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Après le fléau 75
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 75.

Stella se détourna de l’écran sur lequel on voyait, en gros plan, Jane endurer la soixante-septième éjaculation de son calvaire.
Son sourire s’était effacé lorsqu’elle avait vu que les gardes avaient fini d’attacher l’homme nu. Il était suspendu au plafond par les poignets et ses chevilles étaient largement écartées, fixées à des anneaux de métal scellés dans le sol.

« Bon… » Dit-elle en se servant de la télécommande pour changer de canal.

L’écran montrait une vue d’ensemble, visiblement issue d’une caméra de télésurveillance. La qualité, bien que moyenne, permettait de distinguer un esclave passant le balai dans une pièce.
Visiblement, il était seul. Sa nudité révelait qu’il ne portait pas de cage de chasteté. Regardant discrètement autour de lui, il toucha son pénis à demi érigé. Précautioneusement, tout en continuant à balayer d’une main, il se mit à caresser son sexe, puis à se masturber avec de plus en plus d’entrain. Tournant le dos à l’entrée de la pièce, il n’avait pas réalisé qu’il était face au champ de la caméra.
Alors qu’il semblait sur le point d’avoir un orgasme, il y eut un cri et une garde entra dans la pièce.
Paniqué, il tenta de cacher son érection en tenant ridiculement le balai devant lui avec ses deux mains.
Sûre de son fait, la femme s’approcha tranquillement de lui et lui arracha le balai des mains.
Quelques minutes plus tard, Stella éteignait l’écran et le regardait froidement.

« Un branleur, hein ? »

« S’il vous plaît, M’dame… » Pleurnicha-t-il. « Je… Je suis… d-désolé, Madame… Je… »

Il avait vingt-sept ans. Dans la fleur de l’âge et avait acheté trois mois et demi plus tôt. Avec une taille d’un mètre quatre-vingt, il était bien proportionné.
Stella lui intima l’ordre de se taire en plaçant verticalement son index devant ses lèvres.

« Pas de justifications. » Coupa-t-elle. « Ça ne ferait qu’aggraver ta faute. »

Au même moment, le Docteur Sadie Thorne entra dans la pièce. Elle portait son habituelle blouse blanche et poussait un petite chariot plein d’instruments chirurgicaux.

« Bonjour Sadie » Lui dit Stella. « Prête ? »

La doctoresse opina de la tête en ouvrant les paumes de ses mains pour montrer le contenu de son chariot.
L’esclave se mit à pleurer. « Je vous en supplie… Pas ça… »

« Si ton service trois pièces t’embarrasse tant que ça, » L’admonesta Stella. « Nous te rendrons service en le soulageant.

« N-non… Je vous promets… Je… Je ne le ferai plus… Jamais… »

Stella s’approcha de lui, plongeant son regard dans ses yeux marrons humides. Elle laissa ses mains errer sur sa poitrine, les fit glisser sur ses hanches, finissant par titiller son pénis rabougri du bout des doigts.

« Si tu ne comptes plus le refaire, c’est que tu n’en as plus vraiment besoin, n’est ce pas ? » Demanda-t-elle en l’agaçant nonchalament du bout des ongles. « À moins que ce ne soient elles qui te sont désormais inutiles ? » Poursuivit-elle en s’emparant de ses testicules.

« J-je… Je me contrôlerai… Je veux les conserver… S’il vous plaît. » Bredouilla-t-il.

« Mais ce n’est pas comme si ta petite copine en avait besoin aussi, n’est-ce pas ? »

Elle fit une pause.

L’esclave n’était pas marié, mais il vivait depuis deux ans avec une jolie brune lorsqu’il avait été déclaré en faillite. Stella avait loué la fille à une ferme des alentours pour qu’elle y travaille comme ouvrière.

« Sais-tu qu’elle est enceinte ? »

Sa bouche s’ouvrit comme celle d’un poisson et ses paupières se crispèrent sur ses yeux.

« Et oui, » Renchérit Stella en haussant les épaules. « Je l’ai appris il y a quelques semaines. Désolée si j’ai oublié de t’en parler. Il paraît que le père est l’un des quelques hommes qui vivent là bas. »

La tête de l’esclave se mit à pendre sur sa poitrine.

« Alors, si elle n’en a plus besoin et que tu n’as pas l’intention de l’utiliser, à quoi pourrait elle précisément servir ? » Ajouta-t-elle en le frappant brutalement sur l’entrejambe.

Il releva la tête et la regarda, les yeux pleins de larmes, défait.

« J-je ne sais pas… M’dame… Mais j-je v-vous en supp… Supplie… Je ferais tout ce que vous voudrez… »

« Tiens donc ! » Répondit Stella en échangeant un regard entendu avec Sadie.

« La tirade classique : Je ferai tout ce que vous voudrez ! Dis-moi plutôt exactement ce que tu ne pourra plus faire, ou ce que tu feras si nous te débarrassons de ces tracasseries. Je suis curieuse de savoir. »

En proie à une panique grandissante, il la regarda.

« Je vous en supplie, M’dame, donnez-moi une dernière chance, s’il vous plaît. »

Elle gloussa.

« C’est mieux. J’aime ses deux mots : ‘Supplier’ et ‘dernière chance’. » Elle pinça le bout de son pénis pétrifié et l’étira comme un morceau d’élastique, le faisant pleurer et grimacer de douleur. « Voilà ce que nous allons faire. »

perverpeper@perverpeper.com

 

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