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Après le fléau 15
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 15.

Lara emplit sa fourchette des restes de l’assiette. Il restait un ongle de pied jaune,particulièrement gros, qui contenait certainement plein de vertus. Elle savait que le budget que Stella consacrait aux cuisines était particulièrement bas. Le prix de son casse croute du midi à la cantine de son travail était l’équivallent de ce que consommaient 200 esclaves par jour. Elle admirait l’ingéniosité avec laquelle le chef préparait environ 600 repas pour la même somme qu’elle dépensait pour un sandwich qu’elle ne mangeait qu’à moitié la plupart du temps.
Elle glissa sa fourchette dans la bouche de Gemma et la regarda croquer l’ongle. Un mélange de poils pubiens, d’ongles et de légumes putrides dépassait entre les dents de la fille lorsqu’elle ouvrit la bouche. Lara la regarda intensément d’un air interrogatif. Elle était intriguée. Que pouvait-on ressentir dans une telle situation : Des films de "Bukkake", du lesbianisme forcé, et se nourrir d’immondices… Elle se demandait vraiment comment elle aurait supporté ça elle même.
Elle se moquait bien de gagner l’affection de Gemma. Bordel, elle n’avait aucun interêt pour le romantisme. Elle aimait bien Gemma et c’était tout ce qui comptait. Tout ce qu’elle attendait d’elle, c’était une adoration totale. Elle voulait qu’elle la vénère de la même façon que les primitifs adoraient leurs dieux.
Lara fit glisser le plateau à côté du sien, à moitié terminé, contenant encore cette nourriture si appétissante. Elle prit une gorgée de vin et sourit.

« Rassasiée ? » Demanda-t-elle.

Gemma détourna les yeux. Ils s’attadèrent sur son plateau si alléchant pendant une seconde fugace, avant de revenir vers elle.

« Oui , Mademoiselle. »

Lara gloussa. « Dis-moi la vérité. »

Gemma hésita. « N… Non , Mademoiselle. »

Il y eut un long silence.

« Ouvre la bouche. Montre-moi tes dents. »

Gemma étira ses lèvres, ouvrant sa bouche en grand.

Lara regarda attentivement les poils noirs qui encombraient ses dents comme du fil dentaire et les morceaux noirs et roses sur ses gencives.

« File dans ma salle de bain et lave-toi les dents. Sers-toi du fil dentaire et des cure-dents, prends une nouvelle brosse à dents et du savon. Pas de dentifrice. Ensuite tu te fera un gargarisme pour te rincer.

Elle la regarda s’éloigner. Elle avait été tentée de lui faire utiliser la brosse à dents qui se trouvait le long des toilettes et qui servait à nettoyer la cuvette, mais elle ne voulait pas de germes dans sa bouche pour ce qu’elle lui réservait.

« Et ne tarde pas. Je viendrais vérifier dans deux minutes et il vaudra mieux pour toi que ta bouche soit propre ! »

Lara sourit en l’écoutant s’activer. Sa salle de bain luxueuse, avec jacuzzi, sauna, double baignoire, toilettes, divan, armoires et coiffeuse, était aussi grande que la cellule qui contenait les vingt cages dont l’une était celle dans laquelle Gemma dormait.
Elle l’écouta se gargariser puis recracher et rincer le lavabo, puis elle se leva, laissa tomber sa robe par terre et s’approcha de la salle de bain.

« Montre. »

Elle examina la bouche et la langue offertes et renifla l’odeur du savon avec approbation. Délicatement, elle ota les lunettes de Gemma et les posa sur le bord du lavabo.

« Etends-toi dans la baignoire, sur le dos. »

Elle regarda Gemma descendre dans le grand jacuzzi blanc, se repaissant de ses seins lourds et de sa taille fine. Lentement, elle fit chuter sa robe sur le sol et enjamba Gemma, abaissant son pubis fourni et desordonné sur son visage.

« Je sais que tu aimes la pisse. Ouvre grand. »

Lara regarda nonchalament sa miction jaillir faiblement et se répandre sur le visage et les épaules de Gemma. Puis le mince filet se transforma en un jet dru, au fur et à mesure que ses lèvres intimes s’ouvraient complètement. Elle ajusta son bassin et dirigea le geyser droit dans la bouche grande ouverte et fraichement savonnée de Gemma. Un petit gaz lui échappa lorsque ses muscles se relâchèrent et elle eut un sourire narquois en direction du visage souillé d’urine de Gemma.

