des lèvres pulpeuses.
Gemma était vaincue, et elle le savait. Sa résolution était prise.
Je ferai tout ce qu’il faudra, du moment que ça me permet de gagner. Merde à Michelle, merde à la terre entière. Pourvu qu’il y ait la liberté à la clé.
Que Lara remplisse sa part du marché ou pas ne comptait même plus.
Gemma avait cessé de lutter. Il fallait qu’elle gagne, quel qu’en soit le prix.
Elle entendit Lara ricaner comme une collégienne.

« Mmmm… Ça vient… »

Gemma se coucha sur le dos. Elle appuya sa tête sur le sol et pensa à sa campagne, sa vie, et ce qu’elle était devenue.
Lara l’enjamba. Ses fesses pâles et son bouton de rose marron et froncé flottèrent au-dessus de son visage. L’orifice se contractait et se décontractait, lui faisant penser à une ancienne actrice bébête dans une comédie bouffonne, L’anus de Lara lui faisait un clin d’œil !
Soudain, il s’ouvrit comme une scène de théatre dont les rideaux s’écartaient et l’extrémité de la matière fécale apparut ; sombre et menaçante.

« S’il vous plaît… » Murmura Gemma. « Je veux tout. »

Lara voulait la totale. Pas uniquement l’acte, l’obéissance, mais une rémission complète.

« Avec plaisir, mon amour. »

Gemma ouvrit la bouche aussi grand que possible. Elle ferma les yeux, fit le vide dans son esprit et aspira une grande goulée d’oxygène.
Alors l’étron glissa entre ses lèvres, pénétra dans sa bouche, poursuivant sa course impitoyable.
Elle retint son souffle aussi longtemps que possible, la bouche figée par le dégoût.
Pourtant, elle savait qu’il lui faudrait respirer, goûter l’immonde déchet.
Une remontée de bile acide surgit de son estomac, telle une éruption volcanique. Elle ravala le liquide amer et eut un nouveau haut-le-cœur.
Elle avait un excrément dans la bouche !
Le visage de Lara la surplombait, interrogatif. Elle lui souriait impitoyablement, vrillant ses yeux dans les siens, à travers ses cuisses, savourant sa victoire.
Gemma ne pouvait même plus s’exprimer ou contester, ni même supplier une dernière fois.
Elle ouvrit les mâchoires le plus possible et, mordit prudemment dans l’étron qui lui obstruait la bouche.
Au même moment, elle réalisa que ses propres ongles mordaient dans les paumes de ses mains. Réunissant ses forces afin de ne pas perdre le contrôle, elle referma ses dents juqu’à ce qu’elles entrent en contact les unes avec les autres.
Soudain, Lara changea de place et vint s’accroupir à proximité de son visage. L’horrible déjection dépassait de ses lèvres comme un petit mât odorant et répugnant.

« Tu as un look d’enfer, ma chérie. » Lui susurra-t-elle d’une voix qui lui parût très distante.

Gemma l’observa, comme à travers un voile brouillant son champ de vision. Elle geignit comme un petit chiot. Elle n’y arrivait pas. Chaque cellule de son corps se révoltait à l’idée de ce qu’elle s’appretait à faire.

« Allez… Mâche bien la bonne viande de maman. Et surtout avale tout… La liberté est à ta portée. »

Gemma tenta d’avaler le morceau qu’elle avait mordu sans le mâcher. Sa langue le fit coulisser vers sa gorge, mais celle-ci résitait, comme si une force irrésistible s’opposait à sa volonté. Il n’y avait rien à faire.

« Vas-y maintenant ! » S’impatienta Lara dont le ton venait brusquement de changer. « Fais-le, bordel ! »

Gemma monopolisait toutes ses forces pour ne pas vomir, elle fit glisser le morceau fétide un peu plus loin dans sa gorge. Ses yeux larmoyaient et une autre vague d’acidité monta à la rencontre de l’intrus, s’entremêlant avec lui.
Elle avala, eut un nouveau haut-le-cœur et avala à nouveau. La bile et la salive atténuèrent un peu l’horrible goût cuivré et amer, sa texture végtale putride.
Et soudain, elle réalisa qu’elle l’avait fait.
Au même instant, l’humeur de Lara changea de nouveau, redevenue le professeur fier de son élève.

« Biiieen… ! Bravo ! »

Gemma dût cligner des yeux pour éclaircir sa vision.

« Ça suffit ! » Enchaina Lara. « Recrache le reste, maintenant. Vite, tout le reste ! »

Ne s’accordant qu’un court instant de pause pour s’assurer qu’elle avait bien entendu, Gemma se redressa sur un coude et s’empressa de pencher la tête sur le côté pour rejetter le plus possible de l’odieuse matière fécale.
Le reste de l’étron non consommé rebondit sur son sein nu et tomba par-terre, à côté d’elle.
Râvie, Lara lui caressa la joue en souriant. Ce n’était plus le sourire caustique qu’elle avait l’habitude d’afficher, mais quelque chose de nouveau. Une lumière brillait au fond de son regard qui avait perdu sa froideur. Ses yeux bleu-vert resplendissaient comme la couleur azurée de la mer Méditerranée.

« Ce n’est pas seulement pour ces cochonneries, en tout cas, il n’y a pas que ça. » Lui sourit-elle. « Bien sûr, au début c’était différent, et avec Michelle, ça l’est toujours. Mais, avec toi, c’est devenu autre-chose. Quelque chose qui nous concerne toutes les deux. J’avais besoin que tu le fasses ; juste une fois. Mais je te promets que je ne t’y obligerai plus jamais. Si tu veux recommencer pour me faire plaisir, pourquoi-pas. Mais je ne t’y contraindrai plus jamais. Je te le jure ! »

Gemma la fixait, incrédule. Sa bouche était encore imprégnée de l’horrible saveur, mais son esprit frôlait l’euphorie. Elle ouvrit la bouche pour parler…
Mais, avant qu’elle puisse s’exprimer, d’un doigt tendu, Lara la fit taire.

« Tu n’as pas besoin de dire quoi que ce soit, chérie. Tu as gagné. Nous avons gagné. Tu es libre ! »

Gemma ferma les yeux fortement.
Elle n’en revenait pas.

 

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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