Après le fléau 46 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 46.
Lorsque Brutus arriva, cinq esclaves était déjà enfermées dans les cages individuelles qui étaient fixées sur la remorque. La sixième était vide et "Bidet" était prosterné contre les bottes pousiereuses de Rhino, tandis que sa femme en pleurs, "Cuvette de chiottes" sanglotait entre quatre gardes costauds.
Un peu plus loin, en haut de l’escalier en pierres, Stella assistait à la scène en fouettant nerveusement ses bottes à l’aide de sa cravache.
« J-je… Je vous en prie. S’il vous… Plaît… Monsieur… » Suppliait "Bidet". « Emmenez-moi aussi. »
Rhino baissa un regard impavide sur lui.
« Désolé mon gars, mais je n’ai que six cages et tout mon budget est passé dans les femelles. Tes propriétaires sont de redoutables négociateurs. »
« M-mais… C’est m-ma femme… » Supplia-t-il « J-je vous en prie… »
Ulcérée, Stella avait descendu les marches. Elle abattit sa cravache sur son dos et fit signe aux gardes de l’éloigner.
A ce moment, Rhino leva une main.
« Attendez. » Il cligna de l’œil à Stella et Brutus. « J’ai un marché à vous proposer. » Il regarda Brutus. « Je vous l’achète 1,000 à une condition… »
Brutus échangea un regard surpris avec Stella.
« À quelle condition ? »
« À Condition que sa femme soit capable de me tailler une pipe sans les mains, qu’elle me fasse jouir en cinq minutes maximum et qu’elle avale tout sans en perdre une goutte. »
Brutus eut un sourire méchant. Il savait que Rhino venait de prendre une gellule de POM. Ça permettrait de voir si ce n’était pas de la camelotte.
« Cinq minutes, pas une seconde de plus, » Déclara Stella.
Rhino écarta "Bidet" d’un coup de bottes et attendit, les mains sur les hanches.
« C’est parti mon kiki. » Lança-t-il avec un grand sourire.
"Cuvette de chiottes" se rua en avant et s’agenouilla à ses bottes. Elle arracha presque sa braguette et abaissa rapidement son pantalon sur ses pieds, dénudant le membre écoeurant aux veines saillantes qui l’avait sodomisée quelques heures auparavant.
« Mains dans le dos. » Se contenta d’ordonner Rhino en s’asseillant tranquilement sur le banc qui se trouvait à côté de lui. « Toi, » Ordonna-t-il à "Bidet" « Approche-toi bien et regarde comment ta femme s’y prend pour te décrocher un ticket de voyage sur notre bateau. »
Brutus et Stella s’approchèrent eux aussi.
Les lèvres de "Cuvette de chiotte" étaient complètement distendues autour du gland disproportionné. Elle agitait consicencieusement sa tête de haut en bas et les muscles de son cou saillaient. Ses narines étaient dilatées et sa bouche laissait échapper des bruits de succion.
Rhino décomptait chaque minute qui s’égrenait sur sa montre, se délectant de l’expression piteuse et désespérée de "Bidet".
Soudain, alors qu’il restait encore une bonne minute, Rhino se mit à grogner sous l’action du plaisir. Il se mit à agiter son bassin d’avant en arrière, s’enfonçant au plus profond de la gorge de Lavinia et serra les dents, tandis que ses boules explosaient.
À cet instant, les yeux de la jeune femme s’écarquillèrent sous l’effet de la surprise. Ses joues se gonflèrent et sa gorge se convulsa. Une expression de panique s’empara de son visage. Telle de la morve, une bordée de sperme sortit par ses narines et elle manqua de s’etouffer. Sous l’effet d’un haut le cœur, ses lèvres s’entrouvrirent, et une marée de semence blanche et gluante s’en échappa.
Désespérément, elle tenta de lutter, mais, rapidement, elle dut renoncer, submergée par la quantité pharamineuse de liquide séminale qui s’échappait du sexe de Rhino. Le souffle coupé et le visage maculé, elle se mit à tousser et recracha l’excès de sperme sur le sol. Sans le savoir, elle venait de tenter d’avaler un demi-litre de foutre qui giclait avec la force d’une lance à incendie.
Le beau visage de "Bidet" se décomposa et il s’écroula sur le sol à côté de sa femme.
Rhino affichait un visage radieux de plaisir post-orgasmique. Il marmonna. « Ne t’inquiètes pas, poupée. Quelques semaines de travail et tu sauras tout avaler sans rien perdre sans aucun problème. Par contre, je suis désolé mais tu viens de louper le ticket de bateau pour ton mari.
Deux gardes s’emparèrent du pauvre "Bidet" et l’entraînèrent.
« Vends-le à la société minière. » Déclara Stella d’une voix ferme. « Visiblement, il ne se plaît pas chez nous. »
Brutus tendit les contrats signés à Rhino et glissa un dernier regard à son ex-favorite. Pourtant, elle n’était pas très engageante, couverte de sperme, de sueur, de larmes et de poussière.
« Désolé pour le tatouage. » Lança-t-il tandis que les deux autres gardes la remettaient sur pied, révelant le "J’aime Brutus" tatoué en forme de cœur sur son pubis.
Rhino éclatta de rire. « Bah ! Ça me rappellera le bon temps que nous avons passé ensemble. Je serai de retour d’ici trois ou six mois pour d’autres achats, OK ? »
« C’est un plaisir de faire affaire avec toi. » Répondit Brutus.
Pendant que "Cuvette de chiottes" était enfermée dans sa cage, Stella, Rhino et Brutus se serrèrent la main.
Quelques instants plus tard, la remorque s’ébranlait, emmenant vers une nouvelle vie l’esclave qui avait autrefois été un épouse heureuse nommée Lavinia et cinq autres esclaves.