Après le fléau 79 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 79.
Stella émit un panache de fumée. L’esclave tentait desespérément de la convaincre de ne pas le priver de sa virilité.
Elle jeta un œil sur l’écran qui montrait Jane arrivant à la fin de son épreuve, sa première épreuve de la journée.
Un instant, son attention se focalisa un instant sur Brutus. Comment cela se passait-il pour lui à la vente aux enchères ? À l’ère des téléphones mobiles, les bureaucrates se réservaient les ondes et même avec ses relations, Stella ne pouvait vaincre de telles obstructions.
Elle se renfrogna et écrasa son mégot sous son talon. Comme elle aurait aimé tenir quelques uns de ces gratte-papiers en son pouvoir.
Et maintenant, c’était les préparations pour ces damnés ‘Plaisirs de la famille’ de Brutus Junior. Ce garçon était un problème. Elle savait qu’il était obsédé par l’idée de supplanter son ‘Ennemis Réunis’ au top des audimètres.
Elle prit une gorgée de sa boisson, souriant à l’idée du bon goût de celle-ci, comparé à celui de celle que Jane ingurgitait sur l’écran.
Et cet adorable Don au corps et à la tête d’Appolon ? Peut-être qu’elle pourrait l’envoyer chercher pour qu’il lui fasse un massage relaxant des épaules ?
Elle caressa Hamlet derrière les oreilles et attrapa une autre cigarette dans son paquet.
« Patience, mon beau. » Déclara-t-elle en lui souriant. « Toutes les bonnes choses arrivent à point à ceux qui savent attendre. »
Elle glissa sa nouvelle cigarette entre ses lèvres et appuya une fois sur son briquet, recrachant un nuage de fumée entre ses dents. Tapotant le pelage noir de la tête d’Hamlet, elle se leva et s’avança lentement vers l’esclave qui avait été surpris par la vidéosurveillance entrain de se masturber.
Il avait été écartelé sur une croix en bois, incapable de faire le moindre mouvement.
Devant lui, deux montants verticaux étaient montés à quelques centimètres l’un de l’autre. Son pénis en érection passait à travers deux autres montants, horizontaux ceux-là, maintenu en place par des machoires de métal.
Il s’agissait d’une guillotine. Deux mètres au-dessus de sa tête, une lame étincellante pendait entre les deux montants. La lumière du soleil se reflétait sur son bord en dents de scie. Elle faisait une dizaine de centimètres de long, mais était très aiguisée et pourvue de lourds poids, si bien qu’elle pouvait glisser silencieusement à travers les rails bien graissés fixés sur les montants verticaux. Sa descente lui conférait suffisamment de vitesse pour trancher sans efforts la chair, le cartilage et les os.
Entre les jambes du pauvre garçon, deux esclaves était agenouillées, le chatouillant, agaçant ses parties génitales avec des plumes, le maintenant en érection malgré ses supplications terrifiées.
Une courroie en cuir au bout de laquelle pendait une barre en métal était nouée autour de ses testicules. La barre était pourvue de plusieurs poids métalliques en forme de beignets, et ses couilles s’étiraient vers le sol sur une longueur anormale.
Ses parties génitales étaient enduite d’un miel clair et poisseux, et une colonne d’insectes parcourait son pubis imberbe, se gorgeant de sang en mordant ses bourses, ses fesses et leur raie, ainsi que la hampe de son pénis.
Les filles rigolaient de voir les insectes se déplacer le long de leurs gants en caoutchouc et sur le gland gonflé et violet de son pénis, au contact des plumes.
Enfin, il avait une sonde électrique enfoncée profondément dans le rectum. Deux ou trois insectes cheminaient le long du cable rouge qui en sortait.
L’une des deux femmes était une Indienne, une jolie femme aux yeux de biche et à la peau muscade. Elle tenait une pince alligator entre le pouce et l’index, et s’amusait à en pincer occasionnellement la hampe dressée du pauvre garçon. Chaque effleurement de la pince établissait un contact qui lui occasionnait une décharge électrique qui traversait tout ce qui se trouvait entre la sonde et la pince.
L’homme se cabrait dans ses liens et grognait en bavant. Aussitôt son érection se ratatinait, réduisant son pénis à l’état de limace innofensive.
« Mmmm… Aaahhhh… Je vous en supplie… »
« Allez, mon garçon. » Déclara Stella en ébouriffant ses cheveux comme elle le faisait avec Hamlet. Si tu tiens à conserver cette chose, fais la bien grossir encore une fois. »
En réalité, l’intensité n’était pas si forte, mais elle l’était juste assez – et c’était nécessaire – pour produire une stimulation négative. La douleur qu’il ressentait devait être suffisante pour qu’il s’en souvienne pour un long moment.
Stella pensa qu’elle lui laisserait probablement son service trois pièces, pour cette fois.
Elle n’avait rien à gagner en le mutilant inutilement. Ça cerait beaucoup plus excitant de le surveiller attentivement durant les semaines à venir, de le provoquer gentiment, qu’il soit témoin de nombreuses scènes sexuelles, et pourquoi pas lui faire lécher quelques esclaves avant de l’obliger à assister à leurs ébats avec d’autres hommes. Elle verrait bien si il avait toujours envie de se tripoter après sa petite punition.
Les deux filles avaient entrepris de l’agacer avec leurs langues, titillant ses tétons et l’extrémité de son gland tout en aguichant les insectes qui grouillaient sur ses testicules. L’une d’entre elles souleva la barre lestée de poids, lui accordant un bref moment de répit.
« Adieu, mon p’tit gars, » miaula-t-elle. « C’est vraiment dommage de ne plus te revoir. » Et elle déposa un gros baiser d’adieu sur le bout de son pénis engorgé.
Puis, elle se redressa et lâcha brutalement la barre, faisant grimacer le pauvre garçon de douleur.
Celui-ci laissa échapper un long gémissement d’agonie et hurla.
« NOOOON ! J-je vous en supplie… Ne faites pas ça… Ne me la coupez pas… »
Stella sourit au garde qui ricanait en assistant à la scène.
« Tu connais l’esclave Don ? Le mari de Diana. »
Le garde réfléchit un moment et répondit par l’affirmative.
« Ils étaient dans la sections spéciale du bordel, mais j’imagine que Brutus Junior a du les ramener dans ses appartements. Va me le chercher s’il te plaît.
Le garde obtempéra et partit s’acquiter de sa tâche.