Après le fléau 26 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 26.
« Je suis à "mon petit coin" » Annonça Brutus en attrapant son cigar rougeoyant et le script qu’il lisait.
Stella leva les yeux de ses papiers et acquiesca d’un signe de la tête.
« "Cuvette-de-chiottes" ! Viens avec moi. »
Lavinia était agenouillée à l’entrée de la pièce, à côté de son mari.
« Et toi, "Bidet", apporte-moi un café. »
Le "petit coin" n’était, en fait, pas si petit que ça. C’était le sanctuaire de Brutus, une pièce tapissée luxueuse, aménagée en bibliothèque et en cabinet de toilettes , avec une cuvette de WC surélevée, un bar rempli de bouteilles et de liqueurs sur lequel un gros cendrier était posé, une gigantesque baignoire surplombée d’un miroir mural non moins imposant et un écran plasma géant accroché derrière la porte. En fait, il y avait assez de place pour accueillir une équipe de foot-ball.
Il y avait longtemps que Brutus avait perdu tout sens de la pudeur et il n’avait aucune honte à faire ses abblutions devant d’autres personnes. Au début, il avait été un peu honteux, mais maintenant c’était une seconde nature. Il posa le script sur le bar et son cigare dans le cendriller, avant de lever les bras en l’air.
Lavinia s’approcha, détacha la ceinture de sa robe de chambre en soie et en écarta les pans, révélant sa bedaine et ses organes génitaux poilus. Il s’empara de son cigare et s’assit sur la cuvette des WC en aspirant une longue bouffée.
« Toi. » Dit-il à "Bidet". « Couche-toi ici… Sur le dos. »
Le jeune homme, entièrement nu, s’allongea immédiatement sur le carelage froid.
« "Cuvette-de-chiottess", assois-toi sur son visage. »
Elle plaça un pied de chaque côté du visage prostré, face à Brutus, et plia élégament les genoux, abaissant son mont de vénus – qui comportait le tatouage "J’aime Brutus" – jusqu’à ce qu’elle soit accroupie au-dessus de la bouche de son mari.
Son sexe, encore humide et imprégné de l’odeur poissonneuse de la semence de Brutus qui y stagnait depuis plusieurs heures, émit un léger clapotis lorsqu’elle s’appuya de tout son poids.
Brutus poussa le jeune homme du bout du pied.
« Allez ! Donne du plaisir à ta moitié. »
Il souria à la femme. Bordel, qu’elle était belle. Il se pencha en avant et passa les doigts dans ses cheveux, écartant les mèches qui tombaient sur son front.
Elle le regarda humblement, pétrifiée, les lèvres légèrement entrouvertes, exhibant ses petites dents blanches. Un léger papillement de paupières révela que la langue de son mari s’était mise au travail.
« Je veux te voir jouir. » Dit-il d’une voix douce. « Fais-toi plaisir, mais n’imagine pas un instant faire semblant. Et… » Il abaissa sa tête sur son entrejambes. « … Pendant qu’on y est… »
Il se cala sur sur la cuvette des toilettes et tapota son cigare, avant de finir sa tasse de café.
Ses lèvres chaudes engloutierent la tête de son phallus à moitié en érection et sa langue se mit à virevoleter autour de lui, le faisant grossir instantannément.
Il passa doucement sa main sur l’arrière de son cou, admirant la courbe de son dos. Poussant un petit grognement de satisfaction, il écarta les cuisses autant que son confort le lui permettait et poussa légèrement sur sa tête. Un instant plus tard, il laissa s’échapper un gaz tonitruant en fermant les yeux de bien-être.
Il sentait que ça venait. Son érection était à son appogée et l’esclave n’arrivait plus à la prendre dans sa bouche, se contentant d’en suçoter le gland. Il grogna et lâcha une bordée d’excréments, à la fois solides et liquides, juste comme il faut pour que ça passe correctement. Aussitôt, une odeur putride surgit d’entre ses jambes, envahissant la pièce.
Après l’explosion, il y eut un silence total. Seul le léger clapotis de ses lèvres qui continuaient obligemment à le sucer, comme s’il était évident qu’il défèque pendant qu’elle lui faisait une fellation.
Il tendit le bras, et elle se contorsionna pour lui livrer l’accès à son petits seins pointus. Il lui pinça le droit et se relâcha en vidant à nouveau ses intestins au fond de la cuvette. Il adorait la façon dont les choses se déroulaient ; il avait un rendez-vous à 10 heures, ce matin et il avait tout son temps pour "chier un coup" et se faire tailler une pipe, assouvir ces deux besoins dans le temps qu’il lui aurait fallu pour mener l’un ou l’autre à bien. En plus, ça rendait inoubliable un événement aussi banal qu’aller aux chiottes. L’atmoshpère était infestée par l’odeur fétide. Il reprit le script et se replongea dans sa lecture.