Après le fléau 54 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 54.
Le dongeon était l’une des nombreuses petites "salles d’interrogation" qui se trouvaient dans les sous-sols de la maison principale de Brutus et Stella. Il était constitué de gros murs en briques, avec une porte en fer et un sol en ciment. La pièce était équipée de plusieurs rangées de spots lumineux, de caméras de surveillance, d’une grosse croix en bois, d’un banc dont la surface en cuir etait pourvue de plusieurs bracelets en cuir, de nombreux crochets, poulies, treuils et cordes reliés aux murs, au sol et au plafond.
Dans un coin, une grande armoire contenait toutes sortes d’instruments de torture.
Les deux gardes sortirent du dongeon en souriant et en blaguant. Tous deux l’avaient déjà baisée dans toutes les positions possibles et ils trouvaient amusant de la voir de l’autre côté du miroir. Ils lui donnèrent quelques conseils sur la façon dont on pouvait torturer les organes génitaux d’un homme et elle leur promit de s’adjoindre leur aide pour dresser Camilla si, toutefois, Brutus l’y autorisait.
Ian était écartelé sur la croix, entièrement nu. Chacun de ses ligaments était tendu à l’extrême. Ses pieds et ses poignets étaient étroitement enchaînés aux extrémités de l’appreil. Des courroies en cuir passaient autour de son cou, de ses bras, de sa taille, et de ses cuisses, le mettant dans l’incapacité de faire le moindre mouvement.
Pendant ce temps, Camilla était suspendue au plafond, par les poignets, ne touchant le sol que du bout de ses doigts de pieds. Sa position lui permettait de voir son mari intégralement.
Rebecca mangeait une des barres de céréales dont les dresseurs se nourrissaient pour avoir de l’énergie. Elle la picorait délicatement, prenant le temps de se délecter de cette saveur dont elle avait presque oublié le goût.
Sans se presser, elle sourit à Camilla, et se dirigea vers un placard dans lequel elle préleva un lot de pinces à épiler en acier.