Après le fléau 65 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 65.
« Qu’est-ce que j’avais dit ? » Hurla Rebecca.
Camilla begaya en pleurant. « J-j… Juste… Quelques c-centimètres, M… Mademoiselle. »
« Et alors ? Comment appelles-tu ça ? »
« Je… Je suis d-désolée, Mademoiselle. »
Une crotte brillante d’environ huit centimètres s’était échappée de son corps, s’était brisée en deux et avait roulé sur le petit plateau, laissant un morceau plus court pendre obscènement de son anus.
« Tu vas avoir de bonnes raisons de l’être. » Renchérit Rebecca.
Camilla sentait les yeux des gardes l’étudier. Une jeune femme posa un mouchoir sur son nez et l’y maintint.
« Bon, dépêche-toi de terminer tes cochonneries, » Poursuivit Rebecca. « Pendant que je réfléchis à une punition adaptée à ton manque de contrôle. »
Poussant un sanglot aigu, Camilla se relâcha et acheva bruyament de se vider. Des larmes coulaient comme des gouttes de pluie sur ses joues, tandis que ses intestins gargouillaient et expulsaient des gaz puants et le reste de ses déjections.
« Ca y est ? Tu as terminé ? »
Camilla confirma piteusement d’un geste de la tête.
« Bien, maintenant prends le plateau. » Ordonna Rebecca. « Vite ! »
La femme du Juge sauta sur ses genoux, s’empara précautieusement du plateau et se redressa, les jambes tremblantes sur le sol carrelé. Son postérieur souillé fit grimacer les spectateurs.
« Tiens-le comme ça. »
Camilla regarda le contenu du plateau. Comment cela pouvait il lui arriver maintenant, après toute ces années, défequer de cette manière, en rejetant l’une des plus grosses déjections de sa vie ? C’était un énorme étron luisant, lui faisant penser à ce qu’un animal aurait produit.
Rebecca l’étudia en se pinçant le nez entre le pouce et l’index.
« Bien, maintenant va montrer tes saletés à nos invités. Tu te croyais au-dessus de ça… Toi, la femme du Juge… Et bien, maintenant, nous savons tous de quoi tu es capable. Tu n’es pas mieux que n’importe quelle salope des bas quartiers. Et pour ton information, tes excréments puent encore plus. »
Les spectateurs observèrent froidement Camilla qui défilait humblement devant eux, leur faisant inspecter le contenu de son plateau. Elle aurait voulu disparaître sous le sol carrelé et mourir seule, loin de tous ses regards qui la condamnaient.
Lorsqu’enfin, elle se présenta devant son mari et les deux autres esclaves, elle le fixa avec un regard suppliant, implorant son pardon.
« Toi ! » Lança Rebecca en désignant le Juge de l’index. « Prends-lui son plateau. »
Rouge de honte, le mari de Rebecca s’empara de l’ignoble présentoir.
« Camilla ! Mains dans le dos ! »
Ne sachant plus que penser, la pauvre femme s’exécuta. Elle redoutait ce qui allait suivre. Que cette ‘Némésis’ leur réservait-elle ?
« Avant toute chose, » Déclara Rebecca en articulant lentement sa phrase, « Tu dois savoir que si tu n’obéit pas immédiatement, je demanderai à tous nos amis ici présents de m’assister pour vous punir sévèrement, ta moitié et toi ; d’une manière encore pire que ce que j’aurai exigé de toi. Est-ce bien compris ? »
Camilla vit son fier Juge de mari, passer rapidement en revue les différentes options qui s’offraient à lui et, réalisant qu’il n’avait pas le choix, opiner lentement de la tête en baissant les yeux sur ses pieds.
« Bien. »
Il y eut un long silence, pendant lequel les spectateurs blasés et les deux autres esclaves fixèrent attentivement les deux époux.
« Mets-lui tout sur la tête. Tout de suite ! »
Dans l’esprit de Camilla, les secondes semblèrent s’allonger à l’infini. Les pensées de son mari n’avaient aucun secret pour elle depuis longtemps ; elle y lut tout d’abord une incapacité à comprendre ce qu’on lui ordonnait, puis il réalisa progressivement quel acte odieux cette folle exigeait de lui et enfin le choc, la fureur et finalement, à l’idée d’une punition pire encore, sa résignation à accepter l’innévitable. Elle sut avec certitude le dégoût qu’il éprouvait, la crainte que lui inspirait cette ignoble dégradation qu’il allait lui imposer.
Évitant soigneusement de croiser son regard, il leva le plateau et versa les excréments encore chaud sur ses cheveux.
Sous le choc, elle resta tétanisée, partagée entre la nausée et la peur de déplaire à sa tortionnaire.
Les yeux étroitement clos, écoeurée, elle sentit ses propres matières fécales, chaudes et gluantes, glisser sur ses joues, ses épaules, ses bras et sa poitrine. Quelques résidus éclaboussèrent ses pieds tandis que l’ignoble matière progressait sur son front. L’odeur insoutenable avait envahi ses narines, submergeant toute autre sensation.
Les rires et les commentaires de l’assemblée lui semblaient si lointains qu’ils paraîssaient venir d’un autre monde.
« Parfait. » Dit Rebecca. « C’est un bon début. Il semblerait finalement qu’il y ait quelque espoir de vous enseigner suffisament d’obéissance pour réussir l’examen que Maître Brutus vous réserve. »