Après le fléau 18 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 18.
Ignorante de son sort, Jane était étendue sur le carelage froid de la salle de bains de Brutus et Stella. Elle était menottée à des anneaux, visage offert, la tête contre la cuvette des toilettes.
Elle n’avait pas réussi à dormir, tant son postérieur zébré de marques rouges et son anus défloré la faisaient souffrir. L’esprit en proie à d’incessants "flashback" des évènements de la journée, elle n’avait aucune idée de l’endroit où se trouvait son pauvre Jim.
Soudain, l’éclairage s’illumina et Stella fit son entrée dans la pièce d’eau. Ignorant Jane, elle prit place devant les grandes vasques en marbre et passa de longues minutes à se démaquiller, brosser ses cheveux et ses dents avant de se deshabiller entièrement. Intégralement nue, elle s’assit sur la cuvette des toilettes et, après quelques secondes, le silence ne fut plus troublé que par le sifflement de son urine et le clapotement qu’elle produisait en éclaboussant le réceptacle.
Jane sursauta en sentant le pied de sa tortionnaire malmener son sein droit.
« Tu dors ? »
Jane avala difficilement sa salive.
« N-non, Maîtresse. »
« Tu as profité de ta journée ? »
Jane ne savait pas quoi répondre. « N-non, Maîtresse. »
Le rire de Stella lui vrilla les tympans.
« Je suis sûre que tu regrettes ton attitude hautaine par rapport à ma carrière dans le film pornographique, non ? »
« Si, Maîtresse. » Répondit Jane. Et elle le regrettait sincèrement. « Je suis désolée, Maîtresse… »
Le roulement de la chasse d’eau la coupa.
Stella se redressa et la surplomba de toute sa hauteur en la regardant froidement.
« Trop tard pour les excuses, chienne. Mais je te vais te donner une chance de me contenter. Fais de ton mieux et… Qui sait, je serai peut-être indulgente.
Jane comprit ce qui l’attendait. Ce ne pouvait pas être aussi horrible. Elle vit les genoux de Stella se plier et son pubis parfaitement entretenu s’approcher de son visage. Les gouttes d’urines subsistaient sur son sexe et son entrejambe, parfaitement visibles. Elle retint sa respiration.
« Le trou du cul d’abord. »
Et Stella pivota sur elle-même et lui présenta son anus plissé. En dépit de son aversion pour cet acte dégradant, Jane pointa sa langue au moment ou les fesses de sa tourmenteuses entraient en contact avec ses joues.
« Brave fille. » L’encouragea Stella. « Est-ce que tu avais déjà fait ça, avant les deux garçons de l’auberge, auparavant ? »
« Nmmm. » Marmona Jane, signifiant sa réponse négative du mieux qu’elle pouvait.
« Oh, très bien. Le pauvre Jim a dû être choqué de te voir lécher des culs alors que tu ne lui avais jamais fait cette gâterie. J’ai bien peur que ça soit trop tard pour lui maintenant… Bien qu’il te reste encore beaucoup de derrières à honorer. Un peu plus profond ma chérie, enfonce-la bien. »
Jane avait du mal à respirer. Elle étira sa langue au maximum. Le goût était supportable, un peu poivré, et l’odeur était impregnée du parfum de Stella, mélée d’effluves de poisson, d’urine et de sueur. Mais le plus dur à supporter était le poids.
Finalement, Stella se recula pour se pencher brusquement en avant et regarder Jane entre ses jambes. Elle affichait un grand sourire narquois.
« Alors, je suis ta première chatte ? »
Jane approuva de la tête.
Stella appliqua les lèvres humides de son sexe sur la bouche de Jane.
« Je ne me suis pas lavée depuis que j’ai fait l’amour avec Brutus. Comme ça, tu pourras aussi profiter un peu de lui en même temps. Maintenant, je suis fatigué et j’ai envie de me coucher. Fais-moi jouir. »
Jane étira son cou et lappa le sexe lubrifié et déjà humide. Elle se concentra sur le clitoris et rapidement Stella se cabra sous le plaisir qui l’envahissait.
« Ouuuiiiii… Mmmmm… »
Elle continua à l’embrasser délicatement, en s’imaginant ce qu’elle aurait voulu qu’on lui fasse.
Finalement, Stella la repoussa et se redressa. Elle haussa les épaules.
« Jolie tentative, mais ça ne casse pas une patte à un canard. J’ai bien peur que tu ne mérites pas ma pitié aujourd’hui. Tu auras peut-être une autre chance demain ou un de ces jours. »
Jane la regarda piteusement. Stella allait rejoindre son grand lit aux draps en soie et aux oreillers confortables, tandis qu’elle resterait sur le sol froid et dur.
« Bonne nuit… » Déclara Stella. « N’attrape pas froid. »
Et ce fut tout.
Jane resta immobile, le visage collant et humide. Finalement, elle dériva vers un sommeil troublé, en proie à des rèves d’auberges, d’érection et de souffrance.
Si seulement elle avait su à quel point ça allait devenir pire.