La ballade de Lara et Gemma 17

LA BALLADE DE LARA ET GEMMA : L’HISTOIRE CONTINUE

Adaptation Française : Perverpeper.

Chapitre 17 : Le jour suivant

Lara prenait son petit-déjeuner ; jus de prune, fruits en tranches, crèpes et café. Gemma était prosternée à ses pieds. Elle venait de lapper un gruau constitué d’avoine et d’œufs crus, bien gluant, dans une soucoupe.
Toutes deux fixaient Michelle qui, agenouillée devant le nain sympathique qui leur avait servi leur petit-déjeuner, lui faisait une fellation.
Il était assis sur le tabouret, avec son pantalon d’uniforme sur les chevilles, mélangeant ses doigts avec les boucles blondes de ses cheveux.
Lara lui avait interdit de se servir de ses mains, et elle pompait du mieux qu’elle pouvait, en faisant glisser en cadence ses lèvres sur la queue baveuse et fortement veinée.

« Tout va bien ? » Demanda Lara.

Il eut un sourire béat et approuva de la tête avec enthousiasme.

« Oh ouais ! »

Il existait une plaisanterie sur le fait que tous les nains étaient montés comme des taureaux. C’était faux, bien sûr, mais l’ex petit bonhomme de foire, du haut de ses 1m 30 aurait pu démontrer le contraire.
Lara lui renvoya son sourire. Elle était toujours intriguée par le spectacle d’une femme sucer. La motivation était une chose fascinante et elle regrettait le nombre de filles d’aujourd’hui qui refusaient de pratiquer une fellation sans les mains.

Évidemment, on pouvait se servir des mains, même si on était experte avec sa bouche, mais pour elle, le sexe oral ne pouvait se concevoir que comme ça ; avec la bouche uniquement.
Toutes ses filles qui prétendaient être amoureuses de leur petit-ami ou de leur mari manquaient de motivation pour le faire correctement. Elles étaient franchement paresseuses. L’amour romantique était une piêtre motivation pour faire ça correctement. La vraie sexualité était motivée par des causes moins confuses.
Michelle suçait en aspirant bruyamment. Elle consacrait plus d’enthousiasme au service de cet étranger qu’elle n’en avait jamais eu avec chacun de ses précédents amoureux trentenaires.
Et quand le membre de son grossier partenaire finit par laisser gicler sa décharge repoussante, tel une arme automatique, entre ses lèvres, elle sembla s’en délecter comme si c’était la plus précieuse des liqueurs.
Lara remercia l’homme pour le déjeuner et le congédia tandis qu’elle se servait un autre café bien noir, fort comme il se devait pour la suite des évènements.

« Bien. » Lança-t-elle. « Cette pipe à fait mériter à Michelle un ‘changement de service’. Gemma, à ton tour de nous montrer tes talents. »

Elle fit un grand sourire aux deux jeunes femmes qui lui faisaient face.

« Je trouve que ta chère amie sent un peu trop fort. Il faut dire que ça fait maintenant un moment que ces vilains hommes de la Stalitz ce sont vidés dans ses trous. Tu vas nous faire une faveur en t’agenouillant et en léchant sa chatte jusqu’à ce qu’elle soit aussi propre qu’un sou neuf, d’accord ? Ensuite tu t’occuperas de son trou du cul. »

Lara constata avec plaisir que Gemma était si bien entrainnée qu’elle réagit en un clin d’œil. Elle se jeta aussitôt à genoux devant Michelle et plaça ses deux mains derrière ses fesses, l’attirant vers son visage.
Choquée, Michelle baissa les yeux honteusement, puis les releva vers Lara en rougissant comme une tomate.
Malgré son dressage strict, Gemma marqua un temps d’arrêt lorsque les effluves marécageuses du sexe de Michelle atteignirent ses narines. Puis, rapidement, elle surmonta sa répulsion et se mit à l’ouvrage, la langue en avant.
Lara fixa Michelle avec un regard glacé.

« Attire-là vers ton clitoris ! » Ordonna-t-elle.

Timidement, Michelle pris la tête de Gemma dans ses mains pour la guider. Mais, après une nouvelle minute de léchage expert, on ne lisait toujours pas le moindre signe de plaisir dans le regard de Michelle.

« Tourne-toi et penche-toi en avant. Attrape tes chevilles. »

Le ton de Lara était péremptoire. Elle attendit impatiemment, tandis que l’esclave prenait la position humiliante. Gemma colla son visage contre les marques violettes qui marquaient le postérieur de Michelle et plongea sa langue profondément dans son anus moite et souillé, sans qu’aucune des deux n’ait de réaction notable.
Quoi ? Ces deux salopes s’imaginent qu’elles peuvent se la jouer blasées. Hmmm ? Pas de réponse, hmmm ?Et bien elle allait leur montrer, et même leur montrer qui baisait qui, ici !
Furieuse, Lara sonna la cloche qui intimait aux vieux croutons le moment d’entrer en scène.

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perverpeper@perverpeper.com