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Après le fléau 64
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 64.

Don courrait le long de l’enceinte du village, pourchassé par une douzaine de gardes en uniforme tenant en laisse une meute de chiens hurlants. Il tira sur le poignet de Diana pour l’aider à aller plus vite, mais elle trébucha et tomba. Une sirène retentit. Il regarda follement autour de lui, reprenant difficilement sa respiration. Les gardes n’étaient plus qu’à qu’à quelques centaines de mètres d’eux. En désespoir de cause, il aperçut un buisson épais le long du haut mur qui cloturait l’enceinte et se dissimula derrière son feuillage, entraînant Diana derrière lui. Hors de souffle, il plaça sa main devant sa bouche, l’obligeant à retenir sa respiration.
De lourdes foulées s’approchaient rapidement. Il entendit les cris des gardes et les aboiements de chiens qui passaient devant le buisson derrière lequel ils se blotissaient. Au moins, il put retirer doucement sa main pour lui permettre de s’oxygéner à nouveau.
Elle le regarda avec ses grands yeux verts emplis de terreur.
Don plaça aussitôt son index devant ses lèvres, lui intimant le silence.
La sirène cessa de hurler et les aboiements des chiens diminuèrent progressivement.
Tous deux étaient entièrement nus. Son espoir renaissant, il prit soudainement conscience de son corps en sueur contre le sien, son cœur battant fort sous ses seins dont la peur faisait pointer les tétons. Regardant sa femme droit dans les yeux, Don sourit et posa sensuellement ses lèvres sur les siennes. Elle lui rendit son baiser. Il sentit son corps bouillant se serrer encore plus étroitement contre le sien.
Miraculeusement, il n’était plus prisonnier de sa cage de chasteté. Il l’enlaça tendrement et sentit son érection s’écraser contre sa jambe, savourant la chaleur formidablement érogène de se corps avec lequel on lui interdisait le moindre contact depuis si longtemps.
La semence que BJ avait expulsé en elle pour la énième fois, poissait encore ses cuisses. Soudainement, ses yeux aussi froids que des émeraudes hypnotisèrent les siens. Elle se pencha sur lui et murmura dans son oreille :

« C’est tout ce que tu proposes, mon garçon ? »

Ses ongles s’incrustèrent dans ses fesses, creusant jusqu’au sang.

« Dresse-toi, tête de nœud ! »

Don se réveilla en sursaut et ouvrit les yeux.
Un pied venait de heurter ses fesses nues, assez fermement. Son pénis était désagréablement enfermé dans sa cage de chasteté, et son érection le pressait douloureusement contre les barreaux en acier.
Brutus Junior le surplombait.

« Espèce de rêveur paresseux de merde. » Maugréa-t-il.

À part sa robe de chambre en satin entièrement ouverte sur le devant, lui aussi était nu. Il grattait ses testicules poilus distraitement, faisant bouger son pénis sale de droite à gauche, le faisant gonfler progressivement.

« Désolé, Monsieur. » Répondit Don en se réveillant complètement, ses rêves oubliés.

BJ le regarda comme s’il contemplait un vers de terre, se demandant s’il devait l’écraser ou pas. Finalement, il se retourna vers le lit sur lequel Joelle et Diana était étendue, les regardant.

« Viens nous rejoindre sur le lit. » Rigola-t-il malicieusement.

perverpeper@perverpeper.com

 

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