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Après le fléau 63
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 63.

A 6h 30, le cycle journalier avait recommencé, innéxorable, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Les week-ends et les vacances n’existaient pas pour les esclaves. Même les jours de convalescence étaient parfois ingorés.
Le docteur Thorne n’appréciait pas les esclaves espérant être en totale convalescence si il n’étaient pas sévèrement malades ou accidentés.
Chaque journée débutait avec le même rituel. D’abord la pâtée du matin ; une mixture repoussante enrichie de vitamines et d’additifs. Ça contribuait à donner suffisament de forces pour s’acquiter de leurs obligations, mais avec un coût minimum pour la société Brute.
Puis, à 7h 00, il fallait se rendre aux salles de bain. Dans la plupart des bâtiments, les esclaves étaient parqués dans des sanitaires communes où ils s’activaient aussi précipitament et efficacement que possible, sous la surveillance des gardes.
Mais, pour Camilla et Ian, Rebecca avait choisi les toilettes spéciales, réservées aux ablutions des esclaves arrivants.

« S-s’il vous plaît… M-Mademoiselle Rebecca, e-est-ce… que je peux aller aux toilettes ? »

Rebecca afficha un sourire satisfait. Elle se souvenait de sa propre honte lorsqu’on l’avait obligée à se soulager en public. Comme ça lui semblait loing maintenant. Combien d’hommes et de femmes avait-elle vu ainsi, dépossédés de leur dignité de cette façon. C’était la méthode la plus efficace pour leur faire prendre conscience de leur nouvelle condition d’escalve.

« D’accord. » Répondit-elle froidement, après une longue méditation. « Mais… » Reprit-elle, « Seulement si tu montres à tous nos invités un minimum de contrôle… Es-tu prête à montrer ton self-contrôle à tout le monde, ‘Nichons zébrés’ ?

Camilla avala difficilement sa salive, restant bouche-bée devant cette requête inimaginable.

« Oui… Mademoiselle. J-je vais essayer, Mademoiselle. »

Rebecca dut étouffer un fou-rire.
Oui Mademoiselle, non Mademoiselle, comme vous voudrez Mademoiselle.
Elle tenta d’imaginer ce que Camilla aurait répondu quelques années auparavant si quelqu’un lui avait suggéré quelque chose ressemblant de près ou de loin à ça.

« Bien. » Répondit Rebecca, pensant à toutes ces choses, plus obscènes les unes que les autres, qu’elle avait enduré au cours des mois passés.

« Alors voyons un peu de quoi tu es capable. Je veux que tu ouvres ton anus et que tu nous montre quelques centimètres, et seulement quelques centimètres, de tes excréments répugnantes. Tu garderas le reste dans tes intestins pour le moment. Et pas d’autres bruits intempestifs, les esclaves ne pètent pas. Pas de pisse non plus, ça viendra plus tard. Et n’oublies pas de sourire. Tu regarderas chacun de tes admirateurs dans les yeux à tour de rôle et tu sourieras à tout le monde. »

Rebecca se gorgea de la réaction de sa victime, admirant comment le visage aristocratique virait au rouge pivoine. Lentement, elle se tourna vers les spectateurs pour s’assurer que le spectacle leur plaisait. Certains d’entre eux avait vingt ans de moins qu’elle et d’autres vingt de plus.
Satisfaite, elle s’avança et se pencha contre l’oreille de Camilla. « Sourit, j’ai dit ! Tu passes à la télé, chérie. Tous tes amis voudront voir que tu aimes ce que tu fais lorsqu’il recevront le DVD… »

Camilla trembla à nouveau et fut sur le point de perdre conscience.
Rebecca était certaine que ses mollets devaient la faire souffrir, ses doigts fatiguer et ses ses chevilles ne plus en pouvoir de tenir cette position inconfortable. De nouvelles difficultés qu’elle devait endurer.

« Allez ! » Ordonna-t-elle en fouettant brusquement sa cravache contre sa botte. « Nous n’allons pas y passer la journée. Et bordel, pour la dernière fois, fais nous un putain de sourire, j’ai dit. »

Avec un sourire forcé sur les lèvres et les yeux noyés de larmes, Camilla grogna et relâcha son sphincter.
Aussitôt, les spectateurs éclatèrent de rire.

perverpeper@perverpeper.com

 

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