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Après le fléau 43
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 43.

Liz avait enduré 38 coups vicieux. Mais, maintenant, elle ne pouvait pas en supporter plus et sautillait sur la scène, frottant ses fesses, refusant de se pencher à nouveau, le visage noyé de larmes.
Les spectateurs huaient, rigolaient et commençaient à scander leur impatience.
Rapidement, les assistants attachèrent Liz sur le dos, couchée sur un petit banc, les jambes rabattues au-dessus de la tête. Ses chevilles étaient étroitement liées à deux étriers de chaque côté. Son postérieur strié de boursouflures rouges, dont certaines viraient au violet, était offert sans défense pour la seconde partie de la flagellation.
Le public reprit en chœur les nombres qui diminuaient sur l’écran, repassant de 38 à 28, déduction faite des 10 coups qu’elle avait dilapidés en se rebellant. Le nombre initial était passé de soixante à soixante-dix.
Un assistant introduisit un large anneau en cuir dans la bouche suppliante de Liz et en boucla la sangle derrière ses cheveux bruns décoiffés.
Puis, l’une de ses anciennes amies, qui avaient été brusquement interrompue pendant les trois coups que lui permettait son tour, s’avança en ricannant et abattit vicieusement la canne sur les globes offerts.
Beth se plaça derrière Bébert le Pervers, et le guiga lentement vers le visage de Liz. L’homme baissa son pantalon en velours et exhiba son sexe en erection à travers le tissu humide de ses sous-vêtements maculés.
Beth attrapa fermement les cheveux de sa victime et les tira brutalement en arrière pour la maintenir immobile, tandis que l’ex-professeur se mettait immediatement à se masturber, quelques centimètres au-desssus du visage sans défense.
Les coups de canne continuèrent pendant qu’il faisait aller et venir sa main autour de sa bite turgescente. Tous les participants se regroupèrent en arc de cercle à leurs côtés afin de dégager le champ pour les caméras et les spectateurs qui n’en perdaient pas une miette.
Un rugissement d’encouragement gronda dans la salle lorsque Gilbert se mit à trembler et qu’un premier jet de sperme gicla directement à l’intérieur de l’anneau en caoutchouc qui maintenait la bouche de Liz grande ouverte, aussitôt suivi de plusieurs autres qui maculèrent son visage.
Ce fut le début d’un "Chacun pour soi". Tous les hommes prirent leur tour et se mirent à se masturber, seuls ou aidés par les femmes.
Vicieusement, Beth pinçait le nez de Liz pour l’obliger à avaler la semence qui s’accumulait au fond de sa bouche.
Enfin, un homme pointa son penis à l’entrée de la bouche de la pauvre victime et urina longuement.
Il n’y eut aucun problème pour trouver des volontaires pour distribuer les dix derniers coups et le publique scanda les trois derniers.

« Cinquante-huit. »

« Cinquante-neuf. »

« Soixante ! »

Deux assistants roulèrent un chariot recouvert d’un tissu en soie violette et le présentèrent à Beth qui, d’un geste théatral, ôta la soirie. Son mouvement révéla un énorme godemiché rouge.
C’était un monstre.
Trente centimètres de long prolongés par une poignée en faisant dix autres. Il atteignait largement les sept centimètres de diamètre à son extrémité, se resserrant pour n’en plus faire que cinq à sa base. Enfin, il avait la forme d’un poing.
Beht le brandit devant les caméras pour montrer les petites excroissantes pointues qui hérissaient sa surface et les petites boules métalliques qui constituaient l’intérieur de l’olisbos et qu’on apercevait à travers le plastique transparent. Elle actionna le bouton et montra brièvement le mouvement tourbillonnant des petites billes qui agissait sur le corps du godemiché, le faisant gonfler aléatoirement. Basiquement, l’engin ressemblait aux sex-toys à billes classiques mais dont la taille et la forme n’étaient pas conçues pour le plaisir.
Les spectateurs devinrent hystériques lorsque Beth trempa le monstre dans un pot rempli d’une substance gélatineuse. Tous les habitués de l’émission savaient déjà qu’il s’agissait d’un lubrifiant transparent mixé de citron, de poivre et de piments.
Liz s’accroupit entre les cuisses offertes de sa victime et tapota son postérieur aussi rouge qu’une tomate, strié de boursouflures violettes. Les canes et les cravaches étaient suffisament légères et flexibles pour occasionner une douleur mordante sans causer de mutilations. Il y avait bien de petites écorchures qui laissaient perler quelques gouttes de sang, mais rien qui ne serait guéri au bout de quelques semaines.
Ce qui n’était pas le cas de l’honneur de Liz.
Un assistant actionna un bouton et les deux étriers s’écartèrent l’un de l’autre, écartelant les cuisses de la victime.
Beth invita une ex-collègue et un ex-petit ami de Liz à l’assister en écartant ses lèvres intimes, offrant les trésors de la jeune femme à la vue de tout le monde. C’était formidable de voir leur ennemie tenter de résister. Elle se tordait dans ses liens, gargouillait à travers l’anneau en caoutchouc qui la bâillonnait et tentait de soustraire son postérieur paralysé par les courroies.
Au même moment, une femme qui se tenait debout, de part et d’autre du visage de Liz, urina. Elle avait, par décence, conservé sa mini-jupe, mais ne portait pas de sous-vêtements.
Durant vingt bonnes secondes, elle aspergea le visage de Liz, visant vicieusement l’ouverture imposée par l’anneau en caoutchouc, faisant tousser cette dernière à en perdre haleine.
Pendant ce temps, Beth avait placé la pointe du godemiché à l’entrée du sexe de la jeune femme. Prenant tout son temps, centimètre par centimètre, riant avec les spectateurs et les invités présents sur la scène, elle poussa sur le monstre, encouragée par les « Pousse… Ho-hisse… Pousse…. » du public.
Au bout d’un moment, la résistance des muscles de Liz fut telle que toute nouvelle progression sembla impossible, mais la force de Beth et le lubrifiant firent leur travail. Millimètre par millimètre, l’énorme gadget s’enfonça à l’intérieur du corps de la pauvre Liz.
Lorsque le cap des dix-huit centimètres fut franchi, il y eut une nouvelle résistance.

« Visiblement, ses organes internes sont plus étroits à ce niveau. » Lança Beth en se penchant sur le micro du présentateur.

Elle fit une pause et essuya la sueur qui perlait sur son propre front. Les autres participants tirèrent sur les chevilles de Liz, les écartelant encore plus.

« Hmmmm… HMMMM… » Protesta la pauvre victime à travers son bâillon.

Beth reprit ses efforts.

« Vingt ! Vingt-trois ! » Scandait la foule.

Elle actionna le bouton de mise en marche et le pubis de Liz sembla prendre vie. Le moteur de l’engin avait commencé ses ondulations, serpentant vicieusement. Ses lèvres sexuelles se tordaient, allant et venant comme une pâte dans un mixer.
Un jet de sperme venu de nulle part atterit sur sa poitrine.

« Vingt-cinq ! Vingt-huit ! » Et enfin, « Trente centimètres ! »

Les spectateurs acclamaient les tortionnaires.
Beth regarda fixement Liz au fond des yeux, agitant l’instrument de torture dans tous les sens, tentant de l’enfoncer le plus profondément possible.
Il était temps de passer au bouquet final.

perverpeper@perverpeper.com

 

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