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Après le fléau 112
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 112.

La veille au soir, la première s’était très bien déroulée. La plupart des lancements étaient des thrillers érotico-pornographiques, ou tout simplement des films pornographiques, et il était rare qu’un documentaire aie du succès ou suscite des critiques.
Mais l’histoire de la quête de Mark avait plu aux invités, des bureaucrates, des nouveaux riches et, bien sûr, les stars du film.
L’enquête portait sur les vies de Christina Havey-Stackford et son mari, Mark depuis qu’ils avaient perdu la course de Montagnes russes.
Intitulé, ‘La quête des amants de Christina’, il mettait en scène Mark qui visitait leurs anciens voisins, écoles, bureaux, rencontrant tous ceux qui se trouvaient sur leur liste de mariage et qui n’avaient pas fait faillite, ainsi que les connaissances qu’ils avaient fait par la suite, lorsqu’ils étaient mariés.
Bien entendu, certains d’entre eux connaissaient la ‘Société Brute’ et appréciaient son travail, mais beaucoup furent surpris lorsque Mark leur rendit visite.

« Salut Mark, j’ai appris que vous aviez été ruinés. Comment est-ce arrivé ? »
« Je n’aimerais pas être à ta place, mon garçon. »
« Comment ça se passe pour vous, aujourd’hui ? C’est la galère, non ? Vraiment ? »
« Quoi ? Tu veux que je baise Christina ? »
« Tu te moques de nous. Tu n’es pas sérieux ? »
« Quoi ? Nous trois ? Tous à la fois ? »
« Et tu veux rester avec nous pendant qu’on s’occupe d’elle ? »
« Waow, je me souviens du jour de ton mariage. Christina était sacrément bonne. »
« Avec plaisir, je vais la baiser pour toi. Du moment qu’elle me suce avant. »
« Elle a toujours la petite robe qu’elle avait l’habitude de porter ? La rouge. Dis-lui de la mettre quand elle viendra. »
« Ouais, et son petit débardeur. Ses petits seins sont vraiment apétissant avec. »
« Bordel ! Sa robe de mariée. Ouais, ça aussi c’est bandant. Et son soutif en dentelle ! »
« Tu veux bien quoi ? Lécher son petit con moite pour nous la préparer ? »
« Et aussi après ? Mais t’es un vrai vicieux, mon pote. »
« Elle avale bien, ta moitié ? La mienne ne me le fais jamais.  Si je dois être infidèle, alors je veux qu’elle avale tout. »
« Alors, il vont cacher nos visages, c’est sûr ? Ma femme va devenir folle. »
« Je ne suis pas une lesbienne, mais j’ai toujours fantasmé d’essayer. Ça te plaira de gouiner la chatte de la bonne vieille Chrissie sans rechigner, hmm ? Qui l’aurait cru ? »
« Son cul. Maintenant que tu en parle… Tu l’as déjà prise par là ? Non ? »
« Non, ça ne m’intéresse pas. C’est un thon… Héhé, je rigole. »
« Je suis d’accord, mais à une condition. J’ai envie de lui pisser sur la gueule avant. »
« À genoux et demande-nous gentiment, ptit gars. »
« Ma copine est toujours partante, du moment qu’elle peut se joindre à nous. Une petite partouze. »
« Et toi ? Tu vas te contenter de nous regarder ? Espèce de dépravé. »
« En fait, je ne vous ai jamais aimé. Trop snobs pour moi. Alors si ta salope me lèche le cul, nous pourrons discuter. »
« Mais je dois avoir le double de son âge, jeune homme. »
« Tu dis que tu dois nous supplier de la baiser. Et si je refuse ? Alors, je refuse, bodel ! »
« Désolé pour toi, mon pote. Vraiment. Je ne souhaite ce qui t’arrive à personne. Mais tu sais quoi ? J’ai toujours révé de me taper ta greluche. Plus d’une fois, en fait. Bon sang, j’ai bien l’impression que je vais accepter. »
« Je sais que j’étais ton patron, dans le temps. Et je n’ai pas l’habitude de baiser mes employés. Les choses sont claires pour moi, mais avec ta proposition… J’imagine que les vieilles règles de harclèlement sexuel ne s’appliquent pas dans ce cas. Alors, je vais ma faire un plaisir de baiser ta petite femme, mais c’est bien pour te faire plaisir. »
« Mark ! Réveille toi et regarde les choses en face. Je suis homo ! »
« Hmm, ma chatte est déjà humide. J’ai un gros gode ceinture, elle va l’adorer. »

Superbement filmé par les caméramen et édité avec talent, les spectateurs adorèrent le document de 90 minutes. Les scènes se succédaient, commentées par une voix off qui rabaissait encore plus le couple humilié.
Finalement, la pauvre Christina, autrefois fière et distinguée fut baissée et sucée par tous et toutes. Elle dut se soumettre aux extravagances les plus folles avec des garçons, des filles, de vieux messieurs et même de vieilles dames qu’elle ou Mark avaient connu lorsqu’ils étaient petits.
Forte du succès de la ‘première’, Stella donna le feu vert pour que la production soit lancée.

perverpeper@perverpeper.com

 

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