Après le fléau 16 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 16.
BJ rentra chez lui à minuit. Joelle alla à la cuisine pour leur préparer du thé à la menthe, et il en profita pour monter au donjon. Il sourit quatre membres de la famille. Chacun d’entre eux était attaché sur une croix fixée aux murs de la pièce. Neil, son ex-copain était immobilisé contre le mur nord. Sa sœur de 23 ans, Tammy, occupait le mur est, leur père celui du sud, et leur mère celui de l’ouest, à l’opposé de Tammy. Tous étaient entièrement nus, à l’exception des cages en métal fixées par des harnais qui emprisonnaient les virilités des deux hommes et des corsets à base de cuir et de métal qui enserraient méchament les tailles et les côtes des deux femmes. Tous quatres étaient bâillonnés par des "ball gags" noirs.
« Salut mon pote, ça roule ? » Demanda BJ à Neil en clignant de l’œil.
Neil bava et grogna dans son bâillon.
« Oh… Merde ! J’oubliais. Le "ball gag". Bon, tout le monde vous passe le bonjour. On a passé une bonne soirée. Bonne bouffe, plein de pinard, c’était vraiment sympa. On a tous la bite un peu irritée parce qu’on s’est tous fait cette pute qui avait craché dans un plat de bouffe. Vous vous renez-compte. On l’a tronchée deux ou trois fois chacun. Au fait, les gars me demandaient depuis quand tu n’avais pas tiré ta crampe, Neil ? Je ne me souviens plus très bien parce que ça ne me concerne pas vraiment, mais juste par curiosité, trente jours ou quelque chose comme ça non ? »
BJ haussa les épaules et tapota de la paume la petite cage en métal de Neil. Elle était étroite et restreignait son pénis à une longueur maximum de cinq pour un diamètre de moins de deux centimètres. Le bas ventre de Neil avait été entièrement rasé, le faisant ressembler à un jeune garçon.
Celui-ci leva son menton plusieurs fois.
« Quoi ? Plus ? Soixante jours ? »
Neil abaissa plusieurs fois son menton.
« Moins de soixante ? Ah bon, alors tout va bien. Il te reste encore beaucoup de temps à attendre. »
Lassé, il se retourna vers Tammy. Depuis que la grossesse de Joelle était aussi avancée, la jeune fille était devenue sa petite partenaire de baise lorsqu’il se réveillait en érection la nuit. Mais ce qu’il préférait par dessus tout, c’était de tourner des scènes d’inceste entre la fille et la mère, une femme de 48 ans qu’il connaissait depuis sa naissance. Il avait monté une série au budget très serré, "Diette végétarienne" I II et III qui s’était très bien vendue. On y voyait les deux femmes se livrer à toutes sortes de turpitudes avec des "produits du marché" des carottes et bananes aux courgettes et concombres. Pour d’obscures raisons – qui n’intéressaient pas BJ – elles semblaient trouver plutôt consternant le fait que des copies gratuites des DVD – sur lesquelles on les voyait s’exhiber avec un gros concombre enfilé dans le con – soient distribuées à tout le voisinage qu’elles cotoyaient avant leur banqueroute.
Il glissa un index à l’intérieur du con souillé et négligé de Tammy. Trois jours plus tôt, ses amis s’en étaient particulièrement occupés. C’était la première fois que BJ leur avait permis de se rencontrer à nouveau, depuis qu’il avait acheté la famille de Neil. Tous ses copains avaient pris beaucoup de plaisir à rencontrer la petite Tammy – beaucoup plus qu’auparavant. Il lui avait permis de se défendre, mais ils étaient quatre et elle fut rapidement maîtrisée, attachée et disposée pour plusieurs heures de "gang bang", dans tous les trous, et particulièrement celui qu’il était en train d’agacer. Tout ce que Tammy avait désiré après cela était de se récurer pour nettoyer la honte et les traces de cette odieuse partouze. Mais c’était précisément pour cela que BJ l’avait maintenue ainsi, répugnante et puante, pendant près de 72 heures.
« B’soir Mme Evans. » Déclara-t-il en se tournant vers la mère de Neil.
Elle gémit dans son bâillon.
« Vraiment ? » Répondit-il. « Vous voulez vous faire baiser par un âne ? J’ai bien entendu ? »
Elle grogna et secoua négativement la tête.
« Oui ? Bon, très bien. Ca tombe bien parce qu’on ma demandé de fournir une vieille bique, la quarantaine passée, pas trop moche mais un peu décrépie, avec un con bien élargi, qui n’est pas trop regardante sur ses partenaires sexuels, pour tourner dans un film avec un âne.
Il tendit la main et soupesa ses seins qui pendaient sur le dessus du corset.
Elle fixa sur lui un regard glacé et secoua à nouveau la tête, amèrement.
BJ se tourna vers son mari en souriant.
