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Après le fléau 36
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 36.

« Il y a quelque chose qui m’intrigue, » Déclara Brutus, « Qu’est-ce que tu aimes tant que ça chez elle ? »

Les visages des deux époux rougirent. Le mari bredouilla.

« Heu… Heu… J-Je… Tout… Monsieur. »

Brutus continuait à deshabiller des yeux le corps presque nu de la jeune femme. Le couple venait d’arriver. C’était l’autre achat de Stella, le jour précédant. Après avoir acheté Jim et Jane, elle avait décidé de les "monter" immédiatement et de rentrer avec eux, s’arrangeant avec commissaire priseur pour qu’on lui livre les deux autres esclaves dans la soirée.
Stella les n’avait dépensé que 3,250 Credits pour ce couple. Le prix plancher fixé par l’état lorsque personne n’enchérissait. L’homme était un ancien juge de 44 ans et, Camilla, sa femme, une ancienne avocate de 40 ans. Personne n’avait plus besoin de ces vestiges de l’ancien système. Leur revenus s’étaient épuisés et ils avaient fini par vendre toutes leurs possessions, incapables d’exploiter leurs compétences.
Pourtant, pour être franc, se dit Brutus, la salope était sacrément séduisante. Elle avait exactement le même âge que Stella, avec des cheveux blonds courts et soignés, de grands yeux bleus, un visage aux traits altiers avec seulement quelques rides autour des yeux.
Elle représentait idéalement le genre de femme qu’on avait l’habitude de voir, avant le fléau, dans les magasines "people", dispensant la charité et se produisant dans les galas. Il lui aurait donné un bon 8, peut-être même un petit 9, mais les standards de la société étaient devenus incroyablement élevés. Ils n’achetaient pas en dessous de 9 ou 10. Il s’imagina que Stella n’avait pu résister à l’opportunité d’acquérir ces pilliers de l’ancien régime pour quelques nuits. D’autant plus que, d’après lui, cette chienne avait encore quelques ressources à dévoiler.

« Enlève-lui son chemisier. » Déclara-t-il, nonchalament.

Les lèvres du juge se mirent à trembler. Il fixait Brutus avec un air abasourdi. Il paraissait jeune pour quelqu’un de son âge et de son rang. Des cheveux grisonnants et bien coiffés, le corps bien proportionné et la mâchoire ferme. Il devait être impressionnant lorsqu’il siégeait au tribunal.
Brutus se pencha vers lui et le gifla. Fort.
L’homme eut un geste de recul, frottant sa joue rougie.

« Ca fera cinq. » Annonça Brutus.

Confus et honteux, l’homme frotta ses doigts de part et d’autre de sa mâchoire.

« Dix. » Déclara Brutus, massant son propre menton. « Si tu ne te magne pas plus que ça, le cul de ta femme va le regretter. » Rajouta-t-il en haussant les épaules pour marquer son indifférence.

La femme avait l’esprit plus vif.

« Ôte-le. » Murmura-t-elle à son mari.

« Quinze, maintenant. » Ajouta Brutus. « Ça veut dire Quinze coups de cravache sur ses fesses nues. Pour commencer. »

Effrayé, l’homme se précipita, déchirant presque le coton du chemisier, en arrachant maladroitement les boutons. Ses seins étaient surprenants, hors de proportion avec sa tête et son visage. Gros, ronds et pleins, à peine tombants, avec quelques marques légères de vergétures sur les côtés. Pas si mal pour 3,250 Crédits ! Brutus sentit sa queue s’émouvoir. Mais il avait une réunion d’ici peu, alors il les regarda avec peu d’enthousiasme.

« Son pantalon aussi. »

Cette fois, le juge s’accroupit rapidement et lui ôta son pantalon crasseux. Elle avait un corps bien entretenu. Son pubis était châtain clair, soigneusement taillé en forme de triangle.

« À toi maintenant, » Dit-il en s’adressant à la femme. « Deshabille ton mari, vite ! »

Lui aussi était en bonne forme. Visiblement, il avait perdu du poids depuis qu’il ne s’adonnait plus aux plaisirs de la table. Les ans avaient quelque peu ramolli son ventre et ses biceps, et sa bite était recroquevillée par la trouille, mais en fait, sa nudité ne le ridiculisait pas. La femme valait bien les 3,250 Crédits à elle seule et Brutus était certain qu’il trouverait quelque utilisation productive pour l’homme.
En attendant, il pourrait toujours officer comme esclave au bureau pour classer les fichiers.

« Place-toi derrière ta femme. » Ordonna Brutus d’une voix qui ne souffrait pas la contradiction. « Et soulève-lui les seins. Présente-les moi comme si c’était des fruits. »

Lentement, les yeux larmoyants, l’ancien juge prit position derrière sa femme et plaça ses mains en coupe sous sa poitrine, les offrants à Brutus tandis qu’elle clignait des yeux et rougissait sous la mortification.
Brutus se contenta de les détailler comme il l’aurait fait d’un étalage de légumes sur un marché.

