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Après le fléau 73
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 73.

Le gros poing marron s’agita frénétiquement d’avant en arrière plusieurs fois. Puis, il y eut un énorme râle de plaisir. Le poing guida le gros pruneau gonflé du pénis au bord de la bouche au rouge à lèvre brillant et plusieurs jets de semence épaisse et blanche se répandirent précisément et copieusement sur la langue applatie de la femme.
Pendant une seconde, sa gorge se contracta, et Jane sembla sur le point de vomir. Elle était étendue sur une chaise longue, visage offert, pendant que l’Africain était accroupi sur son visage et que Jim, son mari lui tenait la tête, la regardant dans les yeux.
Elle eut un nouveau haut-le-cœur et lutta pour le contrôler. La face négroide la surplombait avec un intérêt morbide. Elle ne connaitrait jamais son nom, ni ne le reverrai et elle ne l’avait jamais vu auparavant. Le seul contact qu’elle avait eu avec lui était lorsqu’il avait essuyé son humidité pré-éjaculatoire sur sa joue avant de commencer à se masturber.
Et maintenant, il la regardait avec un sourire sardonique, comme s’il se moquait d’elle, de sa langue recouverte de sperme.
Elle s’arma de courage, ferma sa bouche et avala. Deux fois. C’était amer. Jusqu’à maintenant, elle s’était naivement imaginé que le sperme de tous les hommes avait le même goût que celui de son mari. Mais la réalité était toute autre.
Parfois, certains hommes avaient un goût presque doux, déplaisant mais supportable. Mais, la plupart du temps, c’était salé, ou amer, ou encore acide, quand ce n’était pas tout cela à la fois.
L’aspect était encore pire. Particulièrement pour les hommes les plus jeunes, ceux qui avaient une vingtaine d’années. Le leur était épais, presque caoutchouteux, gélatineux.
Certains d’entre eux avaient un goût âcre, surmonté d’une odeur de marée, de poisson. D’autres encore étaient plus épicés, champignoneux, aillés.
Mais elle se rendait compte que tous les hommes, malgré tout, la regardaient, cherchant à décrypter ses réactions, prêt à se vexer au moindre signe de dégoût.
Un autre participant monta sur la scène, son érection était déjà à son apogée. Sa main le maintenait au bord de l’orgasme. Arrivé au-dessus d’elle, il sourit à Jim, puis l’enjamba et abaissa son bassin pour frotter l’extrémité de son gland contre son cou et son menton.
Pourquoi faisaient ils tous ça ? Comme des chiens marquant leur territoire au beau milieu d’une meute.
Elle lui sourit sans conviction et se força à ouvrir à nouveau la bouche en grand, applatissant la langue au bord de ses lèvres, en dépit de sa mâchoire douloureuse et de la nausée qui menaçait dans son estomac. Elle eut l’impression de voir son poignet s’agiter au ralenti et attendit avec résignation que l’éjaculation se répande sur son visage et dans sa bouche.
Elle avait tant bien que mal réussi à tenir le compte. Cet homme n’était que le vingt-cinquième. Elle n’était arrivé qu’au quart de son chemin de croix et il en restait soixante-quinze autres à endurer.

perverpeper@perverpeper.com

 

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