Après le fléau 67

APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

Adaptation Française : Perverpeper.

Chapitre 67.

Vêtue d’une robe de satin, Stella était assise devant sa coiffeuse.

« Ah ! » Déclara-t-elle. « La jolie Jane… Et son mari amoureux. »

Deux gardes solidement charpentés se tenaient de part et d’autre des malheureux époux.
Elle les détailla d’un regard évaluateur. Comparé à la veille, Jane semblait usée. Ses cheveux blonds étaient emmelés, ses grands yeux bleus creusés, sa peau pâle boursouflée et son corps de rêve était constellé de marques rouges et de vilains bleus.
Jim, lui, semblait moins marqué. Son regard était éteint et il se tenait vouté.

« Alors ? Tu as terminé les 50 lettres ? »

Jane fit une révérence. « Oui, Maîtresse. »

« Bien. J’ai hâte d’en feuilleter quelques unes. » Elle fit une pause, attrapant son crayon à maquillage pour l’appliquer sur ses paupières. « Je dois dire, que je suis rassurée, depuis que tu as, pour ainsi dire, fait quelques conquêtes de plus. Tu es une salope et maintenant tu as des partenaires à qui le prouver. En tout cas, c’est un bon début. J’espère bien que d’ici quelques semaines tu en auras répertorié environ une cinquantaine. Dis-toi bien que c’est un nombre ridiculeusement petit, mais pour le moment ça suffira. Tu dois être fière de ta moitié, Jim, non ? »

Abasourdi, ce dernier la regarda sans répondre. L’un des gardes le gilfa.

« O… Oui, Maîtresse. »

Stella se concentra sur son reflêt dans le miroir.

« Je pense que tu devrais aussi écrire des mots de remerciement, Jim. Il n’y a pas tant d’hommes qui ont cette chance de voir d’autres partenaires masculins ou féminins s’occuper aussi méticuleusement de leurs femmes. Tu ne crois pas que tu devrais leur écrire à tous, toi aussi ? »

Elle l’entendit avaler difficilement sa salive, la gorge rapeuse.

« O-oui… Oui, Maîtresse. »

Elle se retourna vers lui et l’étudia attentivement. C’était si excitant de manipuler aussi radicalement son amour-propre.

« Très bien. Et tu ne crois pas que tu devrais aussi remercier les deux clients qui t’ont si gentiment initié aux délices de l’homosexualité ? Je m’assurerai qu’elles parviennent bien aux bons destinataires. Tu pourras écrire toutes ces lettres cette nuit. Tu auras toute la nuit pour ça. »

« Bien, Maîtresse. » Ses yeux commençaient à s’humidifier.

Stella reposa son crayon et fit face à Jane. « Ici. »

Jane s’avança de quelques pas sans oser levers les yeux vers elle. Stella tendit la main et glissa son doigt entre les lèvres gonflées de son sexe. Elle y introduisit deux l’index et le majeur.

« Mmmm… C’est moins étroit. J’ai hâte de savoir comment ça sera dans quelques semaines. »

Elle se retira et fit glisser sa main le long de la hanche de sa victime, jusqu’à ses seins. S’emparant du téton elle le tira méchament vers elle.
Jane grimaça et tenta de reculer pour échapper à la douleur.

« Ttttt… Vilaine fille. » La sermona Stella en faisant claquer sa langue sur son palais. « Depuis quand te permets-tu de te fuir mes caresses ? Je trouve ça profondément vexant… Tu mérites une punition » Elle fit une nouvelle pause, réaffirmant sa prise. « Pour ça, je pense que je vais te faire poser des anneaux. Juste à cet endroit. D’abord de mignons petits anneaux en argent, puis on y suspendra de grosses boucles en métal bien lourdes. Ça sera très sexy de les voir se balancer au bout de leurs anneaux. »

Stella se tourna vers le plus âgé des deux gardes.

