Après le fléau 21 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 21.
Lorsqu’elle n’était pas sollicitée pour des urgences de nuit, l’infirmerie de la société ouvrait à sept heures trente.
Le premier rendez-vous du Docteur Sadie Thorne pour ce matin était Susannah, la femme de trente-deux ans qui avait distrait BJ et ses amis sur le "Sexercycle" la veille au soir. Depuis, elle avait passé une nuit inconfortable recroquevillée dans une petite cage grillagée dans une cellule au fin fond d’un sous-sol, avec des rats et des arraignées pour unique compagnie.
Maintenant, elle était attachée sur une chaise gynécologique, ses longues jambes athlétiques étaient largement écartelées dans les étriers, ses bras étaient durement étirés derrière sa tête et ses parties intimes dépassaient à l’avant du fauteuil.
La fonction de la doctoresse au sein de l’entreprise de Brutus et de Stella consistait à s’assurer que l’état de santé de Susannah lui permettait de supporter les mauvais traitements à venir. Bien que spécialisée en chirurgie esthetique, Sadie était parfaitement qualifiée pour les soins généraux, et prenait son rôle très au sérieux. La cinquantaine bien tassée, elle portait une blouse blanche qui masquait quelque peu son physique de Matronne. Ses cheveux étaient gris et elle avait des manières brusques.
Elle avait inséré un spéculum dans le vagin de Susannah et était en train de l’explorer à l’aide d’une caméra qui renvoyait les images sur un écran vidéo, s’assurant que les sévices qu’elle avait subi jusqu’ici ne lui avaient causé aucun dommage intime. Constatant que l’engin de 23 centimètres de longueur qui l’avait pistonée inlassablement la veille ne lui avait causé aucune lésion, même si son diamètre de plus de six centimètres l’avait complètement dilatée, Sadie sourit et inscrivit quelques mots sur son bloc-notes.
Puis elle inspecta l’anus et le rectum de Susannah. À cet endroit, il était évident que la combinaison de la pénétration du phallus artificiel de 5 centimètres de diamètre et du gel irritant avait causé une irritation sévère qui nécessiterait quelques semaines avant de guérir complètement. D’autre part, les fonctions naturelles de Susannah seraient douloureuses et ses muscles anaux risquaient de ne pas assumer correctement leur rôle pendant un bon moment. il y avait donc de fortes chances qu’elle ne puisse se retenir ce qui lui vaudrait de nouvelles punitions.
Sadie glissa son ongle ganté à l’intérieur du sphincter distendu et rougi par l’irritation qui le rendait douloureux, faisant grogner Susannah qui aspira une brève bouffée d’air en grimaçant de souffrance.
« Ça brûle ? »
Susannah hocha la tête. Ses cheveux rasés la faisaient ressembler à une taularde et son corps était constellé de marques rouges et parfois violettes.
« Oui docteur. »
La doctoresse sourit et prit d’autres notes. Puis elle déposa son bloc sur son bureau, ôta ses gants et vint se placer entre les cuisses de Susannah. Elle s’empara de sa poitrine modeste mais parfaitement proportionnée, et en taquina les tétons rétractés par la frayeur avec les ongles de ses pouces avant de redescendre caresser sa cage thoracique saillante, étirée par la contrainte des liens.
« Il fallait y penser avant de cracher dans ce plateau-repas, tu ne crois pas ? »
« Si, Docteur. »
« Tu ne recommenceras pas, n’est-ce pas ? »
« Non, Docteur. »
« Ouvre la bouche. »
Susannah avala sa salive. À contre-cœur, elle ouvrit ses mâchoires en grand.
Sadie ouvrit la porte d’un petit refrigérateur contenant une gamme de bouteilles et de flacons. Tous comportaient un étiquette spécifiant leurs dates de validité et les ingrédients qu’ils contenaient. Les fioles transparentes aux couleurs blafardes faisaient un peu penser à une confiserie.
Elle s’empara d’un flacon en verre et le montra à Susannah. La substance qu’il contenait était un mélange gélatineux blanchâtre, plein de petites bulles. Délicatement, elle le décapsula et, avec un sourire moqueur, versa l’équivalent d’une petite cuillérée sur la langue de Susannah.
