La ballade de Lara et Gemma 29 |
LA BALLADE DE LARA ET GEMMA : L’HISTOIRE CONTINUE
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 29 : Lara.
En médecine, on considère que la constipation est effective si l’on se rend moins de trois fois par semaine à la selle. Ça devient une constipation sévère à moins d’une fois par semaine. Il y a de nombreuses causes de constipation telles que les diètes trop faibles en fibres, fruits ou liquides, ou les affections du colon, les traumas hormonaux et l’abus de laxatifs. Enfin, il y a ce que le corps médical nomme les ‘mauvaises habitudes intestines’, quelles que soient les habitudes en question.
Cependant, la constipation, et même la constipation aigue peuvent aussi être provoquées par des drogues.
Les symptomes de la consipation aigue, induite par des drogues, sont plus intenses que l’attaque graduelle dont les causes sont naturelles.
Ainsi, on recense de fortes flatulences avec impossibilité de les expulser. Il en résulte un ventre incroyablement gonflé et, dans les heures suivantes, l’apparition de crampes stomacales et de douleurs aigues ; la détresse intestinale se transmettant généralement au reste du corps, occasionnant des réactions telles que la léthargie, les maux de tête, de la tension nerveuse ; suivies par une nécessité desespérée d’évacuer les intestins combinée à une impossibilité complète de le faire.
Enfin, des contractions intestines dévastatrices, un souffle plus court et une sensation de remplissage, des raideurs et des paralysies du buste.
*** *** ***
Lara avait concocté un assortiment de drogues qui combinaient la constipation avec d’occasionnels déclenchements laxatifs et d’insoutenables crises boulimiques.
Les corps des deux filles, ainsi que leurs systèmes digestifs, étaient soumis à un cycle comprenant une crise de constipation, suivie d’une affreuse urgence de déféquer, et enfin d’une fringale avide.
Elle leur faisant manger à même le sol des écuelles entières de bouillies composées essentiellement de fibres, combinées à de nouvelles doses de drogue.
Dans l’heure suivant le début du ‘traitement’, cela avait requinqué leurs systèmes et initié une autre phase, encore plus urgente, des mêmes symptômes.
La taille habituellement fine et le ventre plat de Michelle s’étaient distendus comme les anatomies que l’on peut voir dans les documentaires sur la famine.
Elle était recroquevillée en position fœtale, et se balançait d’un côté sur l’autre en grognant.
Lara gloussa. Dix minutes plus tôt, elle lui avait administré un remède. D’une minute à l’autre, maintenant, les laxatifs allaient agire et Michelle serait à nouveau en mesure de se consacrer à elle.
« Debout ! » Ordonna-t-elle.
Michelle se retourna et cligna des yeux. Elle se déplaça lourdement.
« Accroupie ! »
Lorsque la pauvre esclave finit par réussir à s’accroupir sur ses doigts de pieds, les talons joints et les cuisses ouvertes, Lara poussa du pied un plateau rectangulaire sous les fesses de Michelle. C’était un plateau en plastique blanc, aux dimensions plutôt spacieuses.
Deux des gardes qui assistaient à la scène rigolèrent.
Lara fit un signe à celui qui avait l’accent est-Londonien et il s’empressa de s’emparer des poignets de Michelle et de les étirer au-dessus de sa tête pour la supporter.
Comme il était étrange que certaines femmes haissait par dessus tout d’être tenue et regardées pendant qu’elle faisaient leurs besoins.
Lara, elle, adorait regarder ça.
« Tu peux commencer. »
Michelle lui adressa un regard désespéré. Sa tête balançait légèrement de droite à gauche, telle celle d’un boxeur à moitié K.O. Son expression trahissait une perte d’environ la moitié de ses facultés normales. Ses yeux, légèrement exorbités, étaient révulsés.
Lara avait développé deux remèdes laxatifs. Le premier relâchait les intestins si efficacement qu’il en résultait une diarrhée proche d’un geyser en erruption. Le second ne relâchait qu’à moitié les sphincters, juste ce qu’il fallait pour laisseer passer douloureusement les excréments.
Michelle avait eu droit au deuxième.
Fronçant les sourcils, Michelle se concentra du mieux qu’elle put et jeta un coup d’œil honteux aux gardes. Puis son regard glissa vers son audience féminine ; Lara et la pauvre Gemma qui était aussi malade qu’elle.
« Pouusse !!! » Cracha Lara impatiemment.
Michelle serra les dents et son visage prit lentement une teinte violette, alors qu’elle forçait. Soudain, sans signe préalable, son derrière laissa échapper un sifflement strident de gaz.
Lara sourit avec indulgence.
« Allez… Ça ne fait rien… Je te pardonne. »
Finalement, l’extrémité d’un étron commença à émerger de l’anus de Michelle. Celle-ci secoua la tête comme un chien voulant chasser l’eau lui encombrant les poils, et, après un petit moment de détente, recommença à pousser encore plus fort.
Milimètre par milimètre, la crotte devint visible comme une troisième jambe en bois, entre ses fesses écartelées par la position. Elle gémit, grogna et grimaça de la manière la moins seyante pour une dame, incapable de fixer ses yeux sur qui que ce soit, tant sa honte était grande.
Les gardes n’en perdaient pas une miette, faisant des remarques acerbes, se moquant d’elle et faisant tout ce qu’ils pouvaient pour l’humilier encore plus.
Michelle grimaça de douleur, sous l’horrible grosseur qui lui dilatait l’anus. Petit à petit, la crotte fit son chemin hors de l’anus.
Nnnnngh ! Hmmmph… » Râla-t-elle, respirant à petits coups rythmés pour soulager tant bien que mal la douleur.
Finalement, l’extrémité du colombin entra en contact avec le plateau, sans que la partie qui émergeait de l’anus de Michelle n’ait rompu. L’énorme étron mesurait au moins vingt-cinq centimètres, et avait l’épaisseur d’un poignet d’un masculin.
Le garde qui ne lui tenait pas les poignets s’accroupit face à elle, armé d’un appareil-photo, et plusieurs flashs retentirent tandis qu’il immortalisait ce moment pour la postérité.
Au même moment, l’étron commença à s’enrouler dans le plateau, avant de finalement se rompre et s’écrouler lourdement au milieu du plastique blanc.
Le colombin odorant meusrait bien trente centimètres. Il luisait et scintillait, en dégageant indistinctement sa vapeur, tel un arbre abattu dans une forêt à l’aube.
Lara fit la moue et hocha de la tête affirmativement.
« Joli morceau. »
Elle fit un clin d’œil à Gemma qui regardait avec une étrange expréssion sur le visage.
Michelle se tourna vers elle. Des perles de transpirations couvraient son front et ses tempes. Soudain, elle se crispa et pleurnicha de détresse, alors que son anus s’écartelait une nouvelle fois pour livrer le passage à un second rondin qui rejoignit son frère sur le plateau.
Au même moment, aussi soudainement, Gemma s’approcha de Lara et vint s’agenouiller à ses pieds. Elle se prosterna et appuya humblement son front sur le sol, entre ses pieds.
« Oui ? » Demanda Lara.
« J… Je v… Je vous en supplie, M… Maîtresse… Donnez-moi une dernière chance… Je le ferai. S’il vous plaît. »