Après le fléau 62 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 62.
Stella somnolait sur son lit, la tête enfouie dans les oreillers. Il était tôt, sept heures un quart et Brutus avait déjà quité le village pour se rendre à la ville, pour la vente aux enchères du jour. Les voilages étaient tirés et filtraient la luminosité du soleil à travers les volets. Ses cuisses étaient écartées et "Un" son esclave personnel, la léchait consciencieusement.
Habituellement, elle aimait le sentir frustré et en érection lorsqu’il lui donnait du plaisir, mais les gourdies fonctionnaient à la perfection. Il était aussi rabougri et ramolli qu’un petit gamin.
Heureusement pour elle, il était apparemment autant frustré qu’à l’ordinaire. La frustration lui garantissait qu’il faisait tout son possible pour lui donner du plaisir. La drogue maintenait la motivation en se contentant d’anihiler l’arme.
Elle restait immobile, regardant le plafond en tirant rêveusement sur ses cheveux pour le guider plus bas vers son entrefesses. Sa chatte sentait le poisson et le mal lavé. Elle ne s’était pas nettoyée depuis près de vingt-quatre heures bien qu’ayant fait l’amour avec Brutus la nuit dernière. Elle aimait les grands coups de langues, lents et appuyés tout au long du passage qui reliait son anus à son clitoris. Les années passant, Brutus ne lui pratiquait plus de cunningulus.
Non pas qu’elle s’en plaigne. Elle ne suçait pratiquement plus sa bite, elle non plus. Seulement quelques coups de langue rapide en souvenir du bon vieux temps. Leur étreintes étaient toujours aussi passionnées, excitantes même, mais tous deux considéraient que les préliminaires étaient l’affaire des esclaves.
Pensant à la journée qui l’attendait, elle laissa son esprit vagabonder. Les réjouissances qu’elle avait immaginé étaient aussi présentes dans son esprit qu’un buffet rafinné. L’idée de Brutus à propos de la femme du Juge l’amusait, mais Lara, enfermée dans sa chambre avec cette Gemma l’ennuyait, sans compter les plans de Brutus pour ce nouveau show télévisé qui lui dépalaisaient. Ses pensées revinrent donc naturellement à Jane.
Pourquoi cette fille l’obsedait-elle à ce point ? Elle n’en savait rien ; où s’en moquait. C’était comme Lara et Gemma. Quelque fois il arrivait qu’on trouve un esclave avec qui on avait envie d’aller plus loin. Et la pauve Jane était la nouvelle lubie de Stella.
La langue de "Un" continuait délicieusement son travail. Comme d’habitude, son esclave personnel s’était levé à 6h 30 pour aller manger avec les autres esclaves avant de revenir rapidement se préparer dans sa salle de bain, brosser ses dents, se faire un gargarisme, et se raser, juste au cas où elle aurait eu besoin de lui pour son plaisir. Elle ne supportait pas les barbes naissantes contre sa peau douce. Elle soupira et s’abandonna à ses sensations. Sa respiration s’acceléra et elle se cabra contre la langue experte.
« Hhhmmmmmm… »
Son dos s’arqua et ses jambes se raidirent lorsqu’elle atteignit un orgasme d’une puissance dévastatrice.
"Un" continua à la lécher et à l’embrasser religieusement, sachant exactement ce qu’elle attendait de lui.
Pourtant, il lui arrivait de penser qu’il était temps de le remplacer par un nouveau modèle. Elle aimait l’allure du jeune Don, le joli mari de Diana et avait décidé qu’elle s’accorderait une partie avec "Un" et lui, même si ce n’était que pour conserver "Un" à ses pieds. Ça pourrait être amusant de les regarder pratiquer un soixante-neuf pour la distraire. Mais elle doutait pouvoir se séparer complètement de "Un" pour l’instant.
Il se retira délicatement, faisant courir sa langue sur l’intérieur de ses cuisses, léchant ses jambes, suçant ses doigts de pieds avant de le regarder avec amour et dévotion.
Elle ne le remerciait jamais et ne lui reconnaissait même pas un travail décent. Ce n’était pas comme si elle avait dirigé un employé qu’il fallait veiller à ménager afin de le motiver, lui adressant parfois des encouragements. Un esclave apprenait à se motiver tout seul si il ne voulait pas en supporter les conséquences. Éviter les critiques et les punitions était déjà une récompense suffisante. Stella préférait insister sur les fautes et trouvait que le dénigrement était une arme plus efficace que les louanges ou les remerciements.
Elle le congédia froidement.
« Va préparer mon bain. »