Après le fléau 44

APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

Adaptation Française : Perverpeper.

Chapitre 44.

« J’ai ce qu’il vous faut. » Le directeur du bordel sourit à Brutus Junior et pressa plusieurs touches sur son panneau de commande. Deux photographies s’affichèrent sur un des écrans.

« Votre belle mère les a acheté il y a trois semaines. »

BJ poussa un petit sifflement d’admiration. Cette salope de Stella n’en finissait pas de le surprendre. Les photos montraient l’un des couples les plus séduisants qu’il ait jamais vu. La femme ne lui était pas inconnue. Probablement l’une des personnalités d’un réality-show quelconque datant de quelques années. Il pensa à une de ces célébrités dont la gloire ne durait que le temps de l’émission dans laquelle elles apparaissaient et il ne se donna même pas la peine de demander ce qui avait poussé Stella à les acheter.

« Ils sont réservés à "la famille". Brutus et Stella sont les seuls à les avoir essayés. Hier, je les ai proposé à Lara, mais elle est trop occupée avec sa nouvelle esclave.

BJ fit défiler la fenêtre virtuelle pour voir leur corps.

« Et lui ? »

Le directeur sourit. « Aucun problème. Don fera tout ce que vous exigerez de lui. Il est aussi docile qu’un agneau. N’ayez acune crainte, on sent bien qu’il déteste ça, mais il est exceptionnellement réceptif aux punitions et aux menaces. Essayez, poussez-le à bout et je serai vraiment surpris s’il vous pose le moindre problème.

BJ acquiesca de la tête. « Ça me semble parfaît. Je les prends. Et aussi une ou deux bières et un bon déjeuner. »

Le directeur directeur pressa un nouveau bouton. « C’est fait. Voulez-vous prendre une douche avant ? Un sauna ? Ou un bain froid ?

BJ renifla sa chemise au niveau de ses aisselles. « Pourquoi, je pue ? »

Tous deux éclatèrent de rire. Son manque d’hygiène était légendaire. La rançon de sa jeunesse. Bien entendu, ses domestiques se chargeaient de laver ses sous-vêtements afin qu’il puisse en changer chaque fois qu’il le souhaitait. Joelle avait bien essayé de le convaincre de se laver, de se raser et de changer de vêtements plus souvent, mais ça n’avait fait que renforcer sa fainéantise.
En réalité, BJ adorait que l’odeur de sueur et de "mal lavé" de son entrejambe, conjuguée avec son air d’allumé de l’informatique et le duvet et les boutons d’acnée qui envahissaient son visage, le rende moins séduisant avec les femmes.

« Non, j’y vais directement. » Conclut-il.

perverpeper@perverpeper.com