« Occupez-vous de ça aussitôt après. Vous demanderez au Docteur Thorne de sertir une paire de ces gros anneaux de quinze centimètres de diamètre en métal de double épaisseur. Ça fera un superbe pendentif pour ces deux jolis petits nichons. » Déclara-t-elle en enfonçant ses ongles dans les pointes de seins de Jane.

Les yeux de Jane se firent suppliants. Stella se contenta de lui sourire légèrement.

« Maintenant, comme je suis un Maîtresse généreuse et clémente, je vais te proposer un choix aujourd’hui. N’est-ce pas sympathique de ma part ? »

Les yeux larmoyants, Jane fit son possible pour acquiescer. « Oui, Maîtresse. »

« Il s’agit de choisir ton propre programme. L’option numéro un est la même qu’hier. Cinquante nouveaux clients dans des combinaisons et des orifices variés. »

Jane ferma les yeux et se mit à trembler.

« L’option numéro deux est constituée de deux parties. La première, ce matin, comprend cent hommes qui éjaculeront dans ta bouche et sur ton visage. Evidemment, tu n’as probablement jamais regardé aucun épisode de notre série "Explosions rapides". Basiquement, c’est une compilation d’éjaculations dirigées dans une bouche grande ouverte. Tout simplement. Mais les clients qui se branlent chez eux adorent voir la même jolie poulette se faire inonder, jet après jet, et tout avaler. Il y en a pour environ deux heures pour tout filmer, mais nous couperons les temps-morts afin que tout tienne dans une heure et demie. Juste les éjaculations, en séquences rapides. De plus, les hommes sont déjà recrutés et prêts, avec une autre actrice ; mais si tu veux le rôle, il est à toi. »

Jim fixait sombrement le sol. Jane gardait la bouche ouverte, rendue muette par la stupéfaction. Finalement, elle répondit.

« Je… Q-que… Et qu-quelle est la d-deuxième partie, Maît… Maîtresse ? »

Stella sourit intérieurement.
La salope progressait, se demanda déjà à quel degré d’ignominie elle accepterait de se soumettre.

« Ha-ha… Une surprise ! Cet après-midi. Mais je te fais une promesse. Ça sera une après-midi tranquille, selon tes critères en tout cas. »

Jane mordit ses lèvres.

Stella remarqua avec satisfaction qu’elle ne regardait pas Jim pour obtenir son avis ou son opinion. C’était classique. Tôt ou tard, les couples, mariés ou non, se recentraient sur leurs individualités, accordant plus d’importance à leurs propres proccupations. C’est pour cela qu’il était important passent leurs premiers jours de captivité ensemble, lorsque l’humiliation d’être vu par l’autre était la plus intense.

« Presse-toi. À moins que tu ne préfères que je choisisse la première option à ta place. »

Jane mordit à l’appât.

« Je… Heu… La deuxième option s-s’il… S’il vous plait Maîtresse. »

Stella afficha une moue de déception.

« Ainsi soit-il. » Conclut-elle avec un sourire moqueur. « Tu préfères être une star de la vidéo plutôt qu’une pute, non ? À moins que tu te sois rendu compte que tu adorais le goût du sperme pendant la journée d’hier ? »

Jane fit simplement non de la tête en baissant les yeux.

« J’ai aussi un rôle pour toi dans ce film, Jim. Tu devras tenir la tête de Jane pendant que les bites cracheront leurs jus sur son visage et dans sa bouche. Qui sait, tu gagneras peut-être le césar du meilleur second rôle ! »

Stella fit un signe aux deux gardes.

« Emmenez les. Faites-lui poser ses piercings avant le début du film. Il n’y a rien de mieux qu’un peu de ‘bling-bling’ pour ajouter un peu de glamour bon marché à un scénario plutôt sordide. »

Elle attendit qu’ils atteignent la porte.

« Oh ! Et au fait… J’ai oublié de vous dire que les cent types avec qui tu vas faire tes premiers pas font partie d’une délégation de ‘l’Empire Central Africain’. Ils nous rendent une petite visite pour savoir comment nous procédons ici. Assurez-vous bien de nous représenter dans les meilleures conditions, entendu ? »

perverpeper@perverpeper.com