La ballade de Lara et Gemma 18 |
LA BALLADE DE LARA ET GEMMA : L’HISTOIRE CONTINUE
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 18 : Gemma.
Elle était étendue sur le canapé, sous le regard des caméras et des projecteurs. Ça n’était peut-être pas la pire chose qu’elle ait eu à faire, mais ça n’en était pas loin.
Les trois hommes avaient au moins la soixantaine, peut-être soixante-dix ans. Chacun d’entre eux avait habité dans la rue où elle avait grandi. Lara les avait cherchés et retrouvés. Gemma connaissait leurs épouses, et même leurs enfants qui avaient entre dix et vingt ans de plus qu’elle. L’un d’entre eux était le grand-père d’une fille qui avait fréquenté la même classe qu’elle.
Et les trois la prenaient en même temps.
L’un d’entre eux était tout rabougri, avec une peau toute ridée, comme un serpent, et des cheveux gris tout gras. Le deuxième était rond, exagérément gras et chauve comme un œuf. Le troisième, le grand-père de sa camarade de classe, était étonnement bien conservé pour son âge. Il s’était toujours comporté en séducteur avec les voisines de son quartier.
C’était lui qui se trouvait sous elle. Son sexe, dont l’erection n’était effective que grace aux médicaments, était fiché entre les fesses de Gemma.
Elle suçait le vieux aux cheveux gras de façon à le stimuler suffisamment pour qu’il puisse pénétrer son vagin.
L’objectif de la caméra n’était qu’à quelques centimètres de son visage et elle ne doutait pas que Lara distribuerait la vidéo dans son entourage d’ici quelques jours, si ça n’était pas d’ici quelques heures. Momentanément, son esprit vagabonda vers les gens qu’elle fréquentait à ce moment là, mais aussi rapidement, elle raya ces souvenirs de son cerveau.
C’était avant. Aujourd’hui, tout était différent.
Elle écarta maladroitement les cuisses pour accueillir le grand-père. La pénétration lui fit crisper son anus autour du pénis raide qui était enfoncé jusqu’à la garde. Les doigts décharnés des hommes se rejoignirent sur ses seins, les malmenant, tirant sur ses tétons, se plantant dans leur chair bien faite.
L’homme qui pénétrait son sexe s’immobilisa et il lui sourit en expulsant son haleine fétide contre son visage, savourant l’instant. Une odeur mélée de tabac, de menthe et d’autre chose nauséabond et repoussant.
Les deux pénis n’étaient séparés que par quelques milimètres, à l’intérieur de son corps.
Même si elle avait voulu ressentir du plaisir, cela lui aurait été impossible, du fait de l’insensibilisation de son clitoris. Toute sensation sexuelle lui était interdite.
Elle n’était qu’un réceptacle.
Alors le gros s’approcha de son visage. Elle ne pouvait distinguer son visage, tant sa panse débordait, lui en cachant la vue. Son sexe en érection était minuscule, l’un des plus petits qu’elle ait jamais vu, pas plus épais que la queue d’un cochonnet. Mais ce qui la rendit nauséeuse, fut l’énormité de son scrotum. Tout le contraire du pénis, le gros sac pendouillait, de la taille d’une balle de tennis, avec quelques poils grisonnants par-ci et par-là. À l’intérieur, deux énormes bosses se déplaçaient clairement lorsqu’il bougeait, pleines de son vieux foutre.
Lentement, avec extase, Gemma tourna la tête et enfourna avec entrain sa petite bite dans sa bouche.
Au même moment, à l’extrémité de son champ visuel, elle distingua sa Maîtresse, dans l’obscurité derrière les projecteurs, abandonnée dans le fauteuil du metteur en scène. Elle la fixait intensément, mais ce qui la choqua le plus fut que Michelle avait enfoui sa tête entre ses cuisses et lui donnait du plaisir.
Apparament, les deux femmes semblaient passer un bon moment.
Merde !