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Après le fléau 66
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 66.

Diana était étendue sur le dos. BJ, couché sur elle était littéralement entrain de baiser son visage. Elle avait pour ordre de ne pas faire le moindre mouvement tandis qu’il pistonait allègrement le fond de sa gorge, butant contre ses narines et sa glotte.
Tout à son plaisir, ce dernier ignorait les sons étouffés, les hauts le cœur et les plaintes qu’elle laissait échapper.
Pendant ce temps, Joelle, lui offrait ses lèvres sexy tandis que son ventre proéminent dépassait au milieu des oreillers. Leurs langues se mélangeaient aussi sensuellement que si c’était à elle qu’il faisait l’amour malgré le fait que, simultanément, il s’enfonçait profondément dans la bouche d’une autre.
À l’autre bout du gigantesque lit, Don était agenouillé "à disposition" et regardait avec une expression de souffrance terrible, sa femme bafouée glapir en faisant son possible pour réprimer la nausée qui la torturait. Ses bras pendaient le long de son corps raide.
BJ lui jeta un regard et lui sourit sadiquement en frissonnant de plaisir. Son premier orgasme de la journée était proche.
Aujourd’hui débutait un grand jour. Ses pensées vagabondèrent un instant vers la famille Evans à l’étage de dessous, ainsi que les Kellys et les Harvey-Stackfords qu’il avait acheté la veille et qui ne tarderaient plus à arriver. Treize compétiteurs ; trois pères fiers, trois délicieuses mamans, trois jeunes garçons et trois petits canons qui allaient tous se produire dans son grand show : "Les bonheurs de la famille".
Il replongea ses yeux dans ceux de Joelle et s’y perdit un instant. Le point de non retour. Il sentit la pression des lèvres et de la langue sur sa bite tendue à l’extrême et s’enfonça plus profondément. L’extrémité de sa bite appuyait contre la trachée artère de Diana et il se délecta des réflèxes de révolte de sa gorge dont les contraction enserrèrent plus étroitement son gland hypersensible. Puis, dans un dernier sursaut d’humanité, il se retira légèrement afin de ne pas risquer de l’étouffer, et déversa trois longues giclées de sperme épais et crémeux partout sur sa langue.
BJ savait que rendre cet acte aussi désagréable que possible n’était pas qu’une question de chance. Les papilles gustatives de la langue étaient différentes selon les endroits : plus sucré au bout de la langue, plus aigre et salé sur les côtés et plus amère au fond. Les tricheuses tentaient de stoquer la liqueur séminale vers le bout de la langue, puis l’avalaient avec de la salive, ou bien court-circuitaient complètement la partie sensible aux goûts amères en l’avalant directement.
Et il fallait manger quantité de mets au goût fort et épicé tels que les ognons, l’ail, les asperges, les choux, les aliments pimentés, le poisson, le vin et les cigares, tout ce qui relevait et augmentait l’aigreur et l’amertume du sperme.
En bref, il fallait armer correctement son matériel et viser au bon endroit !
Il se laissa retomber de tout son poids sur la tête de Diana et embrassa Joelle une dernière fois. Puis il se retourna et regarda le mari qui n’avait rien perdu de la scène, attendant humblement son bon vouloir et qui était visiblement plus troublé par les bruits étouffés que produisait sa femme que par le fait qu’il venait de l’utiliser comme une poupée gonflable.
BJ ricana. Quelle mauviette !
Un homme à la carrure de surfer, 1m 85 et tout en muscles, mais une lopette quand même.
Athlétique, hein ?
Dans une petite coupe sur sa table de nuit, BJ avait une provision des médicaments que Stella avait acheté à ce type, Rhino. BJ avait voulu savoir ce qu’un comprimé de Glabries causerait aux cheveux blonds couleur sable du garçon. C’était sensé le rendre aussi chauve qu’un caillou dans les sept jours.
Par la suite, une gellule de Goofies ferait certainement des merveilles sur son sourire éblouissant. Sans compter le plaisir de lui faire suivre un traitement d’orthodontie après, comme ça, au lieu d’avoir les dents de travers, il devrait porter des bagues en acier pendant au moins un an. Ensuite, il pourrait prendre un autre Goofie et tout recommencerait.
Il y avait aussi cette crème bizarre, le Rit. Il était curieux de savoir comment cette belle peau douce réagirait à une poussée massive de boutons chatouillants.
Finalement, BJ roula sur le côté, s’extrirpant avec délices de la bouche de Diana.

« Toi, » Lança-t-il à Don, faisant de son mieux pour cacher son sourire. « Il y a des médicaments dans le tiroir de ma table de nuit. Passe-les-moi. » Puis, il fit un grand sourire à Joelle. « Tu veux bien pisser dans ce verre, ma chérie. Notre copain va avoir besoin de liquide pour avaler ses comprimés. »

perverpeper@perverpeper.com

 

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