« Dis-moi qu’ils m’appartiennent maintenant, que je peux en faire ce que je veux. »

Bouche-bée, l’homme en resta sans voix.

« Vingt. » Soupira Brutus avec désinvolture.

S-s’il v… S’il vous plaît… Monsieur… Ils sont à v… Vous maintenant. V-vous p-pouvez en faire ce que vous voulez. »

Brutus sourit.

« Dans ce cas, les vingt coups prévu pour son cul seront finalement destinés à ces seins qui m’appartiennent. Ainsi que tous les prochains coups que tu collecteras pour moi. »

Les deux époux, qui le fixaient la bouche ouverte comme des poissons, restèrent muets.

« Maintenant, présente-moi le reste de la marchandise. Ouvre-moi son con. En grand… »

Terrorisé, l’homme fit glisser sans hésitation ses mains tremblantes le long du corps de sa femme et fouilla entre ses cuisses, écartant ses lèvres sexuelles du mieux qu’il pouvait.
Brutus se concentra un instant sur la fente obscènement offerte et remonta jusqu’aux yeux bleus implorants de la femme.

« Maintenant, dis-moi que tout ça m’appartient aussi et que je peux en faire tout ce qui me passera par la tête. »

Des sanglots dans la voix, l’homme s’exécuta.

« S’il vous plaît, Monsieur. Tout ça vous appartient… V-vous pouvez… En faire t-tout ce q-qui vous passera par la t-tête. »

Brutus eut un regard libidineux et s’empara d’un cigare. Il en coupa soigneusement l’extrémité et l’alluma, les laissant mariner dans leur jus, immobiles comme une statue obscène vivante.
Finalement, il s’adressa à la femme en lui soufflant la fumée dans la figure.

« Tu t’appelles Camilla, non ? »

Elle sursauta.

« O-oui… M-monsieur. »

« Pourquoi n’as tu pas d’enfants ? »

Camilla fronça les sourcils.

« Heu… Nous avions tous deux une sit-situation professionnelle… Monsieur. »

« C’est la seule raison ? » S’enquit Brutus en promenant ses yeux sur sa nudité.

« N-non… Non, Monsieur. C’est aussi p-parce que… Le sperme de m-mon m-mari n’est p-pas assez fécond… Monsieur. »

Brutus acquiesca de la tête, soudainement devenu plus indulgent.

« Et toi ? Tu as fait des tests ? »

Elle se détendit quelque peu devant le changement apparent d’attitude de Brutus.

« Oui, Monsieur. Ils ont dit que je suis… Heu… Bien, Monsieur. »

Brutus exhala un épais panache de fumée grise sur son visage.

« Bon. Je suppose qu’il n’est pas trop tard, ma chérie. Nous devrions te faire monter bientôt. Par des hommes dont le sperme sera plus fécond que celui de ton ex-mari. On ne peut pas laisser gaspiller tes gènes rupins, n’est-ce pas ? Avec un peu de chance, nous devrions trouver des hommes capables de t’engrosser une, deux peut-être même trois fois avant que tu sois trop vieille.
Il fit glisser son doigt le long de sa poitrine, progressant jusqu’à son pubis. « Lorsque j’aurais prélevé ma dîme bien sûr. »

Les deux époux étaient tétanisés par l’horrible perspective qu’il venait d’évoquer. Brutus gloussa lorsqu’un nouveau nuage de fumée fit tousser Camilla. Sa main touchait celle du mari lorsqu’il introduisit nonchalament deux doigts dans l’orifice aride.

« Qui sais ? Nous aurons peut-être l’opportunité de te trouver quelques vieilles connaissances. Peut-être des hommes que ton mari aura envoyé en prison par le passé, ou même des gens que vous avez poursuivi lorsque vous étiez encore en activité. Je pense même qu’un appel à témoins sur Internet, avec vos photos et curriculum-vitae pourra dénicher quelques crapules à donner leur sperme pour repeupler la planète ! »

« Nooooon ! Oh… N-noooon… S’il vous plaît. » Se lamentèrent-ils à l’unisson.

Brutus eut une mimique angélique.

« Ah, mes pauvres chéris, ne vous inquiétez pas, rien ne presse. Nous pouvons organiser ces réjouissance lorsque tu seras dans ta prochaine fenêtre de fertilité. » Il sourit gentiment devant leurs expressions suppliantes avant de durcir à nouveau le ton. « Maintenant, je vais vous laisser quelques temps pour réfléchir à ces vingt coups de cravaches sur ces jolis seins. »

Il mâcha bruyament son cigare et abattit brusquement son coupe papier sur son bureau, imitant un juge utilisant son marteau pour cloturer une audience.

« Le procès est suspendu pour le moment. La séance est levée. »

perverpeper@perverpeper.com

 

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