Après le fléau 76 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 76.
Occupé à en frotter la cuvette, Don était agenouillé devant les toilettes.
La luxueuse salle de bains de Brutus Junior et Joelle contenait une énorme baignoire Jacuzzi encastrée dans le sol, une douche à deux compartiments, deux lavabos, un WC et deux urinoirs séparés, et une coiffeuse.
Une larme s’écrasa dans la cuvette. Sa mâchoire le faisait plus souffrir que la plus sévère des rages de dents. Sa peau le brulait à l’endroit où on lui avait appliqué la crème. Plusieurs cheveux de sa frange étaient tombés dans les toilettes. Ils semblaient tomber toutes les dix secondes.
BJ rigolait lorsqu’il lui avait fait ingurgiter les médicaments, lui assurant qu’il n’aurait plus ‘un poil sur le caillou’ d’ici une semaine. Ses dents s’étaient déchaussées, et l’acné la plus terrible ravageait son visage et son entrecuisse. BJ avait exigé que Diana lui applique la crème avec un gant.
Tout en frottant, il en arriva à la conclusion que la vie ne valait plus la peine d’être vécue. Au moins, ça ne serait pas pire que de survivre comme il l’avait fait jusqu’à maintenant. Il n’avait plus qu’un seul but : Emmener quelqu’un avec lui. Et cette personne était celui dont il grattait les excréments incrustés dans la cuvette avec ses ongles.
Don serra ses dents douloureuses et commença à élaborer son plan.
Au même moment, Brutus Junior, inconscient de ce que son esclave projetait contre lui, était entrain d’inspecter ses nouvelles acquisitions.
Ils étaient alignés dans la grande pièce – qui avait été un gymnase d’école auparavant – aux côtés de la famille Evans qui venait juste d’être remontée du dongeon situé en-dessous.
Il marchait lentement devant eux, les détaillant de la tête aux pieds, tel un sergent-chef inspectant ses troupes. Il y avait trois familles : Les Harvey-Stackfords, les Kellys et les Evans.
C’étaient les Harvey-Stackfords qui lui avaient coûté le plus cher. Le père de famille, Mr H-S avait 54 ans était presque chauve et tout à fait quelconque. Sa femme avait trois ans de moins, mieux conservée que son mari et pas mal si vous aimez la viande coriace. Le trésor qui l’avait décidé à les acheter était leur fille unique, Christina. Agée de 28 ans, c’était une jolie brune aux pomettes hautes, un visage et des seins de mannequin ; plats comme des œufs sur le plat. Trois ans plus tôt, elle avait épousé Mark, qui travaillait dans une banque avant que la dépression fasse le vide dans tout ce qui touchait de près ou de loin à la finance, excepté les bons vieux ‘requins de la finance’.
Les Kellys étaient plus jeunes et en meilleure forte. Monsieur n’avait que 39 ans. C’était encore un jeune papa quand ses jumeaux étaient nés. Sa femme avait un an de plus, très séduisante avec ses cheveux chatains. Leur fille avait quelques minutes de plus que son frère. C’était une rouquine sexy et pétillantes de 22 ans avec des tâches de rousseur et une poitrine superbe. Visiblement, elle avait hérité de sa mère tandis que son fère tenait du père. Sa peau était pâle est ses cheveux avaient une teinte de carotte.
Les Evans avaient déjà passé plusieurs semaines dans le dongeon. Mr Evans et sa femme de 48 ans, leur fils Neil qui avait été un copain de BJ, et Tammy, leur fille blonde de 23 ans que BJ avait déjà bien baisé.
Plusieurs gardes assistaient à la scène en se tenant le long des murs. Sur un mur, face aux esclaves un écran plat diffusait ce qui était visiblement un ‘direct’ d’une jolie jeune femme à la bouche grande ouverte dans laquelle se masturbaient, à tour de rôle, une succession d’hommes noirs.
Les esclaves avaient reçu l’ordre de se tenir au ‘garde-à-vous’ et de regarder l’écran en attendant l’arrivée de Brutus Junior.
Il avait regardé l’écran en souriant.
« Je vois qu’on vous a diffusé une petite distraction. »
Ils étaient alignés par famille : Mr Havey-Stackford, Mme H-S, Christina et Mark ; puis Mr Kelly, Mme K, Corina et Colin, enfin Mr Evans, Mme E, Neil et pour finir, Tammy.
