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Après le fléau 55
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 55.

BJ rota sur sa bière. Il regardait Diana et Don s’ébattre dans la position classique du "69". Elle était couchée sur lui et léchait toute la longueur du sexe de son mari, tandis qu’il lapait son con par derrière, à travers l’ouverture de sa petite culotte.
L’érection de BJ saillait contre son ventre. Après avoir exigé qu’elle le suce pendant quelques minutes, il l’avait repoussée et ordonné au couple de s’exhiber devant lui. Il se plaisait à s’agacer quelques temps, motivé par la seule idée d’éprouver provisoirement ce que ressentaient les esclaves frustrés par l’interdiction qui leur était imposée de prendre du plaisir sans y être autorisés.

« Et ne t’avise pas de le faire jouir. » Lança-t-il en cognant légèrement sur la nuque de Diana.

Il se leva et les contourna pour aller admirer la courbe de ses reins et son dos impeccable, avant de s’agenouiller au bord du lit et glisser son érection sous le "V" que formait sa lingerie sexy.

« Introduis ma bite dans la chatte de ta femme. » Ordonna-t-il.

Il sentit des doigts fouiller d’abord, puis faire glisser son érection à l’intérieur du sexe soyeux et chaud.
Elle haleta et frissonna légèrement.

« Continue à la lécher. » Ordonna-t-il en se cambrant. « Maintenant les amis, voilà ce que j’appelle une partie à trois ! »
Pendant ce temps, dans le studio 5, les caméras tournaient. Le script était l’œuvre de Brutus senior et il avait délégué la réalisation et la production à l’un de ses deux metteurs en scène professionnels. Le film s’appelait "Le gang des dentistes violeurs III". C’était l’histoire d’un trio de dentistes qui abusaient de leurs patientes. Les deux premiers épisodes de la série s’étaient bien vendus. Brutus foisonnait toujours de bonnes idées.
La patiente était immobilisé sur une chaise de dentiste qui était inclinée en arrière. Son cou, ses biceps, ses avant-bras et ses chevilles étaient solidement fixés à la structure, lui interdisant tout geste de défense.
Les trois dentistes portaient des blouses blanches et des masques de chirurgie, mais ils étaient nus en dessous de la taille. Leurs blouses étaient ouvertes et leurs masques blancs étaient de travers. L’un d’entre eux se tenait entre les cuisses de la femme et la pilonnait.
Elle était vêtue de façon tout à fait ordinaire : Un pull-over fin et moulant, une petite jupe et des petits talons. Sa jupe avait été remonté sur sa taille et son pull repoussé au-cessus de sa poitrine, révelant un soutien-gorge en dentelle.
Pendant que l’un des dentistes la baisait, les deux autres se tenaient autour de sa tête, armés d’une roulette, avec un plateau d’ustensiles chirurgicaux à portée de main. L’un la tenait fermement par les oreilles afin d’immobiliser sa tête, tandis que l’autre s’ataquait à ses gencives avec la roulette. La bouche de la pauvre jeune femme était maintenue grande ouverte par un anneau en caoutchouc fixé sur sa nuque par une courroie.
"L’actrice" s’appelait Susannah et elle endurait une autre petite partie de sa punition.
Derrière les caméras, le personnel technique comprenant le directeur, deux caméramen, un technicien du son et une maquilleuse. Certains d’entre eux assistaient à l’action sans en perdre une miette, tandis que les autres regardaient les écrans, pointaient certains détails du doigt ou discutaient et en riaient en sirotant un café.
Bien entendu, la majorité des clients qui achèteraient le DVD s’imagineraient que cette scène était truquée. Ils penseraient que les gros plans de la roulette étaient effectués par une doublure sous anesthésiques.
Cela dit, même dans ce cas, ils se diraient que la scène était de meilleure qualité que ce qu’ils avaient l’habitude de visualiser habituellement dans ce genre de films.
La détresse de "l’actrice" était très convaincante, sans défense dans son fauteuil de dentiste, suppliant d’un regard frénétique les deux visages penchés sur sa bouche.
À la voir, on pouvait facilement se convaincre qu’il ne s’agissait pas d’une actrice porno et qu’elle endurait visiblement mille morts entre les mains de ces sadiques qui échangeaient leurs places respectives à tour de rôle, tandis que la roulette creusait dans ses molaires sans le moindre analgésique pour atténuer son supplice.

perverpeper@perverpeper.com

 

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