« Avale. »
Susannah refréna un haut-le-cœur, et se força à l’ingurgiter. Le goût était fort et musqué, un mélange d’odeur corporelle rance et de relents poissonneux.
La doctoresse continua patiemment à verser dose après dose, remplissant à ras-bord, la bouche de Susannah, s’interrompant pour lui laisser le temps d’avaler, tant bien que mal, l’immonde décoction et reprendre son souffle, lui tenant le menton pour s’assurer qu’elle n’en laisse pas échapper la moindre goutte.
Il lui fallut près de cinq minutes pour vider entièrement la petite bouteille et Susannah dut souvent faire appel à toute sa volonté pour ne pas vomir.
Sadie eut un sourire sadique en lui mettant l’étiquette sous les yeux. Elle comportait les mots "SEMENCE DE TAUREAU ET SALIVE HUMAINE". Sur la deuxième ligne, il était inscrit "FRAIS" et la date écrite au marqueur indiquait celle de la veille. Le volume était de 33 centilitres, l’équivalent d’une canette.
« Parfait. Je pense que notre salive a plus de goût que la tienne… Et je suis sûre que tu as bien compris la leçon. » Dit-elle en tapotant le flanc de Susannah. « Nous pouvons poursuivre le calendrier de ta punition pendant au moins deux jours. Ton anus a besoin de repos mais tu es programmée pour la bouche, les seins et la chatte seulement aujourd’hui. Il n’y a donc aucune contre-indication.
Susannah se mit à pleurnicher.
« S-s’il vous plaît ! Pas ça. Je… Je n’en peux plus. J-je vous en supplie, vous êtes docteur. Dites-leur que ça n’est pas possible… Je vous en conjure. »
Le docteur Thorne secoua la tête.
« Balivernes, ton corps peut supporter bien plus que ça. Nous devons faire un example avec toi. »
Elle appuya sur un bouton situé sur le côté de son bureau et, aussitôt, deux gardes robustes entrèrent dans la pièce, libérèrent Susannah et traînèrent la pauvre femme qui sanglotait hystériquement, à travers le couloir
*** *** ***
La patiente suivante du docteur Thorne était Gemma. Elle s’étendit de bon gré sur le fauteuil pendant que Saddie ajustait ses jambes aux étriers et lui emprisonnait les mains derrière la tête.
« Alors. » Déclara Saddie. « Lara veut te faire insensibiliser le clitoris, c’est ça ? »
Gemma approuva de la tête, hésitante.
« Elle t’a surprise en train de te masturber ? »
« Non… Maîtr… Heu… Docteur. »
Sadie explora la fente offerte d’un doigt expert et décapuchonna le clitoris de Gemma.
« Non ? Tu ne t’es jamais masturbée ? »
« Jamais, Maitr… Docteur… En tous cas jamais avant d’arriver ici. »
Saddie sourit en faisant glisser son index de haut en bas dans le sexe de Gemma.
« En tous cas, ça ne risque plus de t’arriver une fois que je t’aurais injecté ça. »
Elle exhiba une grosse seringue avec une grande aiguille sous les yeux hébétés de Gemma.
« Au cas où tu te poserais la question, oui ça va être douloureux. Il ne suffit pas d’une petite piqûre pour que ça soit terminé. L’injection dure plusieurs minutes, et je te déconseille de te débattre, compris ? »
Les yeux noyés de larmes, Gemma acquiesca.
« L’aiguille en elle-même fait mal, mais le fait qu’elle soit insérée dans le clitoris fera encore plus mal. Rapidement, la totalité de ton sexe va te brûler intensément pendant environ dix minutes. Ensuite, les choses vont revenir progressivement à la normale, mis à part le fait que tu ne sentiras plus rien… Ici… Pendant environ une semaine, peut-être deux. » Elle fit pivoter la seringue dans ses doigts. « Ce n’est pas la dose "bébé", tu vois. »
Saddie écartela autant que possible les lèvres sexuelles de Gemma.
« Avance toi un peu. Bien. Ok, maintenant je te conseille de ne plus bouger. Et pas un bruit, sinon je me ferai un plaisir d’utiliser une aiguille plus grosse. »
Faisant tout son possible pour ne pas hurler, Gemma grimaça en silence. En proie aux affres de l’agonie lorsque l’extrémité de l’aiguille commença à pénétrer son organe délicat.