« Lèche. » Ordonna-t-elle.

Gemma avala une grosse gorgée de pisse chaude et sa langue s’érigea tandis que Lara abaissait encore plus, sans cesser d’uriner, son sexe souillé par le cycle menstruel. Lara ne put retenir un petit rire de satisfaction en remarquant la teinte que prenait la bouche et les lèvres de son esclave. Puis elle bascula son bassin en avant, dirigeant le jet en arc de cercle au-dessus du visage de Gemma, éclaboussant le bord de la baignoire et ruissellant sur ses cheveux.

« Mon petit trou, maintenant. »

Finalement, la source se tarit, mais Lara continua à frotter ses fesses humides sur le nez et la langue de Gemma. Un nouveau sourire s’afficha sur son visage lorsqu’elle sentit un gargouillement révelateur résonner aux tréfonds de ses intestins. Une formidable flatulence silencieuse lui échappa. Aussitôt cette fois, une émanation lourde de souffre emplit l’atmosphère autour d’elles.

Dégoûtée, Gemma avait retiré sa langue.
Les ongles de Gemma lui pincèrent cruellement le lobe de l’oreille.

« Lèche chienne. »

Lara ferma les yeux avec délices lorsqu’elle sentit la langue reprendre délicatement contact avec l’intérieur de son rectum. Elle n’arrivait pas à décider si elle allait d’abord jouir ou soulager ses intestins. Tendant son doigt, elle caressa son clitoris dans l’espoir d’atteindre l’orgasme, mais au même moment, elle sentit ses sphincters céder.
Elle grimaça sous l’effet de la jouissance et, simultanément, souleva légèrement ses fesses pour permettre à la crotte dure et solide qui la pressait de s’échapper et tomber sur le visage révulsé de Gemma.

« Ouuuiiiii… Hmmmm… Ooooohhh… Ouuiiii… » Siffla Lara en laissant libre cours à son triomphe matiné d’orgasme.

Deux petits étrons suivirent tandis que son orgasme s’apaisait. Elle s’appuya sur ses genoux et les regarda glisser sur le corps de Gemma. Un sur son cou, et l’autre entre ses seins.

« Ne bouge pas. » Dit elle en s’accroupissant sur le ventre de Gemma, souillant son estomac.

Lara eut un rire enthousiaste en voyant les trois boudins marron reposant sur la peau pâle de son esclave. Prudemment, elle saisit celui qui était sur le point de chuter du cou de Gemma et le plaça le long de celui qui reposait entre ses seins.

« Bouche ouverte. »

Celui qui se trouvait sur son visage reposait à la fois sur ses lèvres, son nez et ses joues. Gemma ouvrit ses lèvres avec mille précautions et il glissa hors de sa bouche.

« S-s’il vous plaît… Mademoiselle, pas ça… »

Lara savoura son pouvoir.

« Pourquoi pas ? Tu sais bien que ça fait partie des choses qui arrivent ici. Pourquoi crois-tu que nous dépensons une quantité considérable de crédits en antibiotiques et antitoxines ? Donne-moi une bonne raison de t’épargner ça. »

Une larme coula sur la joue de Gemma.

« Je… Je ne sais pas , Mademoiselle, m-mais je v… Je vous en supplie… Je ferai tout… Tout ce que vous voudrez… »

Lara eut un sourire faussement bienveillant. Il n’y avait pas d’urgence. Cette chienne mangerait un plein seau d’excrements quand ce serait le moment. De toute façon, elle avait toutes les cartes en main. Elle n’avait pas besoin de toutes le jouer à la fois. Après tout, cette salope lui avait déjà procuré son tout premier orgasme scato. Elle pouvait peut-être lui accorder un peu de répit.

« Dis-moi ce que tu feras. »

« Tout , Mademoiselle. »

« Non. Tu penses à quelque chose. Amuse-moi. »

C’était la deuxième fois de la journée qu’elle posait cette question à Gemma. En réponse, celle-ci cligna des paupières. Son esprit naif était incapable de réfléchir.