Les Evans étaient entièrement nus. On leur avait même ôté les cages de chasteté et les corsets.
Les nouveaux esclaves, eux, étaient encore en sous-vêtements.
BJ fixa fièrement les yeux de Mr Harvey-Stackford, le mettant au défit de protester. Puis il tira négligemment l’élastique du slip du vieil homme vers le bas. C’était un vieux caleçon moulant, usé mais propre. Il le lui baissa sur les genoux, mettant à nu ses parties génitales molles et miniscules.
« Enlève-moi ça ! » Ordonna-t-il.
Visiblement mis à mal par les menaces des gardes, Mr Harvey-Stackford se débarrassa maladroitement de ses sous-vêtements. Ne sachant trop quoi faire de son caleçon, il le garda à la main.
Satisfait, BJ s’approcha de sa femme. Tout-puissant, il laissa ses yeux parcourir son décolleté et, lentement, exhiba son couteau bien aiguisé. Puis il s’empara du devant de son soutien gorge. Effrayée, elle sursauta et assista, impuissante, au mouvement qu’il fit pour glisser la lame étincellante entre les deux bonnets.
BJ arracha les vestiges du soutien-gorge et les jeta par terre. Elle avait des seins de dimension modestes, mais encore fermes pour une femme de son âge. Elle avait bien quelques rides et sa peau s’affaissait à quelques endroits mais, dans l’ensemble elle était bandante.
Il dénuda les esclaves les uns après les autres. Aucun d’entre eux ne se défendit tant il était évident qu’il les terrorisait tous.
Mais le meilleur moment fut lorsqu’il arrivait à Corina, la jumelle sexy. Un garde s’approcha avec le rapport Questions/Réponses du Docteur Thorne après qu’elle ait examiné les esclaves.
Remarquablement, Corina était encore vierge en tous points : Que se soit Vaginalement, analement et même oralement (c’est en tout cas ce qu’elle avait revendiqué).
En lisant ces mots, BJ sentit un frisson lui parcourir les reins.
Il découpa avec délectation son soutien-gorge en dentelles et mit à jour ses seins splendides. Elle avait une poitrine incroyable qui semblait animée d’une vie autonome, défiant la gravité en dépit de sa taille. La chair était d’un blanc laiteux, dont les formes parfaites mettaient en valeur ses délicates aréoles roses, au milieu desquelles siégeaient deux petits tétons ressemblant à deux petites framboises.
Son visage vira au rouge pivoine, une vague de honte se répandant de son cou jusqu’à son visage et même sur son torse. Ses yeux bleu turquoise tentèrent de soutenir son regard, mais ils perdirent rapidement le combat et se fixèrent sur ses pieds.
Il lécha ses lèvres et la débarrassa de son petit string sexy, révélant son pubis roux.
Bon sang. Il venait de remarquer une petite cordelette bleue qui pendait entre ses lèvres gonflées. Corina avait ses trucs.
Il n’avait pas envisagé cette probabilité avec le grand-huit de S&M-Cyber. Ça pourrait ajouter une petite touche d’humiliation si elle concourait sans protection et qu’elle laissait une trace rouge sur la rampe derrière elle.
BJ termina son inspection. Il n’arrivait pas à décider si la famille Evans avait l’avantage ou pas. D’un côté ils étaient maintenant plutôt bien entraînés et peu sujets à la honte ; ils feraient donc tous ce qu’on leur ordonnerait. Mais d’un autre, ils étaient fatigués et peu musclés, tandis que les Kellys étaient particulièrement plus jeunes, mieux bâtis et plus forts. Il fit un clin d’œil à Neil en réfléchissant.
Ses spéculations l’amenèrent devant l’écran. La femme avait maintenant un entonoir dans la bouche et un homme de couleur était entrain d’y cracher son foutre, pendant qu’un homme blanc, agenouillé contre sa tête, le maintenait en place.
« Toi. » Lança-t-il d’une voix calme en pointant son index sur Corina. « Monte sur ces poutres, à plat ventre. »
Indécise, la jeune vierge de 22 ans s’avança, lançant un regard terrifié à ses parents par-dessus son épaule. Deux gardes l’escortèrent jusqu’à la robuste construction.
