Après le fléau 72 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 72.
L’ancien Juge, Ian Andersen était étendu par terre, sur le dos. Des couroies en cuir enserraient sa tête, maintenant en place deux vibromasseurs qui saillaient, l’un sur son front, l’autre sur son menton.
Rebecca fit un sourire à Camilla qui se tenait, nue, devant elle, tremblant encore de la douche froide qu’on venait de lui administrer. Elle passa son bras autour des épaules de sa victime, tâtant l’un de ses seins couverts de chair de poule.
« Il est temps de passer à quelques leçons. Quelques leçons de choses. » Lui déclara-t-elle. « Tu es prête ? »
Craintivement, Camilla approuva de la tête.
« Premièrement, mets-toi bien dans la tête que tu dois toujours obéir. Immédiatement et quelque soit l’ordre qu’on te donne. Si tu n’oublies pas ça, tu éviteras le pire, mais si tu désobéit, tes Maîtres s’ingénieront à t’obliger à faire quelque chose d’encore pire. Ils adorent ça, briser les fortes têtes. Est-ce que c’est bien compris ? »
Camilla ferma momentanément les yeux, aspirant une longue goulée d’air, et opina doucement de la tête.
« Je vais être franche avec toi, » Continua Rebecca. « Aussi ignoble que cela te paraîsse maintenant, dis-toi bien que ça deviendra toujours pire. Tu n’as rien de vraiment attirant et tu es de mon âge. Maître Brutus sera lassé de toi au bout d’une semaine, deux tout au plus. Et dans un mois ou deux, tu repenseras au moments que tu as passé entre ses mains avec nostalgie. Je te le redis, quoi qu’il te fasse, quoi qu’il t’impose, quelle que soit la répulsion qu’il t’inspire, n’oublies jamais que ça sera toujours de pire en pire. Compris ? »
De nouveau, Camilla approuva timidement de la tête. « Mais… »
« Mais quoi ? » La coupa Rebecca. « Mais rien du tout. Il n’y a pas de mais… »
Camilla acquesca plus vigoureusement pour montrer qu’elle comprenait.
« Maintenant, ton seul avantage, c’est que ça les amuse de te rabaisser. Ils veulent que tu obéisse, mais en détestant ça. Si tu trouves le bon équilibre, tu pourras probablement faire durer ça un peu plus longtemps. Je suis sûre qu’ils m’ont choisie pour rajouter à ton humiliation. C’est ma chance et j’ai bien l’intention de la saisir et de la faire durer le plus longtemps possible. Si tu me compromets ou me fais échouer de quelque façon que ce soit, je ferai tout ce qui sera en mon pouvoir pour me venger. Est-ce que c’est bien clair ? À deux cent pour cent ? »
Stupéfaite, Camilla la fixa longuement, trop longuement.
La main de Rebecca fendit l’air et attérit violemment sur sa joue.
« JE T’AI DEMANDÉ SI C’ÉTAIT CLAIR… »
Les larmes aux yeux, Camilla se frotta la joue et murmura : « Oui… Oui… Heu… Oui, Maîtresse. »
Rebecca afficha froidement un sourire. « Bien ! »
Elle ôta son bras de l’épaule de Camilla avant de continuer.
« Tu as un con. Il est vieux, mais pas encore suffisamment rodé. Sans compter que tu n’as pas encore eu d’enfants. Je vais t’apprendre à t’en servir pour donner du plaisir, pour distraire et amuser. Ensuite, il se peut que je demande l’autorisation d’avoir la charge de ton programme de reproduction.
Camilla blémit mais resta silencieuse.
« Tu as aussi un trou du cul, comme nous l’avons vu dans les toilettes ce matin. Il n’a rien de mieux que les autres, mais il est vierge. Maître Brutus se fera un plaisir d’être la première bite humaine à le déflorer, mais auparavant, nous devons le préparer pour l’accueillir comme il se doit. Ce n’est pas très marrant d’être sodomisée et j’imagine que tu préféreras qu’il s’occupe de tes autres trous. Aussi, pendant les deux prochaines semaines, nous concentrerons nos efforts sur ton anus. Mais ne t’inquiètes pas, nous nous ferons aider… Par beaucoup d’hommes. »
Camilla fut sur le point de lui répondre, mais elle se ravisa.
« Tu as des nichons, ces grosses boites à jeu un peu abîmées. Tu vas apprendre à t’en servir pour distraire les autres. Tu apprendras qu’ils sont destinés à être punis de nombreuses façons. Et tu as aussi cette bouche, qui ne te servira plus jamais à parler. Elle n’est destinée qu’à donner du plaisir aux hommes et… aux femmes, bien entendu. » Rebecca sourit suggestivement. « Et peut-être même à… Heu… À d’autres. Tu rattraperas le temps perdu pendant ses vingt dernières années à ne jamais avoir avalé de foutre. Enfin, pour finir, tu apprendras que ta bouche, est, en fait, une "Cuvette de chiottes" maintenant. Tu comprends, toutes ces choses, et même plus, je vais te les apprendre. »
Les deux femmes se regardèrent un instant. Camilla fut la première à détourner le regard.
Rebecca ricana et baissa les yeux sur Ian qui attendait silencieusement.
« J’ai déjà expliqué son avenir à Ian. » Dit-elle. « Tu vois cette cage de chasteté qu’il porte. C’est sa nouvelle ‘femme’. Il peut baiser ce métal aussi souvent qu’il le souhaite. Je m’occuperai de ses couilles moi-même. Mais il ne sera pas exclu complètement de ta nouvelle vie. Loin de là. Tu vois ces vibromasseurs qui bandent pour toi ? »
Camilla leva les yeux sur son mari et acquiesca.
« Il est sur le point d’avoir un gros plan de ta défloration anale. D’abord une bite en plastique et, dans un jour ou deux, une vraie… Bon, je te donne une minute pour t’asseoir sur son visage en prenant soin de t’enfiler tes deux nouveaux copains. »
Le vibromasseur qui était fixé sur son front était d’une taille monstreueuse. Rose, épais, veiné et très long. Celui qui était fixé à son menton avait la couleur du chocolat noir, plus mince, plus lisse et ne mesurant que quinze centimètres de long. Tous deux brillaient, visiblement enduits d’un lubrifiant quelconque.
Rebecca haussa les épaules et plaça une chaise à côté de la tête de Ian. Elle dégraffa sa ceinture et lécha ses lèvres suggestivement en la regardant droit dans les yeux.
« Et pendant que tu apprends à chevaucher deux bites à la fois, comme nous ne voulons pas nous priver d’éduquer aussi ta bouche… » Elle jeta un œil sur la pendule murale. « Plus que trente cinq secondes. »