« Je… Je n-ne sais pas, Mademoiselle… J-je veux simplement vous faire plaisir. »

Lara s’empara du plus gros morceau.

« Embrasse-le. Je ne t’obligerai pas à le manger, mais embrasse-le. »

Lentement, Gemma tendit les lèvres et embrassa le boudin ferme et brillant. Lara étudia cyniquement la remontée de bile qui remonta visiblement dans sa gorge lorsqu’elle eut un haut-le-cœur.

« Je te propose un marché. » Commença Lara magnanimement. « Tu seras exclusivement mon esclave intime pendant toute la semaine prochaine. Chaque fois que j’irai aux toilettes, tu m’accompagneras. Lorsque je pisserai, tu boiras tout. Lorsque je ferai mes besoins, que ce soit sur ton visage, ton corps ou dans la cuvette, tu nettoieras toujours amoureusement. Mes déjections seront tes seules amies au monde. Compris ?

Gemma donna l’impression qu’elle trouvait le marché équitable. « O-oui… Mademoiselle. »

Lara approuva, alignant conscienceusement les colombins sur la poitrine de Gemma.

« Je n’ai pas fini. Nous reverrons les termes du contrat à la fin de la semaine, et à ce stade, tout sera envisageable. Deuxièmement, si tu me déçois de quelque façon que ce soit, si tu te dérobes, vomit ou montre le moindre manque de respect pour mes déchets, je t’envoie aux toilettes du "Trou infernal" pour le reste de tes jours. »

Lara attendit, et Gemma lui signifia son acceptation en hochant la tête.

« Troisièmement, je vais te faire insensibiliser le clitoris. »

Les yeux de Gemma s’écarquillèrent de stupéfaction.

« Dès demain matin. Ça durera environ une semaine. Le temps de notre marché, peut-être un peu plus longtemps. Tu ne ressentiras plus rien et, en tout état de cause, ça sera comme si on t’avait excisée. Ca t’aideras à te concentrer sur mes désirs et mon plaisir. »

Gemma ouvrit la bouche pour répondre, mais s’interrompit en pensant qu’il vallait mieux s’abstenir.

« Et enfin, je suis peut-être lesbienne, mais j’aime aussi regarder les hommes et les femmes ensemble. J’ai pris une disponibilité pour toute la semaine prochaine, comme ça je serai entièrement disponible pour m’occuper de toi. Je selectionnerai tes partenaires, déciderai de ce qu’ils te feront subir et tout ce que tu devras faire. »

Une autre larme coula sur la joue de Gemma.

« Et je te préviens qu’il est hors de question qu’une jeune beauté de 22 ans comme toi puisse négocier ses faveurs ! Ces types dans ton film de "bukkake" étaient des dieux des "Apollons du sexe", en comparaison des partenaires que je t’imposerai. Leur qualité – ou plus exactement, leur manque de qualité – aura plus d’importance que leur quantité, mais nous trouverons le temps de nous assurer que tu bénéficiera des deux. Je pense que nous utiliserons principalement ton derrière, car c’est ce qui m’intéresse le moins chez toi, et ce que ces vieux vicieux semblent préférer. De plus, ton trou du cul est probablement la partie de ton corps que tu aimes le moins, je me trompe ? »

En larmes, Gemma mordit ses lèvres tremblantes et hocha la tête en signe d’assentiment.

« Mais ne t’inquiètes pas, nous trouverons aussi une occupation pour ta chatte, je m’en voudrais si ton clitoris vicelard te distrayait de ton devoir. »

Lara se redressa et sortit du jacuzzi.

« Nous allons bien nous entendre, toi et moi, j’en suis sûre. Maintenant dépêche-toi de nettoyer ces saletés et viens me torcher. Ensuite, tu prendras une douche froide et tu iras te prosterner sur mon lit. J’ai hâte de de punir ces deux adorables fesses comme elles le méritent avant d’aller me coucher. J’apellerai un garde pour te ramener dans ta cage d’ici une quinzaine de minutes, je suis sûre que tu dormira mieux dans ton propre lit. »

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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