Après le fléau 80 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 80.
Brutus Junior sourit et s’affala sur le canapé tandis que Joelle et la pauvre femme de Don, Diana, lui servaient des amuse-gueule et un rafraîchissement.
Ils se trouvaient toujours dans l’ancien gymnase, avec les trois infortunées familles alignées devant eux. Une demi-douzaine de gardes se tenaient debout autour d’eux. Tous avaient profité largement des délices que leur avaient offert Mme Kelly et sa fille, Corina.
BJ frappa fortement dans ses mains.
« Votre attention, s’il vous plaît ! » Il s’interrompit, balayant son audience d’un regard impératif, et particulièrement les deux Kellys qui avaient maintenant rejoint leur hommes honteux. « À l’époque des romains, les gladiateurs avaient le privillège de profiter de certains avantages avant d’entrer dans l’arène. C’est pourquoi je pense… » Il leur adressa une grimace suggestive. « Que ce qui était bon pour Néron et Caligula, l’est probablement aussi pour moi. »
Il se releva lentement.
« Nous pourrions nous faire une petite partouse, par exemple. Toi ! » Lança-t-il en regardant Neil Evans, son ancien copain, droit dans les yeux. « Rappelle-moi depuis combien de temps tu n’as pas… Heu… Tu ne t’es pas soulagé ? »
Les yeux de Neil se fixèrent sur ses pieds.
« Heu… Près de sept semaines, Monsieur. »
BJ ricana.
« Hmmm. Pas de raison de faire la fine bouche. C’est ton jour de chance, aujourd’hui. Peut-être. Allez, choisissons une partenaire. Qu’est-ce que tu penses de ta mère ? Où ta sœur ? À moins que tu préfères ton père ? Bof. Je ne t’ai jamais trouvé de tendances incestueuses. Alors, que dirais-tu d’un des Kellys ? »
BJ regarda méchament Corina et sa mère qui se tenaient nues, l’une contre l’autre, avec l’intérieur de leurs cuisses luisant de jus.
« Mouais. » Dit-il. « Ça n’est pas beaucoup mieux… Il vaut peut-être mieux leur laisser un peu de repos… Et si on faisait plutôt participer cet autre lot ? »
Il balaya la famille Harvey-Stackford d’un regard interrogatif ; Monsieur, Madame, leur fille sexy de 28 ans, Christina et son mari Mark.
« Toi… » Ordonna-t-il en regardant la mère de 51 ans droit dans les yeux. « Approche ! »
Nerveuse, elle fit quelques pas en avant.
« Tiens-toi droite. Menton relevé, pieds écartés, les seins en avant. »
BJ la détailla de la tête aux pieds comme si elle n’était qu’un morceau de viande. Ce qu’elle était d’un certain point de vu. Quelques rides, la peau distendue par endroits, une cicatrice de césarienne bien visible au bas de son ventre, un pubis poilu et pas entretenu, mais, pas trop mal malgré tout. Surtout si vous avez été privé de sexe pendant plusieurs semaines.
Il fit signe à Neil de les rejoindre. À eux trois, ils formaient un triangle dans lequel la femme mûre et le jeune homme se faisaient face devant lui.
« Fais gaffe de pas tomber amoureux, mon pote ! » Lui dit-il en le poussant du coude.
Puis il se pencha vers l’oreille de Mme Harvey-Stackford. « Je parie que tu as toujours fantasmé sur jeune garçon comme lui, hein ? » Lui susurra-t-il d’une voix que tout le monde pouvait entendre. Il jeta un regard sur son mari qui sanglotait pathétiquement, avec sa calvitie et son petit sexe rabougri. « Après tout, il y a peu de chances que ce vieux machin te fasse encore grimper au rideaux. »
« Je vous en supplie… » Murmura la femme. « Ne me… »
BJ la coupa l’attrapant par la gorge. « Ne me quoi, salope ? »
Ses protestations se muèrent en un gargouillement rauque.
Il la relâcha. « Tu fais ce qu’on te dis de faire, bordel. » Et il regarda sournoisement Mme Kelly. « À moins que tu préfères subir le même sort qu’elle. »
Mme Harvey-Stackford se frotta la gorge. N-n… N… Non. »
« À terre, tous les deux ! » Ordonna-t-il.
Il vérifia que les familles regardaient bien pendant que les deux autres obéissaient.
« Bien. Pour faire connaissance, vous pourriez commencer par un peu de sexe oral. Allez mon pote, montre à la cramouille de cette vieille pétasse comme tu es doué en langues vivantes. »
Prenant l’initiative, Neil poussa doucement mais fermement Mme H-S en arrière, la couchant sur le sol. Il se pencha entre ses genoux, s’agenouilla et abaissa son visage sur son pubis fourni et épais.
BJ leur sourit, regardant les yeux noisette de la femme.
« Ben dis donc, c’est une vraie jungle là dedans. Il va falloir qu’on épile tout ça avant la compétition. » Et il éclata de rire. « Alors mon pote, ça à bon goût ? »
Neil leva légèrement la tête et répondit en emettant un son étouffé, incompréhensible, qui pouvait aussi bien être affirmatif que négatif.
« Bien. Maintenant, il faudrait quelque chose pour que la dame s’ammuse aussi. Mettez-vous tête-bêche. »
Sans cesser de s’activer entre les cuisses ouvertes, Neil pivota sur lui même, et enjamba Mme Harvey-Stackford, plaçant sa bite à quelques centimètres de sa bouche.
Il n’était pas en érection, visiblement peu inspiré par ce qu’il était contraint de faire.
« Oh-oh, ma chère, on dirait que ça ne donne pas les résultats escomptés. Tu ferais bien de t’activer pour lui rendre sa splendeur. Et tu as intérêt à te magner. »
Il la poussa du bout du pied pour la stimuler.
Tout doucement, comme intimidé, Neil fit glisser l’extrémité de sa bite entre les lèvres de sa partenaire, et progressivement, ils entamèrent un 69 sous les yeux de leurs familles.