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Après le fléau 56
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 56.

Ian grimaça à nouveau et souffla courageusement, tandis que Rebecca arrachait une douzaine de ses poils pubiques à la fois. Elle s’était servi de la pince à épiler comme on le ferait d’une fourchette pour se servir des spaghettis, en saisissant d’abord un, puis enroulant les autres autour de sa pince pour n’en laisser échapper aucun. Elle avait commencé sur ses testicules, les dénudant, poil par poil, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus un seul.
C’était la partie la plus facile et elle avait vite pris conscience qu’il lui faudrait beaucoup de temps pour l’épiler entièrement de cette façon. Elle s’était donc inspirée d’une technique qu’elle avait vu les gardes pratiquer sur les nouveaux arrivants.
Une fois qu’elle avait pris le rythme, il était plus efficace d’enlever les poils par petites groupes toutes les une ou deux secondes, les arrachant d’un coup sec avant de passer les doigts sur son ustensile pour les enlever aussitôt après.
À leurs pieds, le sol ressemblait à celui d’un salon de coiffure ou s’accumulaient les restes de pilosité de l’infortunné Ian.
À ce stade de l’opération, le pubis de Ian ressemblait à un champ de mines constellé de plaques rouges imberbes, parsemés de petits points sanguinolants. Par endroit, quelques touffes éparses subistaient, ainsi qu’une petite région encore hirsute, à l’opposé de l’endroit où se tenait Rebecca et dont elle ne s’était pas occupée.
Quelques minutes plus tard, il ne subsistait que quelques poils disséminés.
Lassée, elle se servit d’un vieux rasoir coupe chou pour finir le boulot, le promenant sur la chair tuméfiée pour le rendre aussi glabre que le proverbial derrière du bébé. Puis elle l’aspergea d’un mélange de jus de citron, d’ognon et d’eau de cologne pour nettoyer et purifier la peau cramoisie.
La cuisson le fit hurler et des larmes lui échappèrent. Ses cuisses se mirent à trembler convulsivement autant que ses liens le lui permettaient, tandis qu’il se mettait à pleurer comme un gamin.
Rebecca recula de quelques pas pour admirer son travail, se repaissant des yeux larmoyants de Ian. S’assurant que Camilla n’en perdait pas une miette, elle fit courir son doigt le long du pénis recroquevillé, avant de lui adresser un clin d’œil et de s’accroupir et d’enfourner le membre rabougri entre ses douces lèvres expertes. Sans cesser de regarder Camilla, elle se servit de sa langue et sourit de satisfaction en constatant que son ex-juge de mari réagissait, millimètre par millimètre à ses manigances. Lentement mais surement, la bite sans défense, se raidit dans sa bouche, jusqu’à se développer sur toute sa longueur.
Fière d’elle, elle la laissa s’échapper de sa bouche, affichant son succès sous les yeux de Camilla, tandis qu’elle essuyait un petit filet de salive sur ses lèvres.
Le sexe de Ian était de belle taille, pas aussi gros que certains de ceux qu’elle avait manipulé au cours des derniers mois, mais plutôt épais et probablement d’une longueur d’environ 15 centimètres. De plus, dépourvu de ses poils, il paraîssait encore plus gros.
Elle fit glisser son doigt le long de la verge, s’amusant de la voir s’étirer encore plus, jusqu’à repousser la petite peau plissée du prépuce, découvrant le gland violet et sensible.

« Mmmm… » Murmura-t-elle sur un ton d’approbation. « Voilà une belle grosse cible. »

Puis elle alla jusqu’à l’armoire et y sélectionna un longue règle en plastique d’une cinquantaine de centimètres, qu’elle fit siffler dans l’air avec un sourire maléfique en revenant vers l’infortuné Ian.

« On pourrait commencer avec vingt, qu’en penses-tu ? » Demanda-t-elle.

Et… Swoouuuch ! Clac. L’instrument attérit sur le milieu du phallus, le faisant danser délicieusement. Une grosse marque rouge apparut en plein milieu de la virilité.

Ian grogna et marmonna une onomatopée ressemblant à un « Non. », en secouant la tête.

Swouuuch ! Clac.

Cette fois-ci, la règle frappa le gland sans protection.

Ian hurla, remuant la tête de droite à gauche, tentant desespérément de soustraire ses parties génitales à la douleur cuisante. En vain.
Rebecca appuya son index sur ses lèvres, lui intimant de rester silencieux. Elle prit un pas de recul et arma son bras encore plus haut.

Swoooooooouuuush ! Clac.

Cette fois, l’ustensile atterit contre les testicules.
Il ouvrit la bouche sans proférer un son, aspirant tant bien que mal l’air que sa gorge contractée voulait bien laisser passer. Puis il se remit à sangloter comme un enfant.

« Oups. » Rigola Rebecca. « Désolée. Je n’ai pas encore l’habitude de cet engin. Je vais faire mieux. Promis. »

Swwwwwoooouuussshhh ! Tchac.
Swwwwwhhhhooouuuuussshhh ! Crac.
Swwwwoooooouuuuusssshhhhhh ! Clac.
Swwwwoooooooouuuuuuusssshhhhhh ! Claac.
Swwwwwoooooooooouuuuuuuussssshhhhhhh ! Tchaac.
Swwwwwoooooooooouuuuuuuuuussssshhhhhhh ! Paaaf.
Swwwwwooooooooooouuuuuuuuuusssssshhhhhhh ! Craaac.

Au dixième coup, elle s’interrompit pour inspecter les dégats. Bien que toujours en érection, le sexe de Ian s’était quelque peu ramolli. Au toucher, sa peau était brulante. Elle fit courir son ongle sur le gland tuméfié, le faisant sursauter. Le pauvre homme grognait et toussait sans discontinuer, tirant sur ses liens avec l’énergie du désespoir.

« J-je vous… Je vous en sup-supplie, Reb-Rebecca… P-pitié… S’il v-vous plaît… » Haleta-t-il.

« Maintenant, il n’y a plus de Rebecca. C’est Maîtresse dorénavant … »

Elle sentit un frisson bonheur parcourir délicieusement sa colonne vertébrale. Et, soudain, elle réalisa avec une certitude totale : À l’évidence, elle avait ça dans la peau…

perverpeper@perverpeper.com

 

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