Après le fléau 82 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 82.
L’orgie était à son comble.
Neil et Mme Harvey-Stackford étaient toujours tête-bêche sur le sol. Ils y mettaient plus de conviction depuis que BJ avait menacé de les faire tous deux sodomiser par les gardes. Mme Evans, la mère de Neil était accroupie sur le visage grassouillet de Monsieur Harvey-Stackford et suçait simultanément la bite de Colin Kelly.
Au même moment, Mr Kelly était attaché au banc sur lequel sa femme avait été flagellée et baisée un peu plus tôt. Mr Evans, le père de Neil lui rendait homage en léchant son anus. Incapable de réprimer son érection, sa bite était heurtée en cadence par la paume de la main droite de Mr Evans.
Sur une estrade circulaire, les jeunes filles, Tammy Evans et la nouvellement dépucelée Corina Kelly, s’adonnaient à une scène lesbienne, se mangeant la bouche passionnément tout en se chevauchant mutuellement à l’aide d’un godemiché double couleur malabar. L’estrade tournait lentement sur elle même, offrant aux trois familles une vue panoramique de leur humiliation.
La pauvre Mme Kelly était la seule à ne pas avoir de partenaire. Elle était étendue sur le sol, les chevilles largement écartées, enfonçant un monstrueux vibromasseur dans sa chatte fraîchement distendue et encore détrempée. Le rythme des coups de piston qu’elle imprimait au gadget disproportionné était celui d’un métronome placé près de sa tête.
Enfin, Mark et Christina, la fille du couple Harvey-Stackford. Les jeunes mariés, étaient le centre d’attention déplaisant de BJ. Pour commencer, ils avaient du se mettre face à face et se regarder l’un l’autre dans les yeux, amoureusement.
Ensuite ils avaient du répondre inlassablement à des questions sur leur vie sexuelle d’avant. Lorsqu’il en suffisamment appris, BJ s’assit paresseusement.
« Je pense que ça serait une bonne idée si vous me montriez, non ? »
Voilà pourquoi ils lui démontraient avec embarrassement comment ils faisaient l’amour. Après quelques baisers et un début de préliminaires, Mark coucha délicatement Christina sur le sol et se plaça au-dessus d’elle dans la classique position du missionnaire. Rapidement, elle le guida en elle et il se mit à aller et venir.
« Bordel ! Tu appelles ça du sexe, mon pote ? » S’exclama BJ.
Il s’accroupit face à Mark, les fesses surplombant le joli visage de Christina.
« On n’est pas chez Papa-Maman ! On va un peu épicer ça. Ok, poupée, fais-moi une petite feuille de rose. »
Il planta son postérieur sur ses lèvres. Après quelques instants d’hésitation, il sentit sa langue toute douce tatonner dans la raie de ses fesses. Regardant le visage cramoisi de Mark, il leur imposa sa présence pendant cinq bonnes minutes, les encourageant par moments, les ridiculisant parfois, et en le repoussant par deux fois lorsqu’il le jugea trop proche de l’orgasme.
« Très bien, tu sembles un peu calmé maintenant. Tu peux reprendre ta place. » Il lui fit un clin d’œil. « Maintenant, mon pote, je veux que tu te mettes réellement à baiser ta moitié. Je veux dire que tu la défonces pour de bon, compris ? Dis-toi bien que si tu t’y prends mal, je n’aurais aucune difficulté à trouver quelqu’un d’autre pour le faire à ta place. »
Mark se mit à donner de grands coups de reins, faisant claquer son bassin contre celui de Christina. Il écrasait sa femme de tout son poids, la clouant contre le sol, chassant l’air de ses poumons. BJ pouvait sentir son souffle lui chatouiller l’anus.
Il ricana et lacha un long gaz sonore et odorant.
Hmmm… J’en pète de joie.
Il attrapa les cheveux de Christina et tira sa tête de côté de façon à pouvoir lui pincer les tétons, afin de lui rappeler qu’elle pouvait continuer à lui lécher l’anus malgré le gaz puant et sufureux qu’il venait de lâcher.
« Hé, Neil, viens par ici, mon pote. » Lança BJ.
Neil leva les yeux sur lui, le menton et la bouche luisants d’humidité. La position de 69 qu’il pratiquait avec Mme Harvey-Stackford avait fini par porter ses fruits.
« Je pense que tu mérites une récompense. Viens ici et échange ta place avec lui. Toi… » Dit-il à Mark. « Dégage de là et va t’occuper de la chatte de ta belle mère en attendant. » Mark hésita. Trop longtemps. Chevauchant toujours sa femme, le visage à quelques centimètres de celui de BJ, il avait un regard insolent, presque rebelle.
Brutus Junior le gifla violemment. Un aller-retour dont le de dos de la main lui fit voir des étoiles. « Ok, tu as trois secondes. Au delà, c’est de son trou du cul que tu vas t’occuper. »
Un garde l’attrapa brutalement par le bras et l’escorta jusqu’à sa belle mère tandis qu’il frottait ses joues rouge pivoine baignées de larmes.
Neil pris sa place avec plaisir. Il s’agenouilla patiemment entre les cuisses splendides de Christina, son érection dressée à 90 degrés, attendant les instructions.
« Toi, montre-toi un peu. » Déclara maganimement BJ, en se redressant, tirant Christina par les cheveux afin qu’elle puisse voir le visage du jeune homme qui s’apprétait à la baiser.
Il s’approcha du père de Neil qui léchait toujours docilement l’anus de Mr Kelly.
« Hé, Mr Evans, ça suffit pour les préliminaires. Maintenant, tu vas le sodomiser. Et ne te prives pas de lui gicler autant que tu voudras dans le cul. »
Il se retourna pour voir Neil s’agiter frénétiquement entre les cuisses de Christina, embrassant sa bouche et son visage couverts de larmes.
Cette fois, cette petite orgie tournait à sa fin. Ils allaient tous le détester encore plus. Mais, mieux encore, chaque famille nourrirait une haine farouche contre les deux autres. Et c’était ça l’essentiel.