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Après le fléau 12
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 12.

Gemma introduisit sa langue à l’intérieur des lèvres gonflées du vagin de Lara, la taquinant délicatement tout en veillant attentivement à ne pas l’agacer. Elle tentait d’imaginer ce que le plus parfait des petits amis, expert en cunnilingus, lui ferait. Elle avait déjà lappé le pourtour de l’anus de sa Maîtresse et embrassé humblement chaque millimètre de son postérieur et de l’intérieur de ses cuisses. Lara ne réagissait pas, étendue nonchalament sans proférer le moindre son, se contentant de feuilleter son magazine, sans lui adresser le moindre retour ou encourgaement. Avec mille précautions, Gemma titilla le clitoris offert avec le bout de sa langue.

Au même moment, Jim qui s’était toujours considéré comme une personne lambda, courageuse et fière. Longtemps avant que tout ceci se produise, il était convaincu qu’il était du genre à foncer sur n’importe quel type qui ferait plus que poser ses yeux sur “sa” femme. Et maintenant, il était nu, attaché à la poutre en bois d’une croix de St André, le sexe emprisonné trop étroitement dans un tube en métal, assistant aux ébats de son nouveau propriétaire. À quelques mètres de lui, Brutus était assis dans un fauteuil, tandis que Jane abaissait lentement son bassin sur le sien, empalant ses fesses vierges sur son sexe. Ou plutôt, ses fesses vierges jusqu’à maintenant. Deux autres esclaves – le couple qu’ils appelaient “Cuvette-de-chiottess et Bidet", regardaient attentivement – alors que Stella était assise de l’autre côté de la grande chambre à proximité d’un bureau, travaillant sur un ordinateur portable.

Brutus caressait avec désinvoture les splendides seins de Jane. Elle lui tournait le dos, si bien qu’elle faisait directement face à son mari, qu’il soit en première classe, lui avaient-ils déclaré en se moquant de lui alors que Brutus s’aprêtait à déflorer son anus vierge. Jim n’arrivait pas à quitter sa femme des yeux. Elle grimaçait, se lèvres se déformant visiblement sous l’effet de la douleur que lui occasionnait la bite qui la transperçait profondément chaque fois qu’elle redescendait.
Une fois, il y avait environ un an, stimulé par l’absorption d’une trop grande quantité d’alcool, alors qu’ils vivaient encore des jours heureux, Jim lui avait suggéré d’essayer le sexe anal. Pour lui faire plaisir, Jane avait accepté, mais bien qu’ils aient utilisé du lubrifiant, ils avaient renoncé en ricannant.
Et maintenant, tout ceci n’était plus que du passé. La nuit dernière, Jane et lui s’étaient retrouvés parqués dans les cellules du commissaire priseur – au moins ils étaient ensemble – et depuis, Jane avait été abusée en public dans une auberge, contrainte à sucer le sexe d’un autre esclave, pour, finalement, être sodomisée par un homme beaucoup plus âgé, qu’ils avaient rencontré à l’occasion.
Elle sortait de la douche, les cheveux encore humides, son pubis, maintenant rasé, était complètement lisse, et Jim avait une vue imprenable sur ses lèvres sexuelles gonflées mais libres, pendant qu’elle montait et descendait lentement sur la virilité de son tortionnaire. Il avait conscience que, pour Brutus, elle n’était qu’un autre orifice, mais pour lui, elle était tout. Il était donc contraint à observer, sans défense, sans même se débattre ou se rebeller pour essayer de faire cesser cette scène odieuse durant laquelle l’amour de sa vie se faisait sodomiser sans cérémonie.
Sans forcer, Brutus souleva Jane et la projeta à quatre pattes sur le luxueux tapis persan. D’un mouvement étonnament agile, il se glissa derrière elle et la pénétra d’un coup, perforant son anus avec autant de facilité que s’il s’était agi d’un vagin bien lubrifié. Puis il se mit à aller-et-venir rapidement et brutalement avec son énorme bedaine répandue sur son dos.
Il adressa un clignement d’œil à Jim. « Merci de me l’avoir gardée au chaud, mon garçon. »
Jim lui renvoya un regard sombre, plein de rancœur.
Brutus se cabra et, les mains ancrées sur les hanches de Jane, sourit triomphalement avant de se tétaniser et, comble du raffinement, éjaculer son sperme avec force dans les profondeurs des intestins de sa nouvelle esclave, sous les yeux éffarés du mari impuissant.

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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