Il s’agissait de deux vieux bancs en bois dont on avait ôté les dossiers et qui avaient été assemblés côte à côte. Chacun d’entre eux était constitué d’une épaisse poutre horizontale en bois fixée sur une armature en teck dont la base était équipée de bracelets en cuir.
Lentement, elle s’agenouilla dessus et abaissa sa poitrine et sa tête sur l’une des poutres, faisant reposer ses jambes sur l’autre. Rapidement, les gardes expérimentés lui écartelèrent les cheville, les fixant aux bracelets, les orteils touchant à peine le sol. Ses poignets furent attachés de lamême manière, de sorte que son postérieur se trouvait en hauteur par rapport au reste de son corps.
Brutus Junior sourit et préleva trois allumettes dans une boîte qu’il avait dans la poche. Il arracha la tête rouge de l’une d’entre elles.
« On va tirer au sort. » Déclara-t-il en préparant les trois tiges en bois de façon à ce qu’elles aient le même aspect dans sa main avant de les tendre au père de Corina.
Rouge d’indignation, celui-ci en choisit en choisit une dont la tête était intacte.
BJ offrit l’une des deux restantes à la mère de Corina, qui hésita longuement avant d’en tirer une dont l’extrémité était rouge elle aussi.
Affichant un grand sourire, BJ tendit la dernière au jumeau de Corina. Celui-ci constata avec consternation que l’alumette n’avait pas son embout phosphoré.
« Va rejoindre ta sœur et agenouille-toi derrière elle, le visage contre son cul. Après, je te dirai quoi faire. »
BJ le suivit du regard.
Au même moment, les gardes justifièrent leur présence. Mme Kelly tenta de se jeter sur BJ en l’attaquant, mais l’un d’entre eux l’intercepta et la plaqua par terre.
« Espèce de sale pervers… Laisse mes petits chéris tranquille… Sale… Je vais te… »
Elle hurlait en se débattant sur le sol, donnant de grands coups de pieds désordonnés.
Nonchalament, BJ fit un geste aux gardes, leur désignant l’espace situé près du double banc en bois. Il adressa un sourire à Colin qui faisait son possible pour ignorer la crise de sa mère et attendait sagement derrière sa sœur, fixant sa peau pâle hérissée de chair de poule.
« Ôte-moi ce tampon de sa chatte. » Ordonna BJ.
Docilement, le jeune homme tendit sa main vers l’entrecuisse de sa sœur. C’était embarrassant, mais il s’appliqua et tira lentement sur le cordon bleu, extirpant le tampon sanglant du vagin de la jeune fille. Arrivé à ses fins, il attendit, l’odieux objet pendant au bout de ses doigts.
BJ s’approcha paresseusement et se pencha pour inspecter l’objet. « C’est bien mon gars. » Dit-il en lui tapotant le sommet du crâne.
Puis, il fit se tourna et observa les gardes qui finissaient d’attacher Mme Kelly sur l’autre banc. Elle se démenait toujours autant en hurlant des insultes et des malédictions. « Va bâillonner ta mère avec ça. » Ordonna-t-il d’un ton glacial.
Tétanisé par l’horreur de la directive, Colin hésita.
« Crois-moi, » Continua BJ, « C’est pour son propre bien. Si elle voulait préserver sa famille, elle aurait mieux fait d’éviter la faillite. Maintenant, à moins qu’elle la ferme très rapidement, j’ai bien peur de me mettre vraiment en pétard. »
Un des garde tenait sa tête et un autre ses narines, tandis que son fils se hâtait d’enfourner l’ignoble tampon dans sa bouche et le fixait à l’aide de deux petites couroies en cuir.
Elle continua à grogner et à hurler, mais au moins elle ne pouvait plus que marmonner des paroles innintelligibles et étouffées.
« Bien, mon gars. Maintenant, je veux que tu retourne t’occuper de ta sœur et que tu prépares sa chatte et son trou du cul à accueillir ma bite. Je trouve qu’il n’y a aucune raison qu’une vierge prenne part à notre petite fête de ce soir. Je vais donc devoir la dépuceler pour vous, ici et maintenant. »
L’expression de Colin changea. Il semblait sur le point de se révolter, ou peut-être seulement de contester, mais le regard froid et déterminé de BJ l’en dissuada.
Lentement, il introduisit son visage entre les fesses rondes de sa sœur.