Après le fléau 90 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 90.
Rebecca se réjouit silencieusement, tout se passait si bien.
Brutus était maintenant assis dans son fauteuil en cuir, pendant que Camilla était agenouillée entre ses cuisses et le suçait. Elle n’avait pas le droit de se servir de ses mains, mais faisait de son mieux en combinant les muscles de son cou et la douceur de sa langue et de ses lèvres.
Ian, lui, était couché en chien de fusil à ses pieds, embrassant et léchant avec vénération les pieds puants, en sueur et poussiereux de Brutus.
Avec un sourire de satisfaction, Brutus fit un geste de l’index pour faire signe à Rebecca d’approcher. Il l’embrassa et empoigna ses seins à travers son chemisier.
Elle lui rendit son baiser en poussant ses tétons durs comme du bois contre ses doigts. La puanteur que dégageait son corps était insupportable, mais elle se garda bien de le lui montrer. Elle avait enduré bien pire pendant les sept derniers mois qu’elle avait vécu ici.
« Est-ce que je peux faire quelque chose pour votre plaisir, Monsieur ? »
Brutus acquiesca en souriant et se dégagea d’elle. « Je n’ai pas l’habitude d’embrasser un ‘Vide couilles’. Déclara-t-il.
Elle se força à lui sourire. « Je ne sers qu’à votre plaisir, Monsieur. »
Elle s’écarta afin que tous deux puissent admirer le travail que faisait la bouche de Camilla en allant et venant le long du sexe dressé. Elle n’était plus, et de loin, la dame de la haute société qu’elle avait été. Ses grands yeux bleus les regardaient amoureusement, exactement comme Rebecca le lui avait appris.
Rebecca s’emerveilla de la façon dont l’expression aristocratique de cette femme demeurait prétentieuse, même lorsqu’elle suçait une bite.
« Voulez-vous qu’elle vous avale entièrement, Monsieur ? » Demanda Rebecca.
Étonné, Brutus leva un sourcil. « Vraiment ? déjà ? »
Elle sourit fièrement. « Elle s’est entraînée dur. Où plutôt, je l’ai entraînée dur.
Brutus secoua la tête. « Plus tard. Pour l’instant, j’ai plutôt envie de la baiser. »