« Salut Mr Evans. Comment allez-vous ? Excité, comme votre fils ? »
Le père de Neil le regarda avec une haine évidente. Son sexe était encastré dans la même petite cage en acier que son fils. Ni lui ni Neil n’avait eu le moindre soulagement sexuel depuis que BJ les avait achetés, six semaines auparavant. Au début, ça n’avait pas posé de problème. Après tout, la plupart des gens subissaient une perte de libido lorsqu’ils souffraient d’un traumatisme tel que celui qu’ils avaient enduré en étant convertis en esclaves. Mais à la longue, à force de vivre comme ça, en assistant continuellement à toutes sortes de perversions sexuelles, ils ressentirent petit à petit une excitation grandissante. C’est à ce moment que BJ avait vraiment commencé à s’ammuser.
Il écarta les lèvres sexuelles de Mme Evans et les explora. Elle était propre et sèche. Il avait déjà éjaculé deux fois ce soir, mais sentait qu’il pouvait bien tirer encore un dernier petit coup pour l’aider à s’endormir. Sa splendide Joelle et son thé à la menthe pouvaient bien attendre.
Il appuya sur un bouton et la croix pivota à l’horizontale, positionnant la chatte de la mère de Neil à une hauteur parfaite. Souriant aux trois spectateurs, il déboucla sa ceinture et baissa son caleçon sur ses genoux avant de se masturber fortement.
« Mmmm… J’ai toujours fantasmé sur vous Mme Evans. Allez… Ecartez… »
Elle écarta docilement les cuisses autant que ses liens le lui permettaient et BJ l’écartela du bout des doigts et glissa son érection à l’entrée de son vagin. Elle n’était pas aussi étroite que les jeunettes de vingt et trente ans qu’il avait l’habitude de baiser, mais elle ferait quand même l’affaire. Il s’enfonça aussi loin que possible, la faisant hurler dans son bâillon, et la pénétra jusqu’aux couilles.
« Hé Mr Evans, vous aller bientôt oublier ce qui vous manque. Votre vieille femme est vraiment bonne… Quand on a rien de mieux à se faire. Ça me fait penser… Vous vous souvenez de votre ancien patron, Mr Jones. Le type qui vous a viré. Et bien je l’ai rencontré l’autre jour et il m’a demandé de vos nouvelles. Alors je l’ai invité à nous rendre visite et il va venir d’ici quelques jours. Il m’a paru intéressé par votre femme et il voudrait l’acheter en tant que secrétaire. Bon… Il est seul, alors je pense qu’il a d’autres besoins à satisfaire. »
BJ sourit méchament à la femme puis à son mari. Il commença à accélérer ses mouvements de reins, la pistonnant, malmenant ses fesses.
« Qu’en… Pensez-vous… Mr Evans » Demanda-t-il en tournant la tête vers le mari impuissant entre deux coups de reins. « Vous pensez… Qu’elle vaut… Le coup… Monsieur… Evans… J’hésite… Vraiment… Je me demande… Si il ne… Vaudrait pas mieux… La faire baiser… Par un âne… Avant… Hein ? »
Il se retirait, et faisait claquer son pubis contre elle, se retirait, claquait, et sentait les prémices du plaisir poindre au creux de ses reins. Plutôt bien pour une mère de 48 ans.
« Je suis… Sur le point… De me vider… Les couilles… Dans la chatte… De votre… Femme… Mr Evans… Nous la laisserons… Baigner dedans… Toute la nuit… Mr Evans… Comme ça… Demain… Vous pourrez… Les nettoyer… Toutes les deux… Mr Evans… Les chattes… De votre femme… Et de votre fille… Demain matin… AAAAAAHHHH… HMMMMM… Prends ça… Vieille pute…
Brutus Junior se cabra et jeta sa tête en arrière en lâchant les vestiges de sa dernière jouissance de la journée au fond du vagin de la mère de son ancien copain. Puis, après s’être écroulé sur elle pendant quelques secondes, il retira son érection brillante et molissante, se retourna vers son audience et, comme un artiste saluant son public, se courba quatre fois en avant : Au nord, à l’est, au sud et à l’ouest, vers Madame Evans. Il introduisit ses doigts dans son vagin et l’écartela, admirant son travail.
« Pas mal pour un troisième coup. Ok les amis. »
Déclara-t-il en poussant un bouton qui replaça l’instrument de contention dans son inconfortable position initiale pour la nuit.
« Vous avez une journée très occupante qui vous attend demain. Je vous ai organisé quelques petits plaisirs à tous les quatre. Nous allons pousser les choses un peu plus en avant. Alors dormez bien… Et pas de bruit après l’extinction des feux. »
Il déposa un baiser sur chacun de leurs visages humiliés et humides de larmes, éteignit les lumières et verouilla la porte derrière lui.