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Après le fléau 47
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 47.

Rebecca fixa froidement Camilla et son mari.

« Je ne me répèterai pas. Vous avez compris que je n’ai pas de choix ? »

Camilla fit oui de la tête. « Certainement… »

Rebecca la coupa brusquement.

« Certainement rien du tout ! Maintenant, approche-toi et présente-moi ta poitrine. Et toi, Ian, » Dit-elle au juge, « Tu feras rigoureusement tout ce que je t’ordonnerai, compris ? »

Tous deux la regardèrent avec un air obstiné et rebelle.

« Nous n’avons que vingt-quatre heures et j’entends bien vous dresser de la manière qui m’a été imposée. Si j’ai besoin d’appeler les gardes à l’aide, vous en payerez les conséquences. Est-ce que je me fais bien comprendre, comme dirais Maître Brutus ? »

Rebecca jeta un œil sur l’objectif d’une des caméras qui embrassaient la pièce dans laquelle ils se trouvaient, consciente que chacun de leur geste, chacune de leur parole était retransmise.

« Oui. » Répondit Camilla, en poussant un long soupir irrité.

« Oui. » Répéta Ian d’une petite voix.

Rebecca souffla.

« Bien. »

Il y avait longtemps que l’on ne l’avait pas embrassée à cet endroit. Elle ressentit un étrange frisson de lubricité parcourir ses reins. Elle ne pouvait pas prendre le risque de transmettre sa micose à Camilla, mais elle n’avait pas besoin de prendre de précautions avec son juge de mari.

« Ian, agenouilles-toi entre mes cuisses. »

Une nouvelle fois, les deux époux se contentèrent de la dévisager avec stupeur.
Rebecca soupira. « Bon, ça commence à devenir agaçant. La prochaine fois que l’un de vous deux hésite ou désobéit, j’appelle les gardes. C’est le dernier avertissement, pigé ? »

Cette fois, un voile de capitulation passa dans leurs yeux.
Lentement, Ian s’agenouilla et se prosterna entre ses jambes.
Une excitation grandissante s’empara de Rebecca qui ne quittait pas Camilla des yeux.

« Tu y es, Ian ? C’est toujours mieux que la bite que tu vas bientôt sucer non ? »

Elle sentit son souffle entre ses cuisses et écarta un peu les jambes.

« Un jour, tu comprendras. » Déclara-t-elle à Camilla. « Les esclaves n’ont pas le droit d’avoir de plaisir, même les femmes. Ça fait longtemps. »

Le visage de Camilla s’était durci dans une expression fière et rétive.

« Ne t’inquiètes pas pour lui. » Rajouta Rebecca. « Ton tour viendra bientôt. Je suppose que tu n’as jamais reçu de coups de cane à cet endroit. »

Elle se pencha en avant et soupesa l’un de ses seins du bout des doigts.
Visiblement, Camilla considéra que cette question absurde ne nécessitait pas de réponse.

« Et bien moi, ça m’est déjà arrivé. » Continua-t-elle. « Et je peux t’assurer que ça fait un mal de chien. C’est pire que tout ce que tu peux imaginer. Et ne va pas t’imaginer que je vais retenir mes coups sous prétexte que c’est ta première fois. Cambre-toi et ne t’avise pas de bouger.

Une des caméras fixées au plafond pivota doucement en vrombrissant. Quelqu’un les regardait.
Rebecca sélectionna une cane en rotin léger parmi celles qui étaient à sa disposition dans un porte-parapluie. Ian ne s’interrompit pas, continuant à laper son sexe qui se lubrifiait de plus en plus.

« Je ne te les ferai pas compter pour cette fois, mais je veux que tu me regarde pendant toute la durée de ta punition. »

Et elle abatit l’instrument sur la poitrine offerte en retenant quelque peu son bras. Le coup produisit un son aigu faisant penser au craquement d’une brindille que l’on briserait. La poitrine de Camilla se déforma et ondula, tandis que la femme poussait un cri de douleur et se projetait avec ses avant bras.

Faisant une grimace, Rebecca remua la tête négativement.

« Celui-ci ne compte pas. Je t’ai demandé de me regarder et de ne pas bouger. Croise tes bras dans ton dos. » De la main gauche, elle stimula les cheveux gris du juge, l’enjoignant à enfoncer sa langue plus profondément. « Et toi, concentre-toi bien sur ton job. Ce qui se passe la-haut ne te concerne pas. »

Elle abatit la cane à nouveau, plus fort cette fois. Le bruit en fut plus conséquent, et la réaction des seins martyrisés plus spectaculaire.
Ayant compris où se situait son intérêt, Camilla ne réagit pas, se contentant de fixer sa tortionnaire dans les yeux avec une expression de arrogante.

« C’est mieux comme ça. Maintenant, tu sais ce que j’attends de toi. Ça fait "Un". »

Elle n’arrivait pas à croire en sa chance. Sept mois de privations, de rancœur contenues. Et maintenant, elle se trouvait de l’autre côté du miroir. »
Elle arma à nouveau son bras et abatit la cane de toutes ses forces.

perverpeper@perverpeper.com

 

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