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Après le fléau 20
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 20.

Stella délivra Jane de ses entraves. Elle avait déjà revêtu sa tenue de sport. Sans un mot, elle poussa son esclave vers le grand lit occupé par un Brutus endormi. Il était étendu sur le ventre et respirait lourdement.

« Réveille-le. Gentiment. Lèche lui le cul, il adore ça. » Et elle sortit pour effectuer son jogging matinal.

Jane ne pouvait détacher ses yeux horrifiés de la scène. De minces rayons de soleil filtraient à travers les persiennes. Il ne semblait y avoir personne d’autre dans la pièce. Un instant, l’idée de s’échapper l’effleura. Mais, se raisonnant, elle préféra se glisser sous les couvertures. Cet odieux bonhomme, assez vieux pour être son père, était poilu comme un singe. Il était entièrement nu et suait abondament. Elle grimaça.
C’était odieux.
La nuit précédente, il lui avait fallu lécher les fesses de Stella avant de s’endormir tant bien que mal. Et maintenant, la première chose qu’elle devait faire en se réveillant était de lécher celles de Brutus.
Avec précautions, elle se faufila entre ses jambes et, dans le noir, fit glisser sa langue sur ses fesses velues. Elle le sentit trésaillir. Certaine que Stella vérifierait si elle lui avait bien obéi, Jane poussa sa langue au cœur du postérieur offert et l’embrassa délicatement.
Ses efforts furent couronnés d’un léger grognement. Il s’éveillait.
Elle fit délicatement glisser sa langue d’avant en arrière au creux de la raie, s’appliquant de son mieux.
Elle fut récompensée par une déflagration sonore. Un énorme pet matinal et gras qui explosa dans une éruption de gaz fétide et chaud tout contre son visage.
Sous l’effet de la surprise, elle battit en retraite, horrifiée, au bord de la nausée. Il ne semblait même pas avoir remarqué sa présence. La puanteur, cloîtrée sous les couvertures, était abjecte. Il lui fallut réunir toutes ses forces pour approcher ses lèvres et le titiller une nouvelle fois du bout de la langue. Des larmes de honte brouillaient sa perception.
Il grogna à nouveau et changea de position, les fesses grandes ouvertes, poussant consciencieusement son postérieur contre son visage. À contre-cœur, elle poussa sa langue au centre de l’orifice.
Soudain, les draps furent écartés sur le côté. Elle cligna des yeux et vit Lavinia, la femme que Brutus avait cruellement renommée "Cuvette-de-chiottess", la regarder. C’était une jolie brune avec des pommettes sensationnelles, d’adorables yeux aussi marron que du chocolat, des seins parfaits et fermes dont Jane était un peu jalouse et un corps mince et admirablement proportionné. Elle ressemblait aux mannequins qu’on voyait dans tous les journaux avant que le chaos ne détruise toute l’industrie de la haute couture.
Frénétiquement, Lavinia lui fit signe de sortir du lit.
Effrayée par les conséquences, Jane refusa.

« Il m’a ordonné de le réveiller ce matin. » Chuchota Lavinia.

« Et moi, je viens de recevoir l’ordre de… Le réveiller. Par sa femme. »

Soudain, Brutus se retourna, à moitié réveillé. Il les regarda en plissant ses yeux encore pleins de sommeil, son visage mal rasé portait encore les marques de plis des draps.

« Mmmm… Sympathique comme réveil. » Il attira Lavinia sur le lit. « Approche-toi Lavvy. »

Il posa ses mains sur ses flancs et la caressa de haut en bas, avant de les faire glisser jusqu’à ses tétons et de l’embrasser. Puis il descendit juqu’à son mont de vénus glâbre, où les mots "J’aime Brutus" avaient été tatoués à l’encre noire, au centre d’un cœur écarlate.

Jane le regarda, interdite. Il lui souria obscènement en glissant ses doigts entre les lèvres intimes de Lavinia.

« Rends-toi utile. Embrasse cette adorable chatte pour moi. »

Choquée par cette révocation crude, Jane sentit les larmes humecter à nouveau ses yeux. Elle rampa sur le lit et glissa son visage entre les cuisses de Lavinia.
En retour, Brutus attira la bouche de Lavinia vers son membre érigé.
Après quelques instants, Jane l’entendit questionner.

« Alors Lavvy, est-ce que c’est bon ? Tu aimes ? Qu’est-ce que tu penses de cette langue dans ta chatte ? »

Lavinia gémit. Jane ne savait absolument pas si elle était sincère ou non. Visiblement, son sexe se lubrifiait, mais ça ne signifiait pas qu’elle apréciait. Elle se sentit humiliée de n’être qu’un simple instrument de sa libido. Etre réduite à ça lui donnait l’impression d’être terriblement inférieure. Dans un sens, c’était encore pire que ce que Stella l’avait obligée à faire la veille.

« Dégage ! »

Brutus la repoussa du pied et se glissa entre les longues jambes de Lavinia, donnant libre-cours à ses pulsions. Il s’introduisit dans son sexe onctueux d’un mouvement souple et précis.

« Hmmm… Que c’est booonnnn ! » Déclara-t-il en se retournant vers Jane qu’il regarda méchament. Elle assistait à leurs ébats, agenouillée à côté d’eux.

« Tu peux recommencer à me lécher le trou du cul. »

Jane baissa les yeux. Elle n’avait que peu d’expérience. Seulement un petit ami avant Jim, mais aucun homme, personne ne l’avait rabaissée à ce point là.
Elle se pencha derrière lui et recommença à le lécher en faisant de son mieux, en se synchronisant avec ses coups de reins paresseux. Chaque fois qu’il se reculait vers elle, ses fesses moites s’écartaient largement, humectant son visage. Elle ferma les yeux et pensa à Jim. Où était il ? Pourquoi devaient-il endurer tout ça.

« Au fait ! » Lança Brutus en la regardant par-dessus son épaule. « Si je me souviens bien de ton dossier, Tu fêtes tes 28 ans aujourd’hui, n’est-ce pas ? »

Elle avait oublié ça.

« Hmmhmm… Oui… » marmonna-t-elle entre deux coups de langues.

Il gloussa et cligna de l’œil avant de se retourner.

« Joyeux anniversaire. »

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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