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Après le fléau 22
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 22.

Stella était assise nue devant sa coiffeuse. Après son jogging matinal en compagnie de ses chiens de garde, elle s’était douchée et était maintenant prête pour une autre journée trépidante.
Dehors la température avait déjà dépassé les trente degrés, étonnant pour un refroidissement planétaire. Tous les météorologistes avaient prédi que l’épuisement des énergies fossiles allait faire chuter significativement les températures. Ce n’était pas le cas pour l’instant.
Son esclave personnel, "Un", lui avait servi un plateau avec un cappuccino, un jus de fruit fraichement pressé, de l’eau glacée et des patisseries.
Avec un sourire provocateur, elle parcourut du bout des doigts son pénis imberbe en semi-érection et son pubis, s’amusant des soubressauts que ça lui occasionnait.

« Ne va pas te faire des idées. » Lui dit-elle. « Tu en as pour un moment maintenant. Au moins trois semaines et je ne veux pas que tu te fasses d’illusions sur ta condition. »

Seul un œil aiguisé aurait pu détecter la déception dans son regard.

« Bien sûr, Maîtresse. Merci, Maîtresse. »

Stella avala une gorgée de café.

« Amène-moi la nouvelle esclave. »

Elle se mit à réfléchir en attendant qu’il s’exécute. Finalement, elle était fière de son "look" ; évidemment, elle avait un peu pris des fesses, maintenant, et sa silhouette avait un peu pris l’aspect d’une amphore. La cellulite avait fait son apparition, ainsi que quelques rides sous les yeux, mais elle restait très séduisante pour une femme de quarante ans. La mâchoire ferme, des yeux bleus glacés, des seins ronds encore fermes et la taille fine.
Elle fit courir ses doigts sur ses tétons épais et sur son pubis. Ce n’est pas encore la date de péremption, pensa-t-elle. Le jogging et les ébats sexuels l’aideraient à garder la forme pendant encore un bon moment. Elle attrapa une robe en soie crème qui reposait sur le dossier d’une chaise et l’enfila. Se présenter nue n’était pas le mieux ce matin.
Elle fixa son regard perçant sur "Un" et Jane, complètement nue, lorsqu’ils entrèrent dans sa chambre. En considérant les dernières 24 heures qu’elle avait endurées, Stella se dit que Jane avait une excellente mine. Ses yeux, rougis par les larmes étaient cernés, mais ses cheveux blonds qui lui tombaient sur les épaules étaient soigneusement coiffés. Son visage était remarquablement raffiné et, avec un maquillage approprié, elle pourrait avoir l’air d’une parfaite salope.

« Ah, Jane. Joyeux anniversaire, ma chère. »

Jane baissa les yeux et fixa ses pieds.

« As-tu bien déjeuné ? » Demanda Stella.

« O-oui… Oui Maîtresse. »

« Bien. Approche. Regarde-moi. »

Stella glissa ses doigts sous l’un de ses seins et le soupesa. Ses seins étaient pâles, avec de petites pointes et les veines étaient à peine visibles sous la peau.

« Je t’ai organisé une belle fête d’anniversaire aujourd’hui. » Elle fit courir son pouce nonchalament sur son téton. « Tu seras le centre des festivités, comme hier, mais à une plus grande échelle. Rappelle-moi avec combien de partenaires tu as… Heu… Fait l’amour, depuis avant-hier ? »

Une larme atterrit sur le sein de Jane, Stella la dispersa avec son ongle.

« D-deux… Maîtresse. »

Stella aventura ses doigts entre les cuisses de son esclave.

« Deux ? C’est plutôt maigre, non ? Une jolie fille de 27… Heu… 28 ans, aussi sexy que toi… Je parie que tu rêves d’en baiser un peu plus, surtout avec le mari que tu as. »

Jane étouffa un sanglot et fit non de la tête, regardant à nouveau le sol.

« Tourne-toi et penche toi en avant. »

Jane obéit lentement. "Un" enserra son cou et le poussa fermement vers le bas. Stella lui sourit et fit courir ses doigts sur les stries qui zebraient les fesses de l’esclave, admirant le rouge terne, le jaune et le bleu des marques.

« Regarde-moi à travers tes jambes, jeune fille. »

Elle lui fit un clin d’œil en l’observant s’exécuter maladroitement, et introduisit l’ongle de son index à l’entrée de son orifice plissé. Le corps de Jane eut un soubressaut, et elle laissa échapper une petite plainte sonore.

« Hmmmffff. »

« Et une seule queue de ce côté jusqu’à maintenant, non ? Celle de mon mari adoré. Je suis jalouse, ma chérie. Je déteste que mon homme soit le seul. Il risquerait d’accorder trop d’importance à ta petite rondelle. Tu vois, à ce sujet, je n’ai jamais accepté que lui, ou qui que ce soit d’autre, me le fasse de ce côté. »

Se servant de ses deux mains, Stella écarta largement les fesses de Jane.

« Le sexe anal est le travail des esclaves, ainsi que pour le con et la bouche, bien sûr, mais le cul en particulier. Je voulais que tu saches ça à l’avance. D’ici cette nuit, ce petit passage étroit va devenir… Heu… moins étroit ! »

Stella tapota les fesses tendres de Jane  dont le visage, à l’envers, commençait à se teinter de mauve.

« Redresse-toi et regarde-moi. »

Elle attendit que Jane s’exécute, préférant continuer "en direct".

« Dans un sens, je t’envie. Du sexe sans contraintes et sans culpabilité. Plein. Imagine : Si Jim t’avait emmenée passer un week-end romantique avec lui, et que vous ayez fait l’amour douze fois – s’il avait été suffisament viril pour ça bien entendu – tu n’y verrais rien à redire, non ? Tu serais flattée. N’ai-je pas raison… » Stella tapota le mont de vénus de Jane du bout des doigts. « Est-ce que ça serait desagréable ? Alors quelle différence y a-t’il entre baiser douze fois avec un seul homme et baiser avec douze hommes en une seule fois, hein ? » Stella ouvrit les mains pour ponctuer son interrogation. « La seule différence, c’est la fierté maniaque des femmes. Mais leur sexe ne fait pas la différence entre une bite ou douze d’entre elles ! »

Le visage de Jane s’était à nouveau décomposé. Elle articula silencieusement "douze" en secouant légèrement la tête de gauche à droite, les genoux tremblants.
Stella se réjouit intérieurement. Elle adorait les "casser" pour les amener à comprendre progressivement l’idée. À une heure de l’après-midi, Jane penserait que son horrible épreuve toucherait à sa fin, après avoir diverti sa douzaine d’hommes de la matinée. Mais en fait, comme elle s’en rendrait compte, ce serait seulement le début. À la fin de la journée, elle réaliserait qu’à l’heure du déjeuner, elle n’avait en fait achevé qu’un quart de son quota journalier. Et l’ensemble de ses exploits serait immortalisé sur plusieurs caméras, afin qu’elle puisse se revoir plus tard.

« Je suis sûre que ça sera plus amusant que de ne baiser qu’avec Jim. Imagine toutes ces bites, toutes différentes ; des longues, des grosses, des minces, des vieilles, des jeunes, des circoncisées, des sales, des verruqueuses, de toutes les tailles et toutes les couleurs. Quelle chance tu as ! Alors ? » Dit Stella en attendant impatiemment une réponse.

À travers ses larmes, Jane semblait perplexe.

« La politesse veut qu’une jeune femme bien élevée remercie pour son cadeau d’anniversaire. »

« Mer… M-merci… Maîtresse. »

Stella l’ignora. La touche finale consisterait à l’obliger à passer la nuit à écrire à toutes les personnes qui l’auraient baisée pour les en remercier chaleureusement. Elle se promit de demander au directeur du bordel de s’en occuper.

« Ne te complique pas la vie, ma chérie. Profites-en ! Et… Passe une bonne journée ! »

Elle fit un signe de tête dédaigneux à "Un" pour qu’il l’escorte hors de la